JeanPierre Ferland. Il à neige a Port au Prince il pleut encore à Chamony On traverse a gué la Garonne le ciel est plein bleu à Paris Mamie l'hiver est à l'envers ne t'en retourne pas dehors Le monde est en chamaille on gÚle au sud on sue au nord Fais du feu dans la cheminée je reviens chez nous S'il fait du soleil à Paris il en fait

Temoignage retour affectif efficace Retour Affectif Payement aprĂšs satisfaction ïł 24 juillet 2015  MARABOUT COFFI BRUNO Retour Affectif Payement aprĂšs satisfaction Specialiste Retour Affection Maitre COFFI La seule voie qui offre quelque espoir d'un avenir meilleur pour toute l'humanitĂ© est celle de la coopĂ©ration et du partenariat. Ainsi, ces personnes ont souhaitĂ© apporter leurs tĂ©moignages. Toutefois vous ne trouverez pas tous les tĂ©moignages de rĂ©ussite. D'autres personnes ne souhaitent pas y figurer pour des raisons qui leur appartiennent. AVERTISSEMENT OpĂ©ration lucrative. Vous aurez devinĂ© Chers es Internautes, la bataille fait rage sur Internet, et certains font feu de tout bois, pour se faire une place au hit-parade des Retours d’Affections! Inutile donc d'inonder les Internautes, de chiffres et de rĂ©sultats, invĂ©rifiables, quant Ă  la prĂ©sentation commerciale de ces sites, car cela ne peut que jeter le trouble et le discrĂ©dit ! Ainsi, certains d’entre vous viennent de m’alerter que des marabouts peu scrupuleux se sont emparĂ©s de vos tĂ©moignages dĂ©posĂ©s sur le site pour se les approprier ! Je vous prie, de ne pas vous laisser abuser par les tĂ©moignages qui reprennent mot pour mot le contenu de mon site Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle B. LIEGE BELGIQUE Bonjour, GrĂące Ă  votre travail, l'homme de ma vie est venu chez moi samedi jusque dimanche. Nous avons discutĂ© et j'ai suivi votre conseil. Je l'ai Ă©coutĂ©. Je l'aime. C'est lui l'homme de ma vie. Je veux passer chaque jour de ma vie avec lui. Je veux que chaque jour passĂ© ensemble soit serein,...et confortable comme les moments que nous avons passĂ©s ensemble ce week-end. Je ne peux concevoir ma vie sans lui. Je le veux Ă©ternellement Ă  moi, amoureux de moi, Ă©ternellement Ă  mes cĂŽtĂ©s. Ces moments avec lui Ă©taient magiques et je les veux Ă©ternel. GrĂące Ă  vous, votre travail, vos conseils, votre Ă©coute, tout cela est possible. Je vous en suis reconnaissante. Julien est Ă©ternellement mien. Aujourd'hui et pour toujours. Y a-t-il quelque chose Ă  faire pour sceller notre couple Ă  jamais ou le tout a Ă©tĂ© compris dans nos prĂ©cĂ©dents processus ? GrĂące Ă  vous, mon Julien, l'amour de ma vie est lĂ  car c'est un renouveau... Je crois en nous et je souhaite que mon aimĂ© jamais plus ne s'en aille. Merci. BĂ©nĂ©dicte. RĂ©ponse du Specialiste Retour Affection Maitre COFFI La vie est bien meilleure lorsque l’amour rĂšgne avantageusement. Sachez jouir de ce que le destin vous accorde. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme D. ANNECY HAUTE-SAVOIE J'ai rencontrĂ© J. sur le net en mars 2014. Nous nous sommes rencontrĂ©s un mois aprĂšs. Le courant passait trĂšs bien entre nous. Nous Ă©tions complices, Ă  l'Ă©coute l'un de l'autre
 tout semblait bien aller... jusqu'au dimanche 22 juin 2014 oĂč il m'a envoyĂ© un sms me disant qu'il vaut mieux en rester lĂ . DĂ©vastĂ©e, je me suis effondrĂ©e en rentrant. Deux jours plus tard, je cherchais sur le web quelqu'un pour effectuer un retour affectif. C'est la premiĂšre fois que je faisais ça. J'ai trouvĂ© un sorcier qui m'a demandĂ© une centaine d'euros. Il m'a dit un jour de penser trĂšs fort Ă  mon compagnon pendant une heure... de 23h Ă  minuit... et d'attendre le rĂ©sultat irrĂ©versible. En trois semaines, j'ai reçu deux sms de mon compagnon me demandant de le laisser tranquille et me redisant au revoir. Et toujours pas de retour affectif... un mois plus tard, le grand sorcier m'a proposĂ© de faire de la magie noire si je rajoutais 275€. J'ai refusĂ©. Une semaine plus tard, ce mĂȘme grand sorcier non rĂ©putĂ© m'a envoyĂ© un mail pour me dire froidement qu'il est clair que mon compagnon ne voulait plus entendre parler de moi et qu'il Ă©tait temps de tourner la page car il aurait dĂ©jĂ  du me revenir. Tout ça pour ça !! J'Ă©tais de nouveau effondrĂ©e mais dĂ©terminĂ©e, je n'ai pas baissĂ© les bras. Ça m'avait fait plus de mal que de bien... j'ai repris les recherches pour trouver quelqu'un d'efficace. Je suis tombĂ©e ici grĂące Ă  un forum. J'ai tout repris Ă  zĂ©ro mais avec une toute autre approche ! Pour commencer, la personne qui m'a suivie m'a dit si oui ou non l'amour de ma vie et moi sommes compatibles. Ensuite, j'ai du faire quelque chose pendant un mois. C'Ă©tait long mais curieusement, je me suis sentie sereine et apaisĂ©e
 mon couple Ă©tait enfin pris en main et je savais Ă  ce moment lĂ  qu'il me reviendrait. Pas de place pour les idĂ©es nĂ©gatives, j'avais une phrase positive en tĂȘte que je ressassais comme un moteur. Non stop, elle me venait en tĂȘte du matin au soir. Pour ne pas perdre de vue mon objectif. Je n'ai pas jetĂ© ses affaires. Sa brosse Ă  dents est restĂ©e dans l'armoire... ses pantoufles sont restĂ©es dans l'entrĂ©e... je n'avais ni le cƓur ni l'envie de mettre tout ça dans une boĂźte. Par contre, j'Ă©tais toujours connectĂ©e Ă  la rĂ©alitĂ©. Quand j'en parlais Ă  mes proches, je disais la vĂ©ritĂ© au sujet de l'Ă©tat de mon couple. Au fond de moi, je savais qu'il me reviendrait mais ça, je le gardais pour moi... parfois quand on creusait trop, je disais " au fond de moi, je sais qu'il me reviendra" ou " avec la foi, on arrive Ă  beaucoup de choses"... Jamais parlĂ© de la magie. Toujours sans nouvelles de l'amour de ma vie. La seconde partie fut trĂšs compliquĂ©e, longue et Ă©prouvante pour moi ! J'envoyais des mails de dĂ©tresse Ă  la personne qui m'a suivie. On m'a conseillĂ© de ne pas m'Ă©garer, de garder la foi, de me reprendre,... Je devais recommencer une pĂ©riode d'un mois, ça m’a paru long, et difficile. J'ai craquĂ© tous les soirs, je pleurais du matin au soir... son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone Ă  lui Ă©tait supprimĂ©. De temps en temps je lui envoyais des sms, auxquels il ne rĂ©pondait pas. Je lui ai envoyĂ© une carte pour son anniversaire. Un jour avant la fin de mon processus... j'ai reçu un sms de la part de l'amour de ma vie, s'excusant de ne pas avoir rĂ©pondu, me remerciant pour mes marques d'affection, et me proposant de manger un morceau. Nous nous revoyons bientĂŽt ... aprĂšs trois mois ... trois mois sans ses nouvelles, trois mois d'incertitude, trois mois de stress, d'angoisse, trois mois privĂ© de lui... Ă  un moment de sa vie oĂč il avait le plus besoin de moi. Je ne veux jamais plus le perdre. Je remercie infiniment la personne qui m'a suivie et supportĂ© mes humeurs. Qui m'a Ă©coutĂ©e, encouragĂ©e,. Tout ça est derriĂšre nous. Une nouvelle page s'inscrit pour nous deux. Merci. Une chape de bĂ©ton s'est envolĂ©e et je retrouve enfin l'amour de ma vie! RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Il suffit de suivre simplement les consignes que je donne et de garder Ă  l’esprit la finalité  Vous avez su le faire. FĂ©licitations. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M C. BEAUTOUR EN VERTOU LOIRE ATLANTIQUE Bonsoir Othniel, C'est Mario. Je suis en vacances en Guadeloupe depuis le 23 dĂ©cembre. MĂȘme si je ne vous ai pas donnĂ© de nouvelles sur la suite des Ă©vĂ©nements entre Jean-Michel et moi, je suis toujours trĂšs content du rĂ©sultat obtenu. Comme dans tous les couples, nous avons des petites disputes mais nous nous aimons et surtout personne n'est venu perturber l'harmonie de notre couple. Certaines personnes que nous cĂŽtoyions avant notre sĂ©paration et avec qui nous pensions avoir de bonnes relations se sont Ă©loignĂ©es de nous au fur et mesure. Est-ce dĂ» Ă  la protection que vous avez mise en place ? Étaient-elles malintentionnĂ©es Ă  l'Ă©gard de notre couple et de notre bonheur? Je l'ignore mais je pense, vu les circonstances que c'est peut-ĂȘtre le cas. Quoi qu'il en soit je vous suis trĂšs reconnaissant pour votre intervention et le bonheur auquel vous avez contribuĂ© en favorisant le retour de l'homme que j'aime et qui m'aime et l'harmonie de notre couple. Du fond du coeur, je vous remercie. Tout va beaucoup mieux. J'espĂšre que vous allez bien et que vous n'avez pas trop subi de dommages suite au passage du cyclone qui a frappĂ© la RĂ©union. Quoi qu'il en soit je tenais Ă  vous souhaiter ainsi qu'Ă  toute votre famille mes meilleurs vƓux pour cette annĂ©e 2014. Puissiez-vous avoir une bonne santĂ©, beaucoup de bonheur et succĂšs dans tout ce que vous entreprendrez. Je vous souhaite une trĂšs bonne annĂ©e 2014. Cordialement, Mario. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Alors qu'une nouvelle annĂ©e commence, je voudrais vous souhaiter douze mois de bonheur et de rĂ©ussite dans tous les domaines. Que ce que vous avez commencĂ© se poursuive avec profit, et que de nouvelles voies s'ouvrent Ă  vous, c'est le vƓu que je formule. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M B. CUGES LES PINS BOUCHE-DU-RHÔNE Bonjour Specialiste Retour Affection Maitre COFFI . J’ai commencĂ© la 2Ăšme phase. Le soir mĂȘme, je l’invitais Ă  une sortie. Elle accepta. Depuis on s’est remis ensemble et cela se consolide au fur et Ă  mesure. Je continue tous les jours la 2Ăšme phase du protocole pour que notre couple soit super solide et plein d’amour. Je vous tiens au courant de cette belle Ă©volution. Merci
merci
 merci
 merci
 merci
 merci
 merci
 Je ne vous remercierai jamais assez. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Bonjour David, Avec vos 7 fois, merci, je ne peux pas ignorer votre niveau de satisfaction. Poursuivez bien en effet le protocole pour rendre durable ce retour d'affection. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle T. CA - MONTREAL Cher Specialiste Retour Affection Maitre COFFI, Je ne peux que vous saluer bien bas et vous remercier pour cette premiĂšre phase du retour qui s'est passe au delĂ  de mes espĂ©rances. 7 semaines et un jour! Je suis impressionnĂ©e !!! Nous avons convenu de reprendre notre relation et de nous chĂ©rir. Il revient de Sa propre initiative. J'ai eu les bons mots, je vois l'amour autrement grĂące Ă  vous. J'ai Ă©tĂ© capable de lui parler de nous et de la situation de maniĂšre constructive et positive en lui disant je sais que tu vas y arriver » Merci encore de tout mon cƓur! RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Nous avons franchi un bon parcours en vous guidant sur les codes des bonnes pratiques de l’amour. L’amour, cela ne se dĂ©crĂšte pas, cela se construit. Poursuivons alors. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle B. Ă  QuĂ©bec CANADA Comment rĂ©sumer le tout... je t’avoue Specialiste Retour Affection Maitre COFFI qu’au dĂ©but j’avais un gros doute pour des rĂ©sultats positifs,.. J’étais dans un Ă©tat de grand dĂ©sespoir. Maintenant, je sais que tout ceci fonctionne et j’en suis vraiment ravie et surtout surprise!!! Il est revenu assez rapidement dĂ©but 3 Ăšme semaine,avec la seconde partie Du Protocole de retour d’affection !! Alors, je vois les changements trĂšs positifs. Je suis tellement convaincue que tu y es vraiment pour tout COFFI !!! MERCI !!! Y a-t-il autre chose que l’on peut faire ?? En tout cas COFFI, je peux dire que tu m’a aidĂ© toi et Dieu tu es l’un des siens Ă  prendre conscience du bien, du positif et d’en dĂ©gager, d’en partager de rendre les personnes meilleurs !! Nous sommes entourĂ©s de nĂ©gatifs, au travail, les gens se mĂ©prisent, se jalousent, la TV nous bombarde de nĂ©gatif etc. Pas facile de se battre avec tout ceci !! Merci de tout mon cƓur RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Bonjour S...., Ah! tiens, on se tutoie maintenant ? je plaisante. Voyez-vous, la rĂ©ussite complĂšte du retour affectif rĂ©side dans une confiance indĂ©fectible dans mon protocole de retour d'affection et dans mes propos qui dĂ©concertent parfois, souvent mĂȘme... Je compte sur votre sagacitĂ© pour comprendre la suite. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M M. Ă  VILLE LA GRAND HAUTE SAVOIE Bonjour COFFI,C'est incroyable! Je passe enfin du temps avec Aurelie! Elle a changĂ© en mieux, une belle personnalitĂ© ! Nous nous sommes pas encore remis ensemble mais nous prĂ©voyons de passer du temps ensemble et c'est elle qui me le dit! Je l'ai vu hier pour la 1Ăšre fois depuis 2 mois presque et c'est comme si on s'Ă©tait jamais sĂ©parĂ©,la complicitĂ© Ă©tait au rdv,c'est merveilleux! Je sais que j'ai doutĂ© de vous, je tiens Ă  vous remercier pour cette trĂšs belle avancĂ©e et pour le bien que vous faites que ce soit Ă  Aurelie ou a moi! Vous transformez les personnes pour les rendre meilleures! Je vous raconterai la suite des aventures! Merci Coffi ! Heureux d'ĂȘtre tombĂ© sur un bienfaiteur! RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Et dire en effet que vous m'Ă©criviez; "J'ai essayĂ© de reprendre contact avec mon ex mais il y a plus d'espoir,mĂȘme en ayant suivi le protocole qui ne doit pas marcher pour moi. Merci. Salutations Mick..." AprĂšs 5 semaines de rituel de retour affectif, vous m’en voyez ravi. Nous continuons jusqu’à l’issue complĂšte. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle B. Ă  ARCUEIL VAL DE MARNE Bonsoir, aujourd'hui c'est mon anniversaire et mon ex m'a envoyĂ© un mail pour me le souhaiter mais lĂ  oĂč c'est le plus bizarre c'est qu'il a envoyĂ© Ă©galement un SMS sur le portable de mon petit frĂšre et qui sert aussi Ă  ma mĂšre qu’il dĂ©teste pour votre information 10min aprĂšs le mail pour qu'ils me le souhaitent de sa part. Ce n'est pas du tout son genre de faire ça, je suis troublĂ©e. Pouvez-vous me dire ce que vous en pensez. Merci BCp RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Je pense qu'Ă  mon tour, il me reste Ă  vous souhaiter un trĂšs bon anniversaire. Il amorce son retour conformĂ©ment au protocole de retour affectif ou je vous indiquais que j’agissais pour qu’il pense irrĂ©sistiblement Ă  vous Ă  nouveau... Signe Ă©vident que c'est en bonne voie. DĂ©vouement Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M B. Ă  BETON-BAZOCHES SEINE ET MARNE Bonjour Specialiste Retour Affection Maitre COFFI, Hier soir juste aprĂšs vous avoir envoyĂ© le mail concernant la fin du protocole, J...-M..... a dĂ©cidĂ© de reprendre notre relation. J'ai passĂ© une nuit merveilleuse. Merci infiniment! Que faisons-nous Ă  ce stade ? Cordialement, M.... RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Je vous ai assurĂ© un retour entre 3 et 7 semaines, nous en sommes Ă  moins de 21 jours. Je tiens parole. Nous n’allons pas nous arrĂȘter en si bon chemin
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M M. Ă  CHATELLERAULT VIENNE Bonsoir Specialiste Retour Affection Maitre COFFI, Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, mais j'ai pris contact avec vous il y a 1 mois et demi Ă  propos de mon ex et je l'avoue avoir Ă©tĂ© sceptique et m'ĂȘtres beaucoup renseigner sur vous. Ce qui on ressort est que du positif, pas une seule fausse note et beaucoup de bien de vous. Je souhaite savoir si vous pouvez toujours m'aider, si oui, puis-je faire le don le 02 mai. Cordialement RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Je suis tout Ă  fait favorable Ă  vous accorder mon intervention pour le retour affectif de votre bien-aimĂ©e. Vous pouvez en effet, effectuer votre don demain le 2 mai. Je me tiens disponible pour dĂ©marrer aussitĂŽt... Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle K. Ă  SANNOIS VAL D'OISE Bonjour, Je viens vous donner des nouvelles. Lui et moi sommes Ă  nouveau ensemble depuis mercredi. Il a enfin acceptĂ© de nous donner une seconde chance. On passe Ă  nouveau du temps ensemble et j’attends ça depuis tellement longtemps que je suis trĂšs contente. Par contre j'ai peur que cette seconde chance se concrĂ©tise pas pour de bon car bien que ce soit lui qui est fait le 1er pas pour que ça recommence il ne me rassure pas encore sur ses sentiments. J'en suis Ă  ma 2Ăšme semaine de protocole et je sais que je dois continuer mais pensez vous que ses sentiments vont pouvoir prendre le dessus sur tout ce qu'il y a dans sa tĂȘte avec ce qui s'est passĂ© avec cette fille aujourd’hui il la dĂ©teste et ne veut plus entendre parler d'elle. Une question Ă  propos du protocole, demain soir je dois Ă  nouveau dĂ©poser les ..............., le problĂšme est que je pars en vacances Ă  la fin de la semaine et donc ça ne fera pas 7 jours. Puis je les retirer plus tĂŽt ou plus tard ? En tout cas merci pour tout, je n'y croyais plus. Cordialement RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Bonjour, Vous les retirez plus tard pour appliquer complĂštement le protocole de retour affectif et s'assurer le total retour d'affection ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle D. Ă  SAINT-ETIENNE LOIRE CoĂŻncidence ou pas, je ne sais pas Maitre COFFI, j'ai commencĂ© le protocole hier soir, je n'avais plus de nouvelle de lui depuis plus de 3 semaines et aujourd'hui il m'a envoyĂ© un message sur Facebook parce que j'ai changĂ© mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone et qu'il ne l'a pas. Incroyable, vraiment ! Il revient. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Agir sans tarder conduit Ă  un rĂ©sultat plus rapide. Gardez bien Ă  l’esprit de ne pas reproduire les erreurs passĂ©es. Profitez bien. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M P. Ă  MERIGNAC GIRONDEÀ mon grand Ă©tonnement Maitre COFFI. Je me suis permis comme le commentaire ci-dessous, de chercher Ă  savoir ce que l’on pensait de vous comme mĂ©dium praticien du retour affectif. Pas une trace dĂ©sobligeante. Je m’en suis remis Ă  vous pour le retour de Christelle et en effet, vous tenez vos promesses mĂȘme si vous ne m’en aviez pas fait. Je ne vous remercierai jamais assez. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI J’en suis flattĂ©. NĂ©anmoins, je m'attends Ă  ce qu'une personne un jour me fustige pour lui avoir refusĂ© de pratiquer un retour affectif pour cause d'incompatibilitĂ© avec la bien-aimĂ©e, car je me refuse de contraindre
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle V. Ă  REZE LES NANTES LOIRE ATLANTIQUE Bonjour Specialiste Retour Affection Maitre COFFI. J’avoue ĂȘtre allĂ©e sur le net pour voir si les forums exprimaient des critiques Ă  votre Ă©gard
 Aucun avis dĂ©favorable Ă  votre encontre. J'ai donc dĂ©cidĂ© de faire le pas pour un retour d'affection et franchement, j'exprimerai volontiers sur un forum ma satisfaction obtenue au bout de 17 jours. Merci encore. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Vous m’en voyez Ă©galement satisfait. Je tiens Ă  rester fidĂšle Ă  mes principes Ă©thiques. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle S. Ă  BERGERAC DORDOGNE 1 an et demi plus tard ..., je vous dĂ©couvre. Vous ĂȘtes celui qui m'aura dit LA vĂ©ritĂ© depuis le dĂ©but, bien que je cherchais Ă  rĂȘver en Ă©coutant d’autres personnes, vous ĂȘtes Le seul Ă  m'avoir toujours dit LA vĂ©ritĂ©. Je vis aujourd’hui mon retour d’affection avec un homme magnifique avec qui je partage un rĂ©el bonheur... Merci Coffi, je vous souhaite beaucoup de bonheur aussi .... Message aux personnes qui veulent connaĂźtre LA vĂ©ritĂ© "appelĂ© Coffi mais surtout soyez prĂȘtes Ă  faire face Ă  LA vĂ©ritĂ©" RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI En vĂ©ritĂ©, je m’appui sur vos compatibilitĂ©s pour intervenir et c’est ainsi que je suis parvenu au rĂ©sultat. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme R. Ă  BAYONNE PYRÉNÉES-ATLANTIQUE MalgrĂ© toutes les prĂ©dictions positives sur le retour de mon compagnon, j'avais dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  tourner la page et lĂ  grĂące Ă  vous j’ai changĂ© complĂštement! Merci encore et continuez Ă  ĂȘtre honnĂȘte, c'est un trĂšs grand service que vous rendez aux personnes qui sont dans la dĂ©tresse! Je vous embrasse fort pour mon retour d’affection! Isabelle RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Je suis sensible Ă  la notion de service accompli. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle V. Ă  LAUSANNE SUISSE Merci Specialiste Retour Affection Maitre COFFI pour votre franchise et le retour d’affection....je me rends compte qu'en fait mĂȘme si vous Ă©tiez le seul Ă  dire le contraire par rapport Ă  vos collĂšgues, je pensais que c'est vous qui aviez raison... Je trouve cela vraiment horrible de maintenir les consultants dans un monde d'illusions et d'espoir...ce qui fut mon cas depuis des mois...ce qui m'a empĂȘchĂ©e de faire appel pour un retour affectif de ma relation en restant dans la prĂ©diction... cela m'a prouvĂ© vos compĂ©tences, j'en suis encore Ă©bahie.. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Je suis sans complaisance. Cela permet des relations franches. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M M. Ă  PARIS ILE DE FRANCE Une belle rencontre affective vient d’arriver dans ma vie, ENFIN !!!!! Elle est revenue. C'Ă©tait vraiment un plaisir que de vous suivre pour ce retour d’affection. Quel bonheur se sera pour moi de vous rappeler pour vous annoncer la bonne nouvelle que cela dure. A tout bientĂŽt COFFI RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI J’attends cet appel pour m’indiquer que vous ĂȘtes toujours en couple. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle F. Ă  NIMES GARD Je vous remercie Specialiste Retour Affection Maitre COFFI de ce retour affectif oĂč vous m’avez ouvert les yeux malgrĂ© que ça fait mal, je voulais la vĂ©ritĂ© car au fond de moi ce pressentiment que nous Ă©tions fait l’un pour l’autre et pas vouloir l'admettre, je m'accrochais Ă  ce que les autres voyantes me disaient et chaque fois on me disais pour telle date il reviendrait et de ne pas m'inquiĂ©ter, j'ai perdu de l'argent mais en plus le moral en a pris un solide coup, JAMAIS rien est arrivĂ© EN FINAL. Presque deux ans comme cela, j'ai voulu en avoir le cƓur net et j'ai pris contact avec vous COFFI, j'ai voulu votre avis et je l'ai eu. J'ai adorĂ© votre finesse pour me le dire, pas Ă©vident de trouver les mots mais vous avez Ă©tĂ© Ă  la hauteur, vous ĂȘtes le seul qui a eu un franc parler et de bien m'expliquer qu'il n’y avait pas de miracle mais de la magie amoureuse, et que je devais continuer ma reconquĂȘte ! Avis aux consultants si vous voulez la vĂ©ritĂ©, appelez COFFI c'est le seul qui m’a dit avec honnĂȘtetĂ© les choses, alors si vous voulez entendre ce que la vie vous rĂ©serve en cas de doute vous ĂȘtes ici Ă  la bonne porte c'est du garanti, merci pour tout COFFI. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Rien Ă  rajouter il me semble. Tout est dit. Merci. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme G. Ă  VILLEJUIF VAL-DE-MARNE Bonjour Coffi, voilĂ  quelques semaines que je vous consulte et j'ai pris la dĂ©cision que vous m'aviez suggĂ©rĂ©. Couper les contacts avec l'homme de cƓur qui ne savait pas choisir entre moi et sa nouvelle conquĂȘte. Tout ceci afin de pas laisser installer une relation triangulaire et finalement confortable pour lui. Vous m'aviez dit que si je faisais cela, cette situation pouvait le faire revenir. Quant Ă  la finalitĂ©, vous le voyiez toujours me revenir. Je vous remercie d'ĂȘtre le 1er Ă  me proposer cette action de retour affectif. Je vous remercie trĂšs chaleureusement, il est revenu. Portez-vous bien. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Il fallait faire avancer les Ă©vĂšnements et nous y sommes parvenus. Mme J. Ă  NANTES LOIRE-ATLANTIQUE Bonjour Coffi. Je suis trĂšs satisfaite de votre analyse. Vous avez trĂšs bien cernĂ© le problĂšme dont je vous ai parlĂ©. Je pense pouvoir, Ă  prĂ©sent, faire table rase d'un passĂ© destructeur et envahissant. SincĂšres remerciements pour l'aide et les conseils apportĂ©s lors de ce retour affectif. FrĂ©dĂ©rique RĂ©ponse de Coffi Cheminez avec bonheur en vivant chaque moment intensĂ©ment. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M M. Ă  BAUGY CHER Bonjour Specialiste Retour Affection Maitre COFFI, Comme suite au Texto, elle a appelĂ© dans la foulĂ©e sous le prĂ©texte de me donner deux bibliothĂšques et c'Ă©tait parti pour une bonne heure de dialogue entrecoupĂ© de larmes, me disant mĂȘme, je t'appelle sur le tĂ©lĂ©phone fixe, je ne t'entends pas bien. Depuis je dors chez elle tous les soirs et nous dialoguons une partie de la nuit, en Ă©tablissant un programme pour nous retrouver dans un an pour le mariage et le restant de nos jours. Elle veut absolument vous contacter dĂšs que ses finances le lui permettent pour dĂ©marrer un coaching, car dit-elle, je ne veux pas ĂȘtre Ă  la traĂźne ; par rapport au coaching que j'ai commencĂ© avec vous. Vous aviez mille fois raison et je ressens un dĂ©but de changement dans ma perception des choses, ce qui provoque peut-ĂȘtre un changement en moi, qu'elle a perçu me semble-t-il. Dans tous les cas, je vous fais enfin confiance Ă  200 pour 100 ! La vie peut ĂȘtre belle si on s'en donne les moyens, je remercie le ciel de vous avoir dĂ©couvert. TrĂšs bon week-end Ă  vous. Philippe RĂ©ponse de Coffi Vous m’en voyez ravi que cela se soit passĂ© ainsi, aussi vite
! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M L. Ă  AVIGNON VAUCLUSE Il s'est passĂ© quelque chose COFFI. Un truc qui ne s'explique pas par des mots et je crois en vos ressentis sincĂšres et posĂ©s. C'est clair et limpide, dans le bon puisqu’elle est revenue. J'ai confiance en vous... "Il s'est passĂ© quelque chose" dans son retour, comme si ... !! Merci. Bonne de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Comme si vous Ă©tiez protĂ©gĂ© ! Et c’est le cas dĂ©sormais. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle T. Ă  LORIENT MOBIHAN Bonjour COFFI, Vous m'aviez annoncĂ© que ma relation avec mon ex Ă©tait compatible mais que j'allais faire une nouvelle rencontre avec lui, vos prĂ©dictions Ă©taient trĂšs bonnes, car c'est le cas, j'ai rencontrĂ© une nouvelle personne en mon ex. Il a changĂ© en mieux. Merci COFFI pour votre sĂ©rieux et votre compĂ©tence et Ă  bientĂŽt. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Il fallait qu’il y ait du changement
 Vivez une nouvelle vie durablement. De tout cƓur avec vous. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle V. Ă  LENS PAS DE CALAIS Mon Dieu, COFFI, vous ĂȘtes si rĂ©confortant. J'espĂšre de tout mon cƓur que vous serez lĂ  longtemps. Je vous remercie en tout cas pour votre gentillesse et votre chaleur. Son retour s’est produit en peu de semaines. Le coĂ»t avec vous est 5 fois moins Ă©levĂ© qu’avec des personnes Ă  qui j’ai eu Ă  faire sans rĂ©sultat ! Mille mercis
 RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Sans doute, et oui, parce que je n’en fais pas commerce
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle N. Ă  TROYES AUBE Bonjour COFFI, j'ai trouvĂ© votre prestation de retour d’affection excellente et je tenais Ă  vous remercier pour vos encouragements! Vos prĂ©dictions sont justes et votre travail aussi ! Un tout grand merci ! A trĂšs bientĂŽt ! Bonne journĂ©e ! RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Je fais en sorte de me hisser au niveau de l’excellence
 C’est gratifiant ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M S. Ă  LIÈGE BELGIQUE Vous ĂȘtes juste COFFI, vous allez dans les dĂ©tails. Vous dites les choses comme elles sont, sans juger. Vous m'apportez un grand soutien, et je vous accorde toute ma confiance. Merci pour son retour. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Un retour d’affection doit se mener ainsi, sans jugement aucun ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M G. Ă  BAYONNE PYRÉNÉES-ATLANTIQUE Si les voies du Ciel sont souvent impĂ©nĂ©trables, si la route est parfois longue et que le cƓur est lourd il y a des croisĂ©es de chemins et de voies qui redonnent confiance en la vie, en soi et en la nature Humaine... Merci COFFI d'ĂȘtre ce cadeau ! Par votre Ă©coute, vos dons et connaissances vous m'avez apportĂ© une vraie aide tant efficace que rapide. De tout mon cƓur je vous remercie d'Etre et d'avoir choisi ce chemin de gĂ©nĂ©rositĂ© envers vos prochains. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI La place qui m’est dĂ©volue ! RĂ©parer les destins croisĂ©s. Rendre possible les rapprochements
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle R. Ă  MONTBELIARD DOUBS TrĂšs bonne vision de la personne concernĂ©e. J’ai suivi vos conseils et le rituel pour faire avancer les choses, pour que nous puissions enfin vivre ensemble. Je vous remercie pour son retour. Merci de votre gentillesse COFFI. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Vous avez scrupuleusement suivi le Protocole de retour d’affection. Le rĂ©sultat devient automatique. Bien du bonheur
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme A. Ă  BOURGES CHER COFFI, je vous adore. Specialiste Retour Affection Maitre COFFI, vous ĂȘtes constant, chaleureux c'est vrai et trĂšs professionnel et toujours dans des temps rapides aussi. Je vous conseille vraiment. Merci COFFI pour transmettre du soleil Ă  travers les rĂ©sultats. Plein de bonnes choses pour vous et tous ceux que vous aimez. RĂ©ponse de COFFI Son retour en trois semaines, cela n’a pas Ă©tĂ© trop long, n’est-ce pas ?! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle D. Ă  BELLERIVE SUR ALLIER ALLIER Bonsoir COFFI, Je retrouve le sourire petit Ă  petit. Je n'ai plus de "silence radio" avec Florian, puisqu'on se parle tous les jours, de tout et de rien comme nous le faisions avant. C'est dĂ©jĂ  une bonne avancĂ©e en quelques jours. Mais je pars dans 4 jours... pour 1mois, et je n'aurais plus vraiment d'accĂšs Ă  internet ni rien. Comme vous me l'avez dit dans un prĂ©cĂ©dent mail, l'espace et le temps n'arrĂȘtent pas le processus. Mais c'est dur de me dire que les contacts vont se stopper pendant quelques semaines, et le "aprĂšs" comment se passera-t-il ? En tout cas, ceci me redonne de l'espoir et ceci grĂące Ă  vous. Je me rĂ©pĂšte mais lorsque tout sera rentrĂ© vraiment dans l'ordre, je ne vous en remercierais jamais assez. J'ai Ă©voluĂ© en l'espace de peu de temps. Merci pour cette belle avancĂ©e. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Ha les
vacances ! Vous le retrouverez aprĂšs. Cela va vous permettre de mieux les vivre en songeant au retour
 Bonnes vacances et profitez-en bien en attendant. Une alternative cependant, les SMS ! La traditionnelle carte postale...Joke Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme V. Ă  QUEBEC CANADA Qui a dit que cela n’existait pas le retour d’affection ? Et bien pas moi COFFI ! Je ne regrette absolument pas d’avoir fait cette dĂ©marche. Je ne vous remercierai jamais assez ! RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI 
et je rajouterais ; Tant pis pour les sceptiques et les dĂ©fiants » ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme F. Ă  MONT-SAINT-AIGNAN SEINE-MARITIME Il n’a pris qu’une semaine
 Je voulais juste vous remercier. Votre retour affectif a changĂ© ma vie. J’étais dĂ©primĂ©e et n’était pas sĂ»re que cela marcherait pour moi. De plus, je suis peu disposĂ©e Ă  passer par Internet. Mais, il n’a pris qu’une semaine, comme vous le disiez dans nos Ă©changes ! Maintenant mon petit ami est avec moi, juste comme vous disiez dans la premiĂšre rencontre. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Le principal Ă©tant fait, Ă  vous la suite
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle D. Ă  LIMOGES HAUTE-VIENNE Ma relation avait Ă©tĂ© finie depuis assez longtemps dĂ©jĂ , alors je savais qu’il serait improbable que votre intervention puisse m’aider. J’ai suivi immĂ©diatement vos consignes, de vous envoyer une photo avec nos dates de naissances. AprĂšs 15 jours, j’étais Ă  nouveau avec mon petit ami. J’étais choquĂ©e de voir que cela a si bien marchĂ© ! Je peux vous dire que si ça marche pour moi, ça marchera trĂšs certainement pour d’autres ! RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI En effet, c’était improbable, mais quand mĂȘme, il fallait bien s’y mettre. Et pour cause, les choses sont rĂ©tablies. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme G. Ă  BREST FINISTÈRE Mon compagnon me voyait de moins en moins. C’était assez clair qu’il s’éloignait de moi. Alors, je me suis mise Ă  faire comme vous le disiez, et ce soir-lĂ  il m’a tĂ©lĂ©phonĂ© et a laissĂ© un message en disant qu’il a changĂ© d’avis et voulait vraiment rĂ©essayer. Je n’ai jamais imaginĂ© qu’il me poursuivrait comme ça tout d’un coup. J’ai vous aie suivi sans dĂ©vier et ça a trĂšs bien marchĂ©. Tout Ă©tait excellent. Vous m’avez donnĂ© de bons conseils COFFI. RĂ©ponse de COFFI Et vous les avez bien suivis ! Parfait ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme B. Ă  PÉRIGUEUX AQUITAINE Mon mari et moi ne sommes plus sĂ©parĂ©s et sommes ensemble Ă  nouveau. Nous avons toujours quelques petites choses Ă  rĂ©soudre, mais le retour d’affection Ă©tait d’une grande assistance quand j’en avais besoin le plus. Mon seul regret est de ne pas vous avoir trouvĂ© plus tĂŽt. Il m’aurait Ă©conomisĂ© 6 mois de drame inutile. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Maintenant il ne vous reste plus qu’à rattraper le temps perdu. Je vous souhaite bien des choses
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle C. Ă  ÉTREILLERS AISNE Les 4 mois aprĂšs ĂȘtre plaquĂ©e Ă©taient les pires de ma vie jusqu’à ce que j’aie trouvĂ© votre site. J’étais une femme forte et indĂ©pendante et je devenais faible comme une souris pour un homme ! Vous m’avez rendu mon pouvoir et j’en serai toujours reconnaissante. Vous avez raison, le fait d’avoir rĂ©cupĂ©rĂ© mon ex Ă©tait un bonus. Ce que j’ai retrouvĂ© Ă©tait le contrĂŽle et mon estime. RĂ©ponse de COFFI Gardez cette estime de soi nĂ©cessaire au respect de la dignitĂ© dans le couple. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme T. Ă  ORVAULT LOIRE-ATLANTIQUE J’aime que vous ne donniez pas de faux jargon psy, de platitudes vides, ou d’abstractions sur mon enfant intĂ©rieur » comme beaucoup d’autres praticiens de ce genre que j’ai vu. Je n’étais pas d’humeur pour cela. Je peux vous dire que j’étais dans les tranchĂ©es. J’aime que vous soyez pratique et direct. J’aime que vous expliquiez tout, pas Ă  pas. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Allez Ă  l’essentiel, c’était bien l’objectif. Et bien je m’y suis attachĂ©. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle R. Ă  VILLENEUVE-D'ASCQ NORD Mon histoire vit une fin heureuse – j’ai facilement regagnĂ© mon petit ami. Et voilĂ  oĂč votre dĂ©marche brille rĂ©ellement parce que j’utilise votre rituel pour les relations et tout va diffĂ©remment maintenant. Sans vous, je n’aurais pas Ă©tĂ© capable de m’y prendre avec la nouvelle relation sans paniquer et sans perdre tout contrĂŽle encore. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Le renouveau dans la relation pour ne pas sombrer dans un ronron quotidien, voilĂ  tout ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M V. Ă  BERGERAC DORDOGNE Merci pour votre aide Ă©norme dans un moment trĂšs difficile de ma vie. Vous m’avez littĂ©ralement sauvĂ© la vie. RĂ©ponse de COFFI C’était avec grand plaisir. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme G. Ă  CHALVIGNAC CANTAL Je suis de Nice et j’ai 41 ans. Je vous dis cela peut-ĂȘtre parce que je me suis laissĂ© sĂ©duire par des sites de rencontres. J’essayais de comprendre l’esprit masculin. AprĂšs m’ĂȘtre faite avoir par une dĂ©ception, j’ai suivi pas Ă  pas ce que vous dites et ça a marchĂ©. Votre approche est trĂšs rĂ©el, une maniĂšre facile d’interprĂ©ter les choses. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Il est vrai qu’il n’est pas toujours facile d’interprĂ©ter les signes extĂ©rieurs. Ensemble, nous avons su dĂ©coder les messages sous- jacents. C’est une rĂ©ussite pour vous et moi! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme P. Ă  NANTES LOIRE ATLANTIQUE Retour-d’ est un bon moyen pour se faire aimer de nouveau. Étant donnĂ© ma situation catastrophique depuis pas mal de temps, j’apprĂ©cie d’y avoir fait appel car j’y ai trouvĂ© une rĂ©elle Ă©coute par rapport Ă  ma psy et une vĂ©ritable aide. Bonne continuation Ă  vous COFFI et longue vie. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI C’est effectivement diffĂ©rent de la psy ! Cependant, elle aurait pu vous aider en connaissant les arcanes bien mystĂ©rieux de la destinĂ©e d’un couple. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M O. Ă  GENEVE SUISSE Cela fait des annĂ©es que je cherche un site sĂ©rieux digne de ce nom. Je n’ai JAMAIS eu le moindre problĂšme depuis que je suis les prĂ©conisations de COFFI. Je vous recommande Ă  tout le monde dans la mĂȘme recherche de sĂ©rieux. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI SĂ©rieusement ! C’est bien mieux d’Ɠuvrer ainsi, Non ? Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme F. Ă  VAULX EN VELIN RHÔNE-ALPES Bonjour, J’ai dĂ©posĂ© ma demande auprĂšs de COFFI la veille, le lendemain soir j’avais une proposition de retrouvaille. J’ai Ă©tĂ© gratifiĂ©e deux jours aprĂšs ! Merci COFFI RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Magique ! N’est-ce pas ? J’en suis heureux pour vous
 Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme P. Ă  SAINT GERMAIN SUR MOINE MAINE ET LOIRE J'ai pu lui transmettre tous mes sentiments ce matin. Il Ă©tait aux anges, je vous remercie Ă©normĂ©ment pour la qualitĂ© de votre travail, votre diligence et votre sĂ©rieux dans le suivi de vos consultants. Je suis enchantĂ©e. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Quoi dire aprĂšs cela ? Bonne chance Ă  vous ! M B. Ă  PÉRIGUEUX AQUITAINE Bonjour, Vous m'avez dit de vous prĂ©venir si je voyais du changement. Serait-ce possible que cela fasse dĂ©jĂ  effet alors que j'ai commencĂ© seulement dimanche ? RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Comme indiquĂ© prĂ©alablement, cela pouvait se produire, mais je ne le promettais pas en moins de 3 semaines. Cela fait plaisir n'est-ce pas ? Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. N Q. Ă  FAYENCE ALPES MARITIMES Bonjour, je voulais vous dire qu’avant que nous ne commencions j’ai reçu pas mal d'appels de mon ex ainsi que des messages et nous avons commencĂ© hier soir. Aujourd'hui elle continue de me rappeler que dois-je faire ? Merci RĂ©ponse de COFFI Rappelez-vous, vous m'avez contactĂ© le 1er octobre et j'ai commencĂ© aussitĂŽt. Vous avez dĂ©marrĂ© de votre cĂŽtĂ© le Protocole de retour d'affection hier le 5 octobre. Il est donc naturel que vous ayez dĂ©jĂ  un premier rĂ©sultat. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme R. Ă  ANNEMASSE HAUTE-SAVOIE Bonjour COFFI, Cela faisait plus d'an que l'on me prĂ©disait le retour de Marc sans succĂšs, jusqu'au moment oĂč une autre voyante m'a invitĂ© Ă  vous faire appel. Merci COFFI, il est revenu auprĂšs de moi RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Évidemment qu'on peut rĂ©duire le temps entre la prĂ©diction et la rĂ©alisation, la preuve ! Portez-vous bien. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. M S. Ă  BORDEAUX GIRONDE Vous m'aviez indiquĂ© un retour entre 3 Ă  7 semaines. J'ai l'agrĂ©able surprise de constater le retour au bout de 3 semaines et 4 jours ! Bien Ă©videmment, je poursuis le "protocole" jusqu'au plein accomplissement ! RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Absolument ! MalgrĂ© dĂ©jĂ  des progrĂšs dans le retour, allez jusqu'au bout pour garantir la pĂ©rennitĂ© des sentiments dont vous bĂ©nĂ©ficiez. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme G. Ă  PARIS ILE DE FRANCE Cher COFFI , Vous ne faites pas de promesse comme vous dites mais vous tenez parole. Rendez-vous compte aprĂšs 5 jours du dĂ©marrage du Protocole du retour affectif, mon compagnon est revenu Ă  moi. Je vous remercie de la comprĂ©hension qui vous guide pour saisir que je lui avais 'menti" par crainte. Merci de ne pas m'avoir jugĂ©. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Vous ne m'avez pas menti. Je me devais de vous aider Ă  corriger cette bĂ©vue. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme H. Ă  GATTIÈRES ALPES MARITIMES Certains forums s'interrogent sur le bien-fondĂ© d'un retour d'affection. Trop malheureuse, j'ai voulu faire ma propre opinion. Vous avez Ă©tĂ© Ă  la hauteur de l'espoir que je remettais en vous. Çà ! je ne l'oublierai jamais. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Vous voyez, on peut encore de nos jours, ne pas se faire abuser. Votre discernement a su faire la diffĂ©rence. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mr P. Ă  PESSAC GIRONDE Cher monsieur Je vous envoie une photo de mon couple en place. Je suis trĂšs satisfait de votre intervention le suivi, la prĂ©cision, l’empathie sont tout Ă  fait conformes Ă  ce que j'attendais. Je vous remercie du zĂšle que vous avez mis pour rĂ©soudre mon problĂšme. Cordialement RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Celui qui fait une erreur est excusable, celui qui fait une bĂȘtise doit la rĂ©parer. Je vous y ai aidĂ© avec plaisir. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mr D. Ă  GRIEGES AIN AprĂšs dĂ©jĂ  le premier mois du retour d’affection, nous avons dĂ©cidĂ© mon Ă©pouse et moi d'acquĂ©rir, un logement.... Nous sommes trĂšs satisfaits de la qualitĂ© des aides, et du professionnalisme en la personne de COFFI .... Si tout comme nous, vous ĂȘtes passionnĂ©s par l’amour, n'hĂ©sitez pas Ă  recourir Ă  ce site trĂšs sĂ©rieux.... Je vous autorise Ă  modifier quelque peu mon tĂ©moignage et dĂ©solĂ© de ne pas vous avoir montrĂ© ma gratitude plus tĂŽt... TrĂšs cordialement RĂ©ponseRĂ©ponse de COFFI Je n'ai pas modifiĂ© d'une virgule votre propos. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme Mr K Ă  PLOUGUERNEAU FINISTERE Nous avons franchi le pas il y a un an. En effet, nous avons osĂ© commander une protection sur internet. MĂ©fiants ? Oui, c'Ă©tait notre premier acte par mail un retour d’affection sur le site retour affection. Le contact a Ă©tĂ© rapide, presque instantanĂ© par messages, puis trĂšs vite Othniel nous a tĂ©lĂ©phonĂ©. Entre les messages, les conditions reçues et les Ă©changes tĂ©lĂ©phoniques la confiance s'est installĂ©e. Nous avons passĂ© demande et le mois suivant nous Ă©tions comblĂ©s. Nous sommes ravis, notre relation est magnifique et bien rĂ©glĂ©e. Merci Ă  Monsieur COFFI pour son accueil, sa gentillesse, son conseil et sa rĂ©activitĂ©. M. et Y. K. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Il est fondamental de se protĂ©ger de l'hostilitĂ© d'autrui. C'est fait ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mlle B. Ă  NIMES GARD DĂ©but dĂ©cembre 2009 je suis venu sur le site retour d’affection chercher des aides pour recouvrer l’amour. Je tiens Ă  faire part de mon entiĂšre satisfaction autant au niveau de la qualitĂ© du retour et de sa rapiditĂ© d’exĂ©cution, qu'au niveau de son tarif intĂ©ressant et utile. Je tiens aussi Ă  remercier Specialiste Retour Affection Maitre COFFI pour son accueil chaleureux. Ainsi je conseille Ă  tous ceux qui dĂ©sirent s'offrir une assistance de prendre contact avec lui. RĂ©ponse de COFFI Je vous prie instamment maintenant, de ne pas avorter votre avenir. Bonne chance... Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mr G. Ă  ABRESCHVILLER MOSELLE J'ai trouvĂ© le site de COFFI en navigant sur internet, j'ai ensuite demandĂ© les informations nĂ©cessaires. AprĂšs quelques discussions avec COFFI envoie de photos de mon couple COFFI m'a renvoyĂ© quelques photos montage toujours par le biais du net bien sur. J'ai ensuite fais mon choix parmi les propositions. J'ai ensuite demandĂ© le mouvement Ă  suivre qui m'a permis de retrouver dans les dix jours environ l’ĂȘtre aimĂ©. J'ai installĂ© dans ma vie, quelques petits rĂ©glages et le tour Ă©tait jouĂ©. Tout fonctionne trĂšs bien. Je suis trĂšs satisfait. Je ne suis pas trĂšs douĂ© en amour mais tout ceci est trĂšs simple Ă  faire avec son aide. RĂ©ponse de COFFI Vous avez su tenir compte de la conduite Ă  tenir justement. Vous m’en voyez ravi ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme G. Ă  LYON RHONE Specialiste Retour Affection Maitre COFFI a retenu mon attention grĂące Ă  son site internet qui propose une gamme importante de solutions. La prĂ©cision des descriptions et la transparence des conditions du retour d’affection m’ont incitĂ© Ă  prendre contact avec Monsieur COFFI. La qualitĂ© de son Ă©coute et les informations obtenues ont renforcĂ© ma confiance. La possibilitĂ© de composer une relation Ă  notre goĂ»t en combinant ses divers Ă©lĂ©ments de rĂ©paration des sentiments m’a semblĂ© fort intĂ©ressant, ainsi que les conditions de paiement sĂ©curisĂ© ... "Je ne courrais pas grand risque". Ce fut un moment de bonheur. La chaleur de l'accueil rend encore plus agrĂ©able le choix de la dĂ©marche affective. L'harmonie entre les trois est fondamentale; on peut mĂȘme envisager la venue d’un autre enfant, modifier lĂ©gĂšrement les objectifs et surtout rĂ©flĂ©chir Ă  notre situation dans la maison. Le bonheur ensemble Ă  pris dĂ©finitivement sa place parmi nous. RĂ©ponse de COFFI Vous avez devinĂ© Chers Internautes, la bataille fait rage sur Internet, et certains font feu de tout bois, pour se faire une place au hit-parade de l'Ă©sotĂ©risme ! Je suis heureux pour vous... Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme C. Ă  VILLEVAUDE SEINE-ET-MARNE Conception parfaite de ce qu’est l’amour Ă  mon goĂ»t. TrĂšs satisfaite de ses conseils et un prix plus qu'abordable en comparaison avec d’autres sites. Je vous conseille de faire des comparaisons et de faire confiance Ă  ce fournisseur de conseils Ă©clairĂ©s sur le couple. RĂ©ponse de COFFI Sans, partie pris, nul doute que c’est un des meilleurs choix que vous ayez fait de suivre le bon sens commun ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme Mr R. Ă  MERY ES BOIS CHER Je suis trĂšs satisfaite de mon conseiller matrimonial COFFI . Il m’a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©e presque sur commande par Internet sans aucun problĂšme. Le dĂ©lai de retour fut parfait, la livraison parfaite des messages et le montage photos fait dans de trĂšs bonnes conditions. J'ai Ă©tĂ© trĂšs bien reçu par internet pour tout les dĂ©tailles concernant le retour d’affection ainsi que les renseignements de changement de comportement, et il ne sait pas passĂ© plus de 1 mois entre la sĂ©paration et les retrouvailles. Je remercie Specialiste Retour Affection Maitre COFFI pour ses compĂ©tences et sa gentillesse sur le plan humain et la livraison d’une philosophie hors norme ainsi que pour le message de paix. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Nous avons une RĂ©putation Ă  dĂ©fendre, et nous ne sommes pas venus sur Internet pour faire du n'importe quoi ! Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mr H. Ă  MONTLUÇON ALLIER pour moi. TrĂšs bon rapport avec lui. Bref
 satisfaction totale... Ă  recommander sans modĂ©ration et en pleine confiance. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Le retour d'affection est un domaine qui nous demande d'ĂȘtre exclusif, pour qu'on puisse le Travailler dans les rĂšgles de l'art, et surtout pour que l'on puisse l'aborder avec beaucoup de SĂ©rieux. Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mr P. Ă  VILLEJUIF VAL-DE-MARNE C'est en surfant sur internet que j'ai dĂ©couvert le site Retour d’Affection, prĂ©sentant un grand choix d'hypothĂšses, dont celle d’aider la communautĂ© GAY... avec un excellent rapport comme interlocuteur, COFFI, est toujours disponible et professionnel, sans prĂ©jugĂ©s. RĂ©ponse de COFFI Le monde va-t-il changer ??? Avec des valeurs sincĂšres et vraies, sans prendre d'artifice pour se dĂ©voiler aux autres, sans mentir et s'inventer un monde factice, sans dĂ©tour pour dĂ©voiler Ă  l'autre son intimitĂ©... Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Mme Mr B. Ă  SAINT-GILLES GARD Mon Ă©pouse et moi sommes trĂšs satisfaits de la façon dont se sont passĂ©es les diverses Ă©tapes de cette demande sur internet Retour d’Affection, visualisation de photos sous divers angles, demande d'Ă©chantillons de conseils, choix de l’accompagnement. La rencontre avec notre enfant a eu lieu un dimanche et l’attitude correspondait exactement Ă  notre attente. Ce retour occupe une place de choix dans notre maison. Il a un vif succĂšs auprĂšs de ses nouveaux amis. Et c'est avec une certaine fiertĂ© que je leur communique l'adresse de COFFI. RĂ©ponse de Specialiste Retour Affection Maitre COFFI Je n'ai de cesse que de vouloir faire comprendre, saisir le sens du chemin /La Voie Ă  parcourir plutĂŽt que de poursuivre des sentiers Ă  travers lesquels on se dĂ©tourne... Contact direct du Maitre COFFI 0022995092699. Whatsapp et Viber E-mail mediumcoffi Merci et bonne visite. Pages de rĂ©sultat 1 >>> Vous ĂȘtes Ă©nergique, inspirĂ© crĂ©ativement et Ă©motionnellement en cette pĂ©riode, et vous voulez donnez tout ce que vous avez Ă  l'intĂ©rieur de vous. Écrivez-nous !

Ontraverse Ă  guĂ© la Garonne Le ciel est plein bleu Ă  Paris Ma mie l'hiver est Ă  l'envers Ne t'en retourne pas dehors Le monde est en chamaille On gĂšle au sud, on sue au nord Fais du feu dans la cheminĂ©e Je reviens chez nous S'il fait du soleil Ă  C'Ă©tait l'une de ces fins d'aprĂšs-midi glaciales du mois d'avril. Un dimanche, de prĂ©fĂ©rence. Loin de chez moi, loin du confort de mon salon, du radiateur. Loin du printemps. Ce matin mĂȘme, on y avait presque cru, au printemps. Puis une pluie finie et pĂ©nĂ©trante, tĂȘtue, Ă©tait venue briser nos illusions. "Il est nĂ© ce matin, j'ai vu sa mĂšre le lĂ©cher, alors je suis remontĂ© Ă  la maison. Je suis repassĂ© vers 5 heures, et j'ai vu qu'il ne bougeait plus. Je l'ai remontĂ© dans le godet du tracteur." Le veau est Ă©tendu, la tĂȘte en arriĂšre, les yeux rĂ©vulsĂ©s. Il tremble. Pas de rĂ©flexe pupillaire, un cƓur correct. MĂȘme pas douze heures d'Ăąge et dĂ©jĂ  en hypothermie. Mon thermomĂštre se dĂ©clenche Ă  LĂ , il ne s'est pas allumĂ©. "Il est en train de crever de froid, votre veau." Un peu comme moi, mais en pire. Ça, c'est du diagnostic. "Il va me falloir un seau d'eau chaude, trĂšs chaude, et des bouillottes, des bidons plein d'eau bouillante, de la paille, ensuite." Il n'est pas dĂ©shydratĂ©, mais il est forcĂ©ment en hypotension, et en hypo-tout, d'ailleurs. Une perf de salĂ©, avec du sucre. J'ajoute des corticoĂŻdes dans le flacon, un antibio, en couverture. Un peu de vitamine E, parce que. Avec un bolus d'hypertonique dans la veine. Quitte ou double. Le gars revient, avec son seau d'eau dans lequel je plonge mon flacon et le serpentin de deux perfuseurs montĂ©s en sĂ©rie - pour que le liquide reste le plus longtemps dans l'eau chaude avant d'atteindre sa jugulaire. L'Ă©leveur me regarde comme un veau nouveau-nĂ© regarde son premier chat curieux, voire fascinĂ©, mais complĂštement perdu. Il me le dira, plus tard il n'avait jamais entendu parler de perfusions de sucre. Et mes tuyaux interminables, vissĂ©s les uns aux autres ! SystĂšme D vĂ©tĂ©rinaire l'un des charmes du mĂ©tier. DĂ©merde-toi pour sauver des vies, bricole, trafique, tant que ça marche ! Évidemment, il m'a aussi apportĂ© deux bouteilles d'eau bouillante, comme si 3L d'eau allaient rĂ©chauffer un veau de 50kg. Je n'ai rien dit, je les ai posĂ©es contre le bĂ©bĂ©. De toute façon, je vais avoir 20 minutes Ă  tuer, le temps de passer cette foutue perfusion. Pas trop vite. Si j'arrive Ă  poser l'aiguille dans cette foutue jugulaire de veau en hypotension ! Qui ne rĂ©agit mĂȘme pas, d'ailleurs. Vingt minutes pendant lesquelles je vais expliquer Ă  l'Ă©leveur que les bouillottes, c'est au moins 40 litres. Il doit bien y avoir des bidons qui traĂźnent ? Que les mĂ©dicaments et les perfusions, c'est sympa,mais qu'il a surtout besoin de chaleur. Que sa mĂšre n'a pas du le lĂ©cher tant que ça, qu'il est restĂ© trempĂ© sous cette pluie glaciale, dans la boue, qu'il n'a sans doute pas tĂ©ter, qu'il est peut-ĂȘtre un peu hypothyroĂŻdien, c'est frĂ©quent dans la rĂ©gion. S'il vit, on lui filera de l'iode et du sĂ©lĂ©nium. Oui oui, plein de vitamines, ce sera super mais ce n'est pas ça qui le sauvera, monsieur... Vingt minutes au bout desquelles je me relĂšve difficilement, les jambes coupĂ©es par la position accroupie. J'ai passĂ© ma perf, le veau a l'air toujours aussi mourant, toujours aussi glacĂ©. Et lui, il me regarde en se frottant les mains. Apparemment, le message du volume des bouillottes n'est pas passĂ©. Trop dĂ©licatement suggĂ©rĂ©, sans doute, alors j'y vais plus carrĂ©ment. "A l'intĂ©rieur, ce serait bien, aussi. Dans le garage, contre la chaudiĂšre, c'est possible ? Ou alors, vous avec un feu allumĂ© ?" Il me regarde avec de grands yeux effrayĂ©s, alors que je retourne Ă  ma voiture pour rĂ©diger l'ordonnance inutile indiquant les temps d'attente avant consommation de la viande d'un veau qui va mourir cette nuit. Il attends. "Vous avez un feu allumĂ© ? - Oui, oui, vous voulez un cafĂ© ?" OK. Je suis fort, je suis un homme, je suis vĂ©tĂ©rinaire. Je prends le veau dans mes bras. Il pends comme un cadavre, mais un cadavre qui respire. Le poids des corps morts. A mon avis, c'est un nouveau-nĂ© de... au moins 100kg ! Les yeux de l'Ă©leveur roulent. Je prends le chemin de la maison, il trottine Ă  mes cĂŽtĂ©s. Ce veau pĂšse le poids d'un Ăąne mort, mais, je suis vĂ©tĂ©rinaire, je suis un homme, je suis fort, je souris l'air de rien, en apnĂ©e. Foutue montĂ©e ! Cette maison est au moins Ă  10km ! 500 mĂštres de dĂ©nivelĂ© entre la stabulation et le seuil de la porte ! Deux minutes plus tard, l'Ă©leveur ouvre cette foutue porte d'entrĂ©e et se glisse devant moi. Il a l'allure de celui qui subit. Une autre porte. Un vĂ©ritable sas avant le salon, sa grande cheminĂ©e en briques, presque un cantou. J'y pose le veau aprĂšs avoir balayĂ© le tisonnier avec ma botte boueuse. Il y a un cadavre dans la cheminĂ©e de madame. Un cadavre de bovin, en plus. Mais un cadavre qui respire ! "Mais il va crever, oui ! - C'est trĂšs probable, madame, et s'il survit, il aura sans doute des sĂ©quelles, mais s'il reste dehors, il mourra, il est en hypothermie, il faut le rĂ©chauffer, il fait trop froid lĂ -bas." Monsieur a dĂ©jĂ  presque disparu sous la table. Une magnifique table en chĂȘne parfaitement cirĂ©e, sur une superbe tommette impeccablement entretenue. Un chemin de table sans un pli. Des cuivres rutilants. Une cheminĂ©e sans poussiĂšre. Des petits chaussons, dans le sas. Les traces de mes bottes boueuses. Un cadavre de veau qui respire dans la cheminĂ©e. Je tiens Ă  cette respiration. Et puis, j'aurais mieux fait de passer cette perf' ici, il fait bon. Personne n'ose rien dire. Je profite honteusement de mon aura de vĂ©to pour imposer ce nouveau-nĂ© ici. Dans cet univers Ă©loignĂ© d'au moins 100km de la stabulation. Au moins. Et je m'Ă©clipse. Il aura survĂ©cu, finalement. L'Ă©leveur m'en parle encore. Sa femme, je ne l'ai pas revue, pour le moment. Le veau est restĂ© une nuit au chaud. Sa niĂšce est passĂ©e le soir mĂȘme, quelques heures aprĂšs moi. Elle a suggĂ©rĂ© de prendre des photos du veau dans la cheminĂ©e. Il a refusĂ© pas envie d'avoir des souvenirs d'un veau mort dans sa maison. Il le regrette, maintenant. Le veau a survĂ©cu, se porte parfaitement bien, et sans sĂ©quelle, s'il-vous-plaĂźt. Ma perfusion de chlorure de sodium additionnĂ©e de dextrose et son double serpentin sont devenus cĂ©lĂšbres dans le canton. En plus, j'avais mis une vitamine conditionnĂ©e avec un colorant rouge, dedans, la couleur rouge, c'est trop classe. Parfois, on rĂ©alise de vĂ©ritables exploits diagnostiques ou chirurgicaux. Personne n'est lĂ  pour les apprĂ©cier. Et d'autres fois, on bricole un truc avec deux bouts de plastique et on commet l'inconcevable. Franchir une porte avec un veau. Et tout le monde vous en parle. Allez comprendre.
\n\n\n\nfait du feu dans la cheminée paroles
JeReviens Chez Nous S'il fait du soleil Ă  Paris Il en fait partout. Je rapporte avec mes bagages Un goĂ»t qui m'Ă©tait Ă©tranger MoitiĂ© domptĂ©, moitiĂ© sauvage C'est l'amour de mon potager. Fais du feu dans la cheminĂ©e Je Reviens Chez Nous S'il fait du soleil Ă  Paris Il en fait partout. Fais du feu dans la cheminĂ©e Je rentre chez moi Merci d’indiquer quelle est la source de ce texte. Pour un texte qui provient d’un site, indiquer l’adresse de la page vous avez consultĂ© un fac-similĂ© en ligne, indiquez le lien vers le un livre papier, donnez le maximum d’informations permettant de le retrouver, et au moins Le titre Le ou les auteurs et traducteurs La maison d’édition ou le lieu d’édition pour les livres anciens L’annĂ©e d’édition le nombre de volumes s’il y en a plus d’un, ou le numĂ©ro de volume si le texte provient d’une collection.Dans tous les cas, si vous le pouvez, donnez un lien vers la notice du livre dans le catalogue de la BNF. PersonnagesModifier PiĂšce en un acte reprĂ©sentĂ©e pour la premiĂšre fois Ă  la ComĂ©die-Royale, le 15 novembre 1908 entrĂ©e au rĂ©pertoire de la ComĂ©die-Française. Le 27 octobre 1941 Personnages ComĂ©die-Royale Lucien MM. Marcel Simon Joseph Lacoste Yvonne Mme A. Cassive Annette G. Chalon ComĂ©die-Française Lucien MM. Pierre Bertin Joseph Fernand Ledoux Yvonne Mmes Madeleine Renaud Annette Catherine Fonteney La chambre Ă  coucher d’YvonneModifier IntĂ©rieur modeste, mais avec une recherche d’élĂ©gance et de confort ; luxe Ă  bon marchĂ©, bibelots gentils mais sans valeur. Au mur, des gravures modernes encadrĂ©es, des Ă©ventails japonais, etc. Au fond, une porte donnant sur le vestibule. A droite, deuxiĂšme plan, une porte dont les battants sont enlevĂ©s et remplacĂ©s par une portiĂšre. A gauche, deuxiĂšme plan, en pan coupĂ©, porte donnant dans la chambre de Lucien. A gauche, premier plan, une cheminĂ©e surmontĂ©e de sa glace. A droite, premier plan, un lit de milieu ; contre le pied du lit, une banquette aussi longue que la largeur du lit. A la tĂȘte du lit, cĂŽtĂ© public, une petite table Ă©tagĂšre sur cette table une veilleuse allumĂ©e et un flacon de pharmacie ; de l’autre cĂŽtĂ© du lit, Ă©galement Ă  la tĂȘte, un fauteuil. Contre le pan de mur qui sĂ©pare la porte du fond de la porte de gauche, un petit secrĂ©taire de dame, ouvert. A droite du secrĂ©taire, appuyĂ©e au mur, une chaise. PrĂšs de la cheminĂ©e, presque Ă  l’avant-scĂšne et lĂ©gĂšrement dos au public, un fauteuil ; sur ce fauteuil, un jupon et une chemise de jour de femme. Sur la cheminĂ©e une pendule, des candĂ©labres ; plus Ă  droite, un service-verre d’eau soit une carafe coiffĂ©e de son verre sur son plateau Ă  gauche, une boĂźte d’allumettes et une veilleuse-rĂ©chaud, pour faire de la tisane. Contre le mur, Ă  droite de la porte du fond, un canapĂ©. Dans l’encoignure, une petite table placĂ©e de biais. JetĂ© sur le pied du lit, un saut de lit de femme
 Par terre, cĂŽtĂ© public, les pantoufles d’Yvonne sans contreforts ni talons ; de l’autre cĂŽtĂ© du lit, les pantoufles de Lucien. Au plafond, un lustre actionnĂ© par un interrupteur placĂ© Ă  gauche de la porte du fond. Dans le secrĂ©taire, de quoi Ă©crire et quelques cartes-lettres. ScĂšne premiĂšreModifier Yvonne, puis Lucien Au lever du rideau, la scĂšne est dans la pĂ©nombre, uniquement Ă©clairĂ©e par la veilleuse qui est sur la petite table Ă  droite du lit. Yvonne, couchĂ©e dans le lit, dort profondĂ©ment ; on entend le bruit lĂ©ger et rĂ©gulier de sa respiration. Attendre cinq secondes aprĂšs le lever du rideau et sonner une fois. Yvonne, que cette sonnerie ne rĂ©veille pas, mais tout de mĂȘme troublĂ©e lĂ©gĂšrement dans son sommeil, pousse un soupir plus long et se tourne un peu sous sa couverture. Compter jusqu’à dix aprĂšs la premiĂšre sonnerie, puis sonner Ă  nouveau une fois. Yvonne, qui est couchĂ©e sur le cĂŽtĂ© gauche, presque aussitĂŽt cette sonnerie, ouvre des yeux gonflĂ©s de sommeil, soulĂšve un peu la tĂȘte, puis. — Qu’est-ce que c’est que ça ? Nouveau coup de sonnette. — Avec humeur. Je parie que c’est Lucien qui a oubliĂ© sa clĂ© !
 Rejetant ses couvertures. C’est bĂȘte de vous donner des palpitations pareilles ! Elle saute du lit ; elle est en chemise de nuit, pieds nus et jambes nues. — Deux coups de sonnette successifs. — Furieuse. VoilĂ  ! Elle saisit son peignoir d’un geste brusque et chausse vivement ses pantoufles. — Sonneries rĂ©pĂ©tĂ©es. Mais voilĂ , quoi ! N’ayant pas le temps d’enfiler son peignoir, elle se le jette autour du cou comme un cachez-nez. Elle gagne ainsi jusque dans le vestibule, puis arrivĂ©e Ă  la porte d’entrĂ©e qui donne sur le palier, sur un ton bourru Qui est lĂ  ? Voix de Lucien, piteuse comme celle d’un enfant en faute qui a peur d’ĂȘtre grondĂ©. — C’est moi ! J’ai oubliĂ© ma clĂ© ! Yvonne, dans la vestibule. — Ah ! naturellement ! Tout en ouvrant la porte dont on entend le bruit de serrure. Comme c’est agrĂ©able ! Redescendant en scĂšne. Allez ! entre ! ArrivĂ©e Ă  l’avant-scĂšne droite, elle grimpe dans son lit ; cela par les genoux, dos au public. Pendant ce temps, Lucien a refermĂ© la porte d’entrĂ©e, on l’entend qui assujettit la chaĂźne de sĂ»retĂ©. Sur le "Allez, entre ! " de sa femme. Lucien paraĂźt il est en costume Louis XIV sous un impermĂ©able fermĂ© jusqu’au cou, et qui ne descend pas plus bas que le bas des hanches. Autour du collet relevĂ© de l’impermĂ©able, un foulard nouĂ©. Il a des gants blancs trempĂ©s aux mains ses souliers sont crottĂ©s et ses bas de mĂȘme jusqu’au mollet. Tout le dos de l’impermĂ©able n’est qu’une large tache d’eau. A son entrĂ©e, il a les mains empĂȘtrĂ©es de son bougeoir allumĂ©, de sa canne Louis XIV et de son parapluie. Son Ă©pĂ©e s’accroche dans la porte quand il franchit le seuil. Yvonne dans le lit. Eh ! bien ? C’est pour demain ? Lucien. — VoilĂ  !
 Je te demande pardon ! En ce disant il tourne le commutateur Ă©lectrique Ă  gauche de la porte, ce qui allume le lustre. Yvonne, avec humeur. — Ah ! tu me demandes pardon ! Tu aurais mieux fait de ne pas oublier ta clĂ©. C’est gai d’ĂȘtre rĂ©veillĂ©e en sursaut quand on dort. Lucien, sur un ton confus. — Je t’ai rĂ©veillĂ©e ? Yvonne, sur un ton coupant. — Evidemment, tu m’as rĂ©veillĂ©e ! Tu ne penses pas que je t’ai attendu jusqu’à cette heure-ci ? Lucien, bien sincĂšrement, comme soulagĂ©, tout en pivotant pour aller vers la cheminĂ©e afin d’y dĂ©poser son bougeoir. — Ah ! tant mieux ! Il fait mine de souffler sa bougie, mais s’arrĂȘte Ă  la voix d’Yvonne. Yvonne. — Comment, "tant mieux" ! tu es content de m’avoir Ă©veillĂ©e ? Lucien. — Mais non ! je dis tant mieux
 que tu ne m’aies pas attendu. Il souffle sa bougie, la dĂ©pose sur la cheminĂ©e, pose sa canne dans l’encoignure de cette derniĂšre, puis, son parapluie entr’ouvert et ruisselant sous le bras, se dirige vers le lit, en secouant ses mains glacĂ©es sous ses gants trempĂ©s. Yvonne. — Je te demande un peu si c’est une vie de rentrer Ă  cette heure-ci ! Lucien, tout en retirant ses gants. — Je n’ai pas pu trouver de fiacre. Et il fait un temps ! Il n’y avait que des lanternes pour Vaugirard ou Le ChĂąteau-d’Eau ! On ne trouve jamais les lanternes de son quartier. Yvonne. — Je suis sĂ»re qu’il doit ĂȘtre des heures
 !! Lucien, sans conviction. — Oh ! non, il est Ă  peine
 A ce moment prĂ©cis, la pendule de la cheminĂ©e se met Ă  sonner quatre coups. Yvonne, lui coupant la parole. — Attends ! Tous deux prĂȘtent l’oreille. Lucien avec une certaine grimace. Une fois les quatre coups sonnĂ©s. Yvonne avec un rictus aux lĂšvres. Quatre heures dix ! Lucien. — Comment, "dix" ! Yvonne, coupante. — Evidemment ! La pendule retarde de dix minutes ! Lucien. — C’est pas possible, elle bat la breloque
 Tout Ă  l’heure, quand je suis passĂ© devant la gare Saint-Lazare
 Yvonne. — Oui ! Oui ! tu vas me dire qu’il Ă©tait minuit ! Lucien. — Minuit, non, mais
 Yvonne. — Mais si ! mais si ! c’est une chose connue quand les maris dĂ©couchent, les pendules de leurs femmes battent toujours la breloque
 Lucien, allant au lit. — Oh ! que tu es exagĂ©rĂ©e ! VoilĂ  que je dĂ©couche, Ă  prĂ©sent ! S’asseyant sur le pied du lit. Enfin, c’était convenu que je rentrerais tard, puisque j’allais au bal des Quat’ Z’arts ! Je ne pouvais pourtant pas le quitter avant qu’il fĂ»t commencé  Yvonne, sur un ton sans rĂ©plique. — Tu aurais mieux fait de ne pas y aller du tout !
 Est-ce que c’est ta place ! Qu’est-ce qu’ils ont dĂ» penser de toi aux Quat’Z'arts !
 en te voyant, toi, un homme mariĂ© ! Lucien, qui, depuis son entrĂ©e, n’a pas quittĂ© son parapluie, distraitement traçant avec des dessins sur le tapis comme on fait avec une canne sur le sable. — Oh ! je t’assure qu’ils ne se sont pas occupĂ©s de moi ! Yvonne, brusquement lui envoyant Ă  travers la couverture un coup de genou dans la hanche. — Mais fais donc attention ! Lucien, que ce coup a fait sauter du lit. — Quoi ? Yvonne, criant. — Ton parapluie ! tu inondes mon tapis ! Lucien. — Moi ! Instinctivement il baisse la tĂȘte pour constater le dĂ©gĂąt, ce qui fait que du bord de son chapeau s’échappe une rigole d’eau. Yvonne, criant plus fort. — Et ton chapeau !
 il dĂ©goutte. Lucien, tout abasourdi, se prĂ©cipitant vers la porte du fond pour dĂ©poser chapeau et parapluie dans le vestibule. — Oh !
 Je te demande pardon. Yvonne. — Ne pas mĂȘme voir qu’il rigole. Lucien, en sortant. — Il a bien de la chance ! Yvonne, rageuse — Oui, oh ! fais de l’esprit ! Lucien a reparu et s’est arrĂȘtĂ©, piteux, entre la porte et le secrĂ©taire. Il tire bĂȘtement sur un des bouts de son foulard pour le sortir du collet de son impermĂ©able. Yvonne le considĂ©rant avec pitiĂ©. Ah ! non, la touche que tu as, comme ça ! Lucien. — C’est la pluie ! Yvonne. — Oui, oh ! tu es joli !
 Regarde-moi ces bas !! d’oĂč ça sort-il ? Lucien, piteux. — Du magasin de blanc ! Yvonne. — Ah ! bien ! ils peuvent y retourner ! Ah ! lĂ , là
 ! Brusquement Mais enlĂšve donc ton paletot ! tu ne comptes pas coucher avec ! Lucien, dĂ©cidĂ© Ă  toutes les concessions. — Tu as raison. Il se tourne dos au public et enlĂšve son paletot qu’il dĂ©pose sur la chaise Ă  droite de la porte, puis, tirant son Ă©pĂ©e d’un geste large, il va la ranger contre la cheminĂ©e. Yvonne. — C’est vrai ça ! Voyant Lucien qui, redescendu au milieu de la scĂšne a un frisson. — Sur un ton obsĂ©dĂ© Qu’est-ce que tu as ? Lucien, fait signe de la tĂȘte que ce n’est rien, puis. — J’ai froid. Yvonne, narquoise. — Ah ! T’as froid ! Tu voudrais peut-ĂȘtre que je te plaigne ? Lucien, avec un mouvement d’impatience. — Mais non ! tu me demandes ; alors, je te dis. Yvonne. — Eh ! bien ça t’apprendra Ă  faire la noce ! Voyant Lucien qui s’est approchĂ© dos Ă  la cheminĂ©e et prĂ©sente ses mains et, alternativement, chacun de ses pieds au foyer. — Sur un ton de pitiĂ©. Qu’est-ce que tu fais dans la cheminĂ©e ? Lucien, mĂȘme jeu, trĂšs simplement. — J’essaie de me rĂ©chauffer. Yvonne. — Il n’y a pas de feu ! Lucien, rĂ©pĂ©tant machinalement. — Il n’y a pas d
 hein ? Jetant un regard sur le foyer. Ah ! oui tiens !
 L’habitude, tu sais. Comme quand il y a du feu, c’est lĂ -dedans qu’on le met
 alors, inconsciemment
 ! Yvonne. — Ssse ! Lucien, d’un ton minable. — Comme c’est peu charitable Ă  toi de m’enlever mes illusions ! Je commençais dĂ©jĂ  Ă  me rĂ©chauffer. Yvonne. — Ah ! tu te chauffes avec des illusions, toi ? Eh bien ! dorĂ©navant, mon vieux
 pour ton feu !
 Lucien, agacĂ©, haussant les Ă©paules et remontant au fond. — Ah ! la bada ! Yvonne, revenant Ă  la charge. — Non ! penser qu’on n’est mariĂ© que depuis deux ans et que monsieur lĂąche dĂ©jĂ  sa femme pour aller au bal des Quat’-Z’arts ! Lucien, obsĂ©dĂ©. — Ecoute, je t’en prie
 je suis fatiguĂ©, tu me feras une scĂšne demain. Yvonne. — Oh !
 je ne te fais pas de scĂšne ! je constate. Lucien, descendant un peu en scĂšne. — Si tu ne comprends pas qu’un homme a besoin, pour ne pas s’encroĂ»ter, de tout voir, de tout connaĂźtre
 pour former son esprit
 ! Yvonne, avec un profond dĂ©dain. — Oh ! non
 ! non ! Ă©coutez-moi ça ! T’es caissier aux Galeries Lafayette ; c’est ça qui peut te servir pour ta profession, de connaĂźtre le bal de Quat’-Z’arts ! Lucien, piquĂ©. — Je ne suis pas que caissier ! je suis peintre. Yvonne, haussant les Ă©paules. — T’es peintre ! tu barbouilles. Lucien, vexĂ©. — Je barbouille ! Yvonne. — Absolument ! Tant qu’on ne vend pas, on barbouille. Est-ce que tu vends ? Lucien. — Non, je ne vends pas ! Evidemment, je ne vends pas ! La belle malice ! Je ne vends pas
 parce qu’on ne m’achĂšte pas !
 sans ça
 ! Yvonne. — T’as jamais bien peint qu’une chose ! Lucien, heureux de cette concession. — Ah ! Yvonne. — Ma baignoire
 au ripolin. Lucien, vexĂ©, gagnant vers la cheminĂ©e. — Oh ! c’est drĂŽle ! Oh ! c’est spirituel. Va, marche ! Revenant vers le lit. N’empĂȘche que je suis plus artiste que tu ne crois ! Aussi, comme artiste, est-il tout naturel que j’aille chercher des sensations d’art. Yvonne. — Allons ! allons ! dis que tu vas chercher des sensations, un point, c’est tout ! Mais ne parle pas d’art ! Lucien, renonçant Ă  discuter. — Ah ! tiens, tu me cours ! Il gagne jusqu’à la cheminĂ©e et se met en posture de retirer son jabot devant la glace. Yvonne, rejetant ses couvertures. — Non
 mais
 Elle saute Ă  bas du lit et, pieds nus, court Ă  Lucien ; puis, aprĂšs l’avoir fait pivoter face Ă  elle. Non mais cite-m’en donc une, si je te cours ; cite-m’en donc une, de tes sensations d’art ! Lucien. — Mais absolument. Yvonne, sur un ton coupant. — C’est pas une rĂ©ponse ! Cite-m’en une ! Elle redescend en scĂšne. Lucien, descendant Ă  sa suite. — Je n’ai que le choix
 Tiens, par exemple, quand on a fait l’entrĂ©e d’Amphitrite. La toisant et avec un sourire un peu dĂ©daigneux. Tu ne sais peut-ĂȘtre pas seulement ce que c’est que l’Amphitrite ? Yvonne. — Oh ! n’est-ce pas ? Je ne sais pas ce que c’est !
 C’est une maladie du ventre ! Lucien, ahuri. — Quoi ? Yvonne. — Absolument ! Lucien, pouffant. — Une maladie du ventre ! C’est la dĂ©esse de la mer. Yvonne, interloquĂ©e. — Ah ?
 AcariĂątre. Eh ! quoi ! je confonds !
 je confonds avec l’entĂ©rite. Lucien. — Ça ne se ressemble pas ! Yvonne. — Quoi ! on peut se tromper. Lucien. — Oui, eh bien ! quand le cortĂšge a fait son entrĂ©e, ça, ç’a Ă©tĂ© une sensation d’art ! Un modĂšle admirable, complĂštement nu, dans une coquille nacrĂ©e, portĂ©e par des tritons et des sirĂšnes ! Yvonne, pincĂ©e. — Une femme toute nue ! Lucien. — Toute nue. Yvonne. — C’est du propre ! Lucien, trĂšs posĂ©ment. — Eh bien ! justement, c’est ce qui te trompe ! Il n’y avait rien d’inconvenant. Yvonne. — Oui ? Eh bien ! je ferais ça, moi !!
 Tout en parlant elle gagne l’avant-scĂšne droite et grimpe dans son lit. Lucien, levant les bras au ciel. — Ah ! parbleu, Ă©videmment, toi
 ! c’est bĂȘte ce que tu dis. Yvonne, dans son lit et sur son sĂ©ant. — Enfin, quoi, une chose est inconvenante ou elle ne l’est pas. Lucien. — Elle ne l’est pas quand c’est des modĂšles !
 Et celui-lĂ  une ligne !
 et des seins, ah !
 comme je n’en ai jamais vu ! Il va Ă  la cheminĂ©e. Yvonne, faisant une rĂ©vĂ©rence de la tĂȘte, puis sur un ton pincĂ©. — Je te remercie. Lucien, se retournant, interloquĂ©. — Quoi ? Yvonne. — T’es encore poli ! Lucien, lĂšve les yeux au ciel, puis. — Allons, bon ! tu vas encore te formaliser. Je ne dis pas ça pour toi ! Evidemment les tiens sont trĂšs jolis ! mais enfin
 ce ne sont tout de mĂȘme pas des seins de modĂšle. Il retourne Ă  la cheminĂ©e pour dĂ©faire son jabot. Yvonne. — Ah ! vraiment ?
 Rejetant ses couvertures et sautant Ă  bas du lit pour foncer sur Lucien. Pendant le trajet, tout en dĂ©nouant prĂ©cipitamment les rubans de sa chemise. Et
 et
 ArrivĂ©e Ă  Lucien ; le faisant pivoter face Ă  elle. et qu’est-ce que tu leur reproches ? Dos au public, et face Ă  Lucien, elle s’est campĂ©e devant lui, le devant de sa chemise ouvert et tenu Ă©cartĂ© des deux mains. Lucien, absolument ahuri par cette ruĂ©e inattendue. — Hein ? Mais, je ne sais pas
 Eh bien ! tiens, par exemple, là
 Il indique avec ses doigts une place de la poitrine d’Yvonne. Yvonne, lui appliquant une tape sur la main et bondissant en arriĂšre. — Assez ! Je te dĂ©fends d’y toucher !
 Va donc toucher ceux de la dame puisqu’ils sont mieux que les miens ! Lucien. — Oh ! que tu es bĂȘte ! Yvonne, revenant Ă  la charge. — Allez ! allez, dis ! qu’est-ce que tu leur reproches ? Lucien, serrĂ© entre le chambranle droit de la porte de gauche et Yvonne littĂ©ralement collĂ©e contre lui. — Oh ! peu de choses !
 MĂȘme en dessous ils sont trĂšs bien ! lĂ , tu vois, je suis juste. Mais au-dessus, dam ! ça creuse un peu ; ça
 Yvonne, indignĂ©e. — Ça creuse ! Lucien, avec un geste de la main faisant image. — Alors ça les fait lĂ©gĂšrement en portemanteau. Yvonne, renouant vivement les rubans de sa chemise. — En portemanteau ! en portemanteau ! C’est trop fort ! Elle saisit vivement Lucien par le bras gauche et l’envoie pivoter au milieu de la scĂšne. Lucien, ne sachant pas ce qui lui arrive. — Non, mais quoi ? Yvonne, qui a ouvert aussitĂŽt la porte ainsi dĂ©gagĂ©e, appelant. — Annette !
 Annette ! Voix d’Anette, tout ensommeillĂ©e. — Hoon ? Yvonne. — Annette, levez-vous ! Lucien, Ă©tonnĂ©. — Annette ? Yvonne. — Vous entendez ce que je vous dis ! Voix d’Anette, accent alsacien. — Matame ? Yvonne. — Allez, houste ! debout. Voix d’Annette. — Oui, matame. Lucien. — Ah ! ça, comment, Annette ? C’est Annette qui est dans ma chambre ? Yvonne, passant devant lui pour aller s’asseoir sur la banquette prĂšs du lit. — Eh ! bien ! oui, quoi, Annette ! Oui, Annette. Lucien. — Ah ! bien ! elle est raide, celle-lĂ  ! tu fais coucher la bonne dans mon lit, Ă  prĂ©sent ? Yvonne. — Non, mais tu aurais peut-ĂȘtre voulu que je reste toute seule dans l’appartement pendant que tu allais faire la noce ? Ah ! non, merci ! moi, j’ai peur ! Lucien. — C’est un comble ! la bonne dans mon lit ! Mais oĂč est-ce que je vais coucher, moi, alors ? Yvonne. — Eh ! bien
 lĂ  ! Elle indique la chambre de gauche. Lucien. — Avec la bonne ? Yvonne. — Quoi ? "la bonne" ? Quoi, "la bonne" ? Maintenant que tu es rentrĂ©, Annette montera dans sa chambre et tu reprendras ton lit. Lucien. — Jamais de la vie ! Coucher dans ses draps ! Yvonne. — Mais c’est pas ses draps, c’est les tiens. Lucien. — Mais elle a couchĂ© dedans, ça me suffit ! Yvonne, se levant et, tout en parlant, regrimpant dans son lit. — Oh ! naturellement ! S’il s’agissait de coucher dans les draps du modĂšle tout nu, tu ferais moins le dĂ©goĂ»té  Lucien, lĂ©gĂšrement Ă©grillard. — Ben ! tiens ! Yvonne, qui, Ă  genoux sur son lit, s’occupe tout en parlant Ă  secouer ses oreillers, se retournant vers Lucien Ă  ce mot. — Qu’est-ce que je disais ! Rampant sur les genoux jusqu’au milieu du lit T’aimerais mieux ça, hein ? Gagnant de mĂȘme jusqu’au pied du lit. T’aimerais mieux ça, dis
 ? Cochon
 ! Elle se recouche. Lucien, excĂ©dĂ©. — Oh !
 la barbe ! Il gagne jusqu’à la cheminĂ©e. ScĂšne IIModifier Les mĂȘmes, Annette Annette, arrivant de gauche. Elle est en tenue de nuit Chemise de grosse toile froncĂ©e au-dessus de la poitrine et dans le dos, de façon Ă  laisser un dĂ©colletĂ©, et ayant deux petites manches courtes et Ă©vasĂ©es s’arrĂȘtant aux biceps. Jupon de laine par dessus laissant passer le bas de la chemise. Elle est jambes nues dans des savates de feutre. Ses cheveux, en dĂ©sordre, sont en bandeaux par devant et sont tenus par derriĂšre par deux nattes serrĂ©es qui se redressent en l’air. Elle s’avance ainsi, Ă  moitiĂ© endormie, les yeux bouffis de sommeil. Avec un accent exagĂ©rĂ©. — C’est mĂątĂąme qui m’temante ? Yvonne, sautant Ă  bas du lit Ă  l’entrĂ©e d’Annette et courant Ă  elle. — Oui, venez un peu ! Vous ne savez pas ce que dit monsieur ? Annette, dans un bĂąillement. — Non, mĂątĂąme. Yvonne. — Il dit que j’ai les seins en portemanteau. Annette, indiffĂ©rente et endormie. — Ah ?
 pien, mĂątĂąme ! Lucien, ironique. — C’est pour lui raconter ça que tu fais lever la bonne ? Yvonne. — Parfaitement, monsieur ! Je veux qu’elle te dise elle-mĂȘme ce qu’elle en pense, de ma poitrine, pour te prouver que tout le monde n’est pas de ton avis ! A Annette. Qu’est-ce que vous me disiez, l’autre matin, justement Ă  propos de ma poitrine ? Annette, ouvrant pĂ©niblement les yeux. — ChĂ© sais pas, mĂątĂąme. Yvonne, appuyant chacun de ses membres de phrase d’une petite tape sur le bras ou la poitrine d’Annette. — Mais si, voyons ! j’étais en train de faire ma toilette ; je vous ai dit "C’est Ă©gal, il n’y en a pas beaucoup qui pourraient en montrer d’aussi fermes que ça ! " Qu’est-ce que vous m’avez rĂ©pondu ? Annette, faisant effort sur soi-mĂȘme. — Ah ! oui, ch’ai tit "Ça c’est vrai, mĂątĂąme ! quand che vois les miens, Ă  gĂŽtĂ©, on dirait teux pĂ©saces ! " Yvonne. — LĂ  ! tu l’entends ? Lucien, saisissant brusquement Annette par le bras droit et la faisant passer. — Eh bien ! quoi ? Quoi ? Qu’est ce que ça prouve ? Je n’ai jamais contestĂ© que tu eusses une gorge rare ; mais entre le rare et l’unique il y a encore une marge. Yvonne, tandis qu’Annette, en attendant la fin de leur discussion, est allĂ©e s’asseoir et somnoler sur le siĂšge prĂšs de la cheminĂ©e. — Ah ! vraiment ? Eh ! bien ! dĂ©sormais, tu pourras en faire ton deuil de ma gorge ! Lucien, avançant la main pour rĂ©pondre. — Oui, eh ! ben
 Yvonne, se mĂ©prenant sur son geste et lui appliquant une tape sur la main. — Pas touche ! Lucien, furieux. — Ah ! lĂ  voyons ! Yvonne. — Je la garde pour d’autres !
 qui sauront l’apprĂ©cier. Elle a gagnĂ© l’avant-scĂšne droite et regrimpe dans son lit. Lucien, furieux, arpentant la scĂšne, les deux mains dans les poches de sa culotte. — Eh ! ben, bon ! bien ! ça va bien ! garde-la pour d’autres ! garde-la pour qui tu voudras ! pour le pape, si tu veux ! Ah ! non, non, la patience qu’il faut avoir !
 Sans regarder il se laisse tomber sur le siĂšge, prĂšs de la cheminĂ©e, qu’il croit inoccupĂ© et sur lequel dort Annette. Annette, rĂ©veillĂ©e en sursaut et poussant un grand cri. — Ah ! Lucien, se redressant d’un bond et furieux. — Eh ! allez vous coucher, Annette ! Annette, maugrĂ©ant tout en remontant. — C’est pour ça qu’on m’a fait lever ? Lucien, entre le lit et le fond. — Ce n’est pas moi qui vous ai fait lever, c’est madame. Annette. — On aurait aussi pien fait de me laisser dormir ! Yvonne. — Ah ! c’est bien, Annette, n’est-ce pas ? On ne vous demande pas vos rĂ©flexions !
 Et puis, Annette, qui dĂ©jĂ  s’apprĂȘtait Ă  rentrer, s’arrĂȘte Ă  la voix d’Yvonne puisque vous ĂȘtes debout, vous allez en profiter pour monter dans votre chambre et rendre son lit Ă  monsieur. Annette fait de nouveau mine de sortir et s’arrĂȘte comme prĂ©cĂ©demment Ă  la voix de Lucien. Lucien, impĂ©ratif. — Du tout ! du tout ! elle l’a pris ; qu’elle le garde ! moi ! je coucherai ici. Yvonne. — Avec moi ? Ah ! non ! Lucien, de mĂȘme. — Oui, eh bien ! tu coucheras oĂč tu voudras, mais c’est le lit conjugal, et j’y ai droit ! Yvonne. — Soit ? Mais tu sais si tu espĂšres quoi que ce soit
 tu te mets le doigt dans l’Ɠil. Lucien, avec un haussement d’épaules. — Ah ! lĂ  ! est-ce que je te demande quelque chose ! Il remonte au-dessus du lit sur le bord duquel il s’assied, et, dos au public, se met en devoir de retirer ses chaussures. Yvonne, tout en arrangeant ses couvertures. — Oui, eh bien ! ça se trouve bien ! Lucien, brusquement, Ă  Annette qui dort debout contre le chambranle de la porte de gauche. — Eh ben ! allez vous coucher, vous ! Annette, avec des airs de victime. — Oui, moussiĂ© ! Lucien. — Allez, la Joconde ! allez ! Annette. — Quelle boĂźte. Elle sort en haussant les Ă©paules. Yvonne. — Ah ! non, ce serait trop raide que tu ailles t’exciter sur une autre et que ce soit moi aprĂšs ça
 ! Ah ! non !
 Je ne joue pas les doublures, moi ! Lucien, excĂ©dĂ©. — Ah ! je t’en prie, hein ? Tu me diras ça demain ; je suis fatiguĂ©. Yvonne, s’enfonçant sous les couvertures et dos Ă  Lucien. — Oh ! tu as raison ! au lieu de discuter, je ferais bien mieux de dormir. Lucien. — Eh bien ! c’est ça ! dors ! Yvonne, aprĂšs un temps, se mettant Ă  demi sur son sĂ©ant et par-dessus son Ă©paule. — C’est Ă©gal ! je ne suis pas fĂąchĂ©e que la bonne t’ait rivĂ© ton clou. Lucien, se dressant, furieux, et de sa pantoufle qu’il tient de la main, dĂ©signant la porte du fond. — Ecoute !
 tu veux que je m’en aille ? Yvonne, la tĂȘte sur l’oreiller et du ton le plus dĂ©tachĂ©. — Va-t’en si tu veux. Lucien, exaspĂ©rĂ©, arpentant la scĂšne, un pied chaussĂ© d’une pantoufle, l’autre non, ce qui lui donne une dĂ©marche boitillante. — Oh ! Oh ! Oh !
 Revenant au pied du lit. D’abord, qu’est-ce qu’elle sait, la bonne ? Sans s’asseoir et tout en chaussant sa pantoufle. Il est Ă©vident que si elle n’a comme point de comparaison que sa poitrine Ă  elle, je t’accorde qu’entre les deux
 ! Yvonne, bondissant sur son sĂ©ant. — Ah ! il te faut l’avis de gens plus compĂ©tents ? C’est bien ! Demain nous avons le chef de rayon de la parfumerie des Galeries Lafayette et M. Godot Ă  dĂźner ; je la leur montrerai, ma gorge ! et ils donneront leur avis. Lucien, scandalisĂ©. — Non, mais tu es folle ? Yvonne. — Pourquoi donc ? Tu dis toi-mĂȘme que ce n’est pas inconvenant. Lucien, avec force. — Ce n’est pas inconvenant, quand on est toute nue ! Yvonne, du tac au tac. — Eh bien ! je me mettrai toute nue ! Lucien, abasourdi. — Elle est folle ! elle est complĂštement folle ! Yvonne, entre chair et cuir, tout en se refourrant sous ses couvertures. — Ah ! je les ai en portemanteau ! eh bien ! c’est ce que nous verrons ! Lucien, allant jusqu’au pied du lit et les mains jointes. — Ah ! non, grĂące ! grĂące ! tu m’abrutis avec tes lardons continuels ! Il remonte entre la porte du fond et le secrĂ©taire. Yvonne, se soulevant Ă  demi et sur un ton dĂ©daigneux. — Eh ben !
 couche-toi ! qu’est-ce que tu attends ?
 Tu ne comptes pas rester en Roi-Soleil toute la nuit ? Lucien, d’une voix Ă©teinte, tout en se donnant des petits coups du bout des doigts dans le creux de l’estomac. — Non. Yvonne, le considĂ©rant avec pitiĂ© et sur un ton obsĂ©dĂ©. — Qu’est-ce que tu as encore ? Lucien, l’air misĂ©rable. — J’ai mal Ă  l’estomac. Yvonne. — Allons bon ! voilĂ  autre chose ! Elle rejette ses couvertures et saute hors du lit. Lucien. — Je voudrais qu’Annette me fasse de la camomille. Yvonne, tout en passant ses pantoufles. — C’est bon ! on va t’en faire de la camomille ! En ce disant elle se dirige vers la porte de gauche. Lucien, s’interposant. — Mais qui est-ce qui te demande de te lever ?
 Je peux faire ma commission moi-mĂȘme. Yvonne, le repoussant. — Oh ! non, non !
 Revenant sur lui. je ne veux pas que tu puisses dire que je te laisserais crever !
 Non !
 Je connais mes devoirs !
 et je les remplis !
 Moi ! Lucien, sur le mĂȘme ton qu’Yvonne. — Bon ! Parfait ! c’est trĂšs bien ! Il va s’asseoir sur la banquette. Yvonne, allant Ă  la porte de gauche et appelant. — Annette ! Voix excĂ©dĂ©e d’Annette. — Oh ! Yvonne. — Annette, levez-vous ! Voix d’Annette. — Hein ! Encore ! Yvonne. — Quoi "encore" ? Qui "encore" ! Qu’ça veut dire ça, "encore" ?
 Et faites de la camomille Ă  monsieur !
 Elle va Ă  la cheminĂ©e et, prenant la boĂźte d’allumettes, en frotte une pour allumer la veilleuse-rĂ©chaud ; pendant ce temps on entend la voix d’Annette qui ronchonne dans la coulisse. Lucien, aprĂšs un moment et sur un ton de ricanement. — Ah non ! ce que tu peux embĂȘter cette fille ! Yvonne, la boĂźte d’allumettes dans une main, une allumette dans l’autre, se retournant Ă  la remarque de Lucien. — Quoi ?
 Ah ! par exemple, ça c’est un comble ! C’est moi qui l’embĂȘte ! Allant Ă  Lucien et dans son nez. Dis donc !
 Est-ce que c’est, pour moi la camomille ? Hein ? Est-ce que c’est pour moi ? Lucien, presque criĂ©. — C’est mon souper qui n’a pas passĂ© ! Yvonne, sur le mĂȘme diapason que Lucien. — Mais oui ! c’est toujours la mĂȘme chose ! Retournant Ă  la cheminĂ©e faire sa petite cuisine, allumer la veilleuse et verser de l’eau de la carafe dans le rĂ©cipient. VoilĂ  ce qu’on nous rapporte Ă  nous les indigestions de ses ripailles extĂ©rieures !
 On ne trouve pas sa femme suffisante pour ses distractions, mais on la trouve assez bonne pour vous servir de garde-malade ! Lucien, qui n’a pas Ă©coutĂ© un mot de toute cette diatribe, uniquement prĂ©occupĂ© qu’il est de son mal d’estomac contre lequel il lutte en se donnant des petits coups du bout des doigts au creux du sternum, — aprĂšs s’ĂȘtre levĂ©, arrivant dans le dos d’Yvonne. — Dis donc, ma chĂ©rie ? Yvonne, sĂšchement, sans se retourner. — Quoi ? Lucien, lamentable. — Elle sera bientĂŽt prĂȘte, la camomille ? Yvonne. — Bien quoi ! laisse le temps !
 faut que ça bouille !
 tu le sais bien. Lucien, rĂ©signĂ©. — Oui. Un temps. Il a un hoquet, puis sur un ton douloureux. Ah ! Yvonne, se retournant Ă  demi. — Quoi ? Lucien, se penchant sur elle et sur un ton dolent. — J’aimerais vomir ! Yvonne, le repoussant brusquement et passant. — Ah ! non ! non ! tu ne vas pas vomir ! Je ne t’ai pas Ă©pousĂ© pour ça ! Lucien. — Mais non, voyons ! Je dis "j’aimerais", je n’ai pas dit "je vais". Tu sais trĂšs bien que je ne peux jamais. Yvonne, avec mĂ©pris. — Oh ! oui, je sais !
 PitiĂ© ! Elle regagne son lit dans lequel elle grimpe. Annette, apportant un paquet de camomille et un sucrier. Elle a passĂ© une camisole blanche et mis ses bas qui retombent sur ses chevilles. Tout en mettant des tĂȘtes de camomille dans l’eau qui chauffe sur un ton boudeur. — Faut pas encore autre chose pendant qu’on est lĂ  ? Yvonne, dans son lit, tout en arrangeant ses couvertures sur soi. — Demandez Ă  monsieur, Annette ! C’est monsieur qui est malade ! Lucien, sur un ton Ă©puisĂ©. — J’ai mal Ă  l’estomac. Annette, mĂȘme jeu, sans se retourner. — Aussi, si moussiĂ© n’était pas allĂ© faire le bĂŽlichinelle dehors !
 Lucien, s’emballant. — Ah ! non ! non ! vous n’allez pas aussi vous mettre de la partie, vous, hein ? Annette, d’un air dĂ©tachĂ©. — Oh ! moi, che dis ça !
 Lucien. — Oui ! eh ! bien
 allez vous coucher ! Annette, ne se le faisant pas dire deux fois. — Oh ! ça, che veux pien ! Lucien, Ă  Yvonne. — Ah ! non !
 Annette, croyant que c’est Ă  elle qu’il parle. — Ah ! si ! Lucien, furieux. — Je parle Ă  madame ! Annette. — Ah ! Elle sort. Lucien. — Ah ! non !
 Si les domestiques s’en mĂȘlent Ă  prĂ©sent ! Yvonne, avec un sourire pincĂ©. — Je ne vois pas pourquoi tu l’attrapes, cette fille. Elle a raison ; si tu n’avais pas Ă©tĂ© souper !
 Lucien. — C’est possible ! mais ça ne la regarde pas ! s’il faut aussi que je lui rende des comptes !
 Il s’assied sur la banquette. J’ai Ă©tĂ© souper parce que j’avais faim, lĂ  !
 et puis parce que j’étais avec M. Godot et les deux frĂšres Espink qui ont proposĂ© d’aller manger un morceau ; est-ce un crime ? Yvonne. — Non, c’est pas un crime ! Evidemment, c’est pas un crime ! mais c’est idiot de manger jusqu’à se donner une indigestion ! Ce besoin de souper !
 Un long temps silencieux, puis sur un ton glacial et dĂ©daigneux. Qu’est-ce qu’a payĂ© ? Lucien, avec un haussement d’épaules. — Personne ! Yvonne. — Comment "personne" ? Lucien. — Enfin, tout le monde ; chacun son Ă©cot. Yvonne. — Ça m’étonne que ce ne soit pas toi ! avec ta manie d’ostentation ! Lucien. — Moi ! Yvonne. — Absolument ! tu es rat dans ton mĂ©nage ! Mais, du moment qu’il y a des Ă©trangers, alors la folie des grandeurs !
 Lucien, se levant et gagnant au fond dans un mouvement arrondi. — Moi ! moi ! j’ai la folie des grandeurs ? C’est admirable ! j’ai la folie des grandeurs ! Yvonne, parlant sur sa rĂ©plique. — Mais il n’y a qu’à te voir ! Il n’y a qu’à te voir ! en quoi te dĂ©guises-tu ! en Roi-Soleil ! Je te demande un peu ! te mettre en Roi-Soleil
 par un temps de pluie ! c’est ridicule ! Lucien, il s’assied sur la chaise qui est Ă  cĂŽtĂ© du secrĂ©taire. — Ah ! tiens, c’est toi qui es folle ! Yvonne, ne lĂąchant pas prise. — Seulement, voilĂ  ! ça te flattait de te pavaner en Louis XV ! Lucien, jette un regard de raillerie dĂ©daigneuse sur elle, hausse les Ă©paules, puis sur un ton dĂ©tachĂ©. — Quatorze ! Yvonne. — Quoi, "Quatorze" ? Lucien. — Le Roi-Soleil, c’était Louis XIV. Yvonne, interloquĂ©e. — Ah ?
 Se montant. Eh ! bien ! soit ! Louis XIV ! Brusquement. Ah ! C’est bien toi, ça ! tu vas me chicaner pour un Louis et quand il s’agit de ton plaisir, tu n’y regardes pas. Lucien, se levant et tout en gagnant par un mouvement en demi-cercle la banquette sur laquelle il s’assied. — Oh ! exquis ! charmant ! dĂ©licieux ! Yvonne, aprĂšs un temps et sur ce mĂȘme ton glacial. — Qu’est-ce que tu as dĂ©pensĂ© pour ton souper ? Lucien, avec un geste d’impatience — Est-ce que je sais ! Yvonne a un sursaut des Ă©paules, puis se mettant Ă  genoux sur le lit. — Tu ne sais mĂȘme pas ce que tu as dĂ©pensĂ© ! Lucien, lĂšve les yeux au ciel, puis sur un ton obsĂ©dĂ©. — Onze francs soixante-quinze, lĂ  ! Yvonne, se dressant sur les genoux de toute sa hauteur et les mains agrippĂ©es Ă  la barre du pied du lit, scandant chaque syllabe. — Onze francs soixante-quinze, pour de la boustifaille !
 VoilĂ  ! Qu’est-ce que je disais ! Changeant de ton. L’autre jour
 Lucien, sentant que la scĂšne va s’engager sur un nouveau terrain, agite nerveusement la tĂȘte avec les yeux au ciel et au mouvement de ses lĂšvres on comprend le mot qu’il ne prononce pas. — Oh ! m
 ! Il quitte sa place et remonte au fond. Yvonne, qui ne lĂąche pas prise, tout en sautant Ă  bas du lit, entre les dents. — Quel mufle ! Elle a couru rejoindre Lucien au fond, et le faisant pivoter par le bras de façon Ă  le tourner face Ă  elle. L’autre jour quand j’ai eu le malheur d’acheter un flacon de Rose-Coty, tu m’as dit que je te ruinais ; et toi tu dĂ©penses ScandĂ©. onze francs soixante-quinze pour ton souper ! Mais moi, au moins, mon flacon, je l’ai ! ma Rose-Coty, j’en profite ! tandis que toi, ton souper, oĂč est-il maintenant ? Lucien, avec rage, en se frappant le creux de l’estomac. — Mais lĂ  ! lĂ  ! Yvonne, le lĂąchant pour retourner Ă  son lit et regrimper dedans. — Ah ! "lĂ  ! lĂ  ! " Tu es bien avancĂ© ! Comme si tu n’aurais pas mieux fait de les mettre de cĂŽtĂ©, ces onze francs soixante-quinze !
 pour payer le tapissier, tiens ! Lucien, qui s’est assis, pendant ce qui prĂ©cĂšde, sur la chaise Ă  cĂŽtĂ© du secrĂ©taire. — Je lui dois huit cents francs ; tu ne me vois pas lui offrant onze francs soixante-quinze ! Yvonne. — Au moins, tu lui aurais prouvĂ© ta bonne volontĂ© ! Si je te parle de lui, c’est qu’il est venu aujourd’hui. Lucien, dressant l’oreille. — Ah ? Yvonne. — Et il a dĂ©clarĂ© qu’il en avait assez d’ĂȘtre lanterné  et que si tu ne lui versais pas un fort acompte, eh ! bien ! il Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă  t’envoyer du papier timbrĂ© ; et ça, aux Galeries Lafayette ! Tu vois comme ça fera bon effet. Lucien, se levant et descendant en scĂšne. — Il a dit ça ? Yvonne - Oui. Lucien. — Ah ! il fait du chantage ! Dans la direction de la porte du fond, comme s’il parlait au tapissier. C’est bien, monsieur !
 A Yvonne. Je comptais lui faire un versement
 Yvonne, implacable. — Quand ? Lucien, interloquĂ©. — Euh !
 quand j’aurais pu ! mais, puisque c’est comme ça ! il peut se brosser. Yvonne, martelant chaque syllabe et les mains au ciel. — Et tu vas dĂ©penser onze francs soixante-quinze Ă  ton souper ! Lucien, qui est remontĂ© au-dessus du lit, — sortant hors de ses gonds. — Ah ! non, toi, fous-moi la paix avec mon souper. Yvonne, ne lĂąchant pas prise. — Non, vrai, Ă  ta place, je l’aurais sur l’estomac ! Lucien, dans le nez de sa femme. — Mais je l’ai, nom de D
 ! Je l’ai ! Yvonne, criant aussi fort que lui. — Ah ! et puis ne crie pas comme ça ! C’est vrai, ça ! VoilĂ  une heure que tu m’éreintes avec tes discussions ! Lucien, descendant en scĂšne. — Ah ! non, ça c’est le bouquet ! C’est moi qui discute ! c’est moi qui l’éreinte ! Yvonne. — Tu ne veux pas dormir, non ? Lucien, revenant au-dessus du lit. — Oh ! si, dormir ! dormir ! je tombe de sommeil ! Yvonne, lui tournant le dos et s’enfonçant sous les couvertures. — Eh bien ! moi aussi ! bonsoir ! Lucien, sur le mĂȘme ton. — Bonsoir ! Yvonne. — Et flĂ»te ! Lucien, s’asseyant sur le pied du lit. — Et flĂ»te ! Yvonne, Ă  Lucien qui, en s’asseyant sur le lit, s’est en mĂȘme temps assis sur sa cheville, lui envoyant un coup de pied Ă  travers la couverture. — Mon pied, voyons ! Lucien, furieux. — Eh ! ton pied, voyons ! Posant son pied gauche sur la barre du pied du lit afin d’avoir son genou Ă  hauteur de sa main pour dĂ©faire la jarretiĂšre de sa culotte. Ah ! se coucher ! Il dĂ©noue la jarretiĂšre, puis. On ne me ferait pas sortir pour un boulet de canon ! Un temps. Soudain un coup de timbre dans le vestibule. Un instant, Lucien et Yvonne demeurent sur place, comme mĂ©dusĂ©s. — Nouveau coup de timbre. — Yvonne soulĂšve lentement la tĂȘte et se mettant sur son sĂ©ant regarde Lucien avec anxiĂ©tĂ©. Lucien, lui, retire lentement sa jambe de la barre du lit et se contournant complĂštement Ă  gauche, jette un regard interrogateur Ă  Yvonne. Yvonne, aprĂšs ce jeu de scĂšne, d’une voix Ă©tranglĂ©e. — Qu’est-ce que c’est que ça ? Lucien, de la mĂȘme voix Ă©tranglĂ©e. — Je ne sais pas !
 C’est la porte d’entrĂ©e. Nouveau coup de timbre qui les fait sursauter. Yvonne, bondissant sur son sĂ©ant. — Ah ! mon Dieu ! Lucien. — Ça ne doit pas ĂȘtre une visite. Yvonne. — Pour qu’on sonne Ă  cette heure-ci, ça ne peut ĂȘtre que quelque chose de grave. Lucien, affolĂ©. — Oui. Nouveau coup de timbre. Yvonne, sautant hors du lit et tout en enfilant ses pantoufles. — Encore ! Ah ! Lucien, Lucien, j’ai peur
 Elle saisit son peignoir sur le pied du lit. Lucien, aussi troublĂ© qu’elle. — Allons ! allons ! de l’énergie, que diable !! Il ne faut pas se laisser abattre. Yvonne, affolĂ©e, allant de droite et de gauche, comme quelqu’un qui ne sait pas ce qu’il cherche. — Ah ! tu en parles Ă  ton aise ! toi, tu es un homme, mais moi !
 Sonnerie. Oh ! Lucien, tournant et retournant sur place. — Quelle tuile encore ? Quelle tuile ? Yvonne. — Mais oĂč est-il, enfin ? OĂč est-il ? Lucien. — Qui ? Yvonne, agitant de grands bras. — Mais mon peignoir ! OĂč ai-je fourrĂ© mon peignoir ? Lucien. — Mais tu le tiens Ă  la main ! Yvonne. — Ah ! oui ! Nouvelles sonneries rĂ©pĂ©tĂ©es. Tous eux. — Oh ! Yvonne, esquissant le geste de passer son peignoir. — Ah ! cette sonnerie me rendra folle !
 Lucien, indiquant la chambre de gauche. — Et l’autre, lĂ , Annette ! qui ne bouge pas ! Il court Ă  la chambre. Yvonne, renonçant Ă  passer son peignoir et courant rejoindre Lucien. — Oh ! cette fille ! Tous les deux, sur le pas de la porte, lui au-dessus, elle cĂŽtĂ© public. — Annette ! Annette ! Voix d’Annette. — Hoon ! Yvonne. — Vite, levez-vous ! Voix d’Annette. — Hein ! encore ! Nouvelle sonnerie. Yvonne. — Mais dĂ©pĂȘchez-vous donc, voyons ! Lucien. — Vous n’entendez pas qu’on sonne ? . Voix larmoyante d’Annette. — Ah ! non, non, on veut me faire grĂ©ver. Yvonne, gagnant au-dessus de la banquette. — Pourvu qu’il ne soit pas arrivĂ© quelque chose dans la famille ! Lucien, prĂšs de la cheminĂ©e. — Mais non, voyons ! tu finiras pas nous donner le trac. Yvonne, dĂ©posant vivement son peignoir sur le lit et saisissant la banquette sur laquelle elle tape en parlant. — Ah ! touche du bois ! touche du bois ! Lucien. — Tu comprends bien que si vraiment
 Yvonne. — Touche du bois, je te dis ! Lucien, ahuri. — Oui ! Tu comprends bien que si
 Yvonne. — Mais touche donc du bois, voyons ! Lucien. — Oui ! Sans savoir ce qu’il fait, il touche trois fois le marbre de la cheminĂ©e qui est Ă  portĂ©e de sa main. Yvonne. — Mais pas ça, voyons, c’est du marbre ! Lucien. — Ah ! tu m’ahuris ! Il va toucher le secrĂ©taire. Yvonne. — Avec la paume ! avec la paume ! Lucien, obĂ©issant machinalement. — Avec la paume. Yvonne. — Ah ! tu seras cause d’un malheur ! Nouvelle sonnerie prolongĂ©e. Yvonne bondissant vers la porte de gauche. Mais qu’est-ce qu’elle fait, cette Annette ? Lucien, y allant Ă©galement. — Ah ! çà, allez-vous vous grouiller ? Au moment oĂč Annette paraĂźt, ils la saisissent chacun par un bras et la poussent devant eux. Annette, revenant sur eux et chaque fois repoussĂ©e par Lucien et Yvonne dans la direction de la porte du fond, ce qui la fait en quelque sorte tourner comme un toton. Avec des pleurs de rage dans la voix. — Oh ! non, ch’en ai assez, moi ! Matame me paiera mon livre, che veux m’en aller. Tous deux, Ă  bout de patience. — Oui, oui ! ça va bien ! allez ! allez ! Tout ceci les uns sur les autres. Annette. — Je ne veux pas grever Ă  la peine. Sonnerie. Lucien. — Voulez-vous allez ouvrir ! espĂšce de tĂȘte carrĂ©e. Yvonne. — Mais allez donc ! mais allez donc ! Annette, poussĂ©e vers le vestibule. — Oui, mais on me paiera mon livre ! Lucien. — Oh ! cette bonne ! cette bonne ! Annette est hors de scĂšne. Lucien est Ă  droite de la porte du fond et Yvonne Ă  gauche. Annette, dans le vestibule. — Qui c’est-y qu’c'est qu’est lĂ  ? Voix du Valet de chambre, au lointain. — Joseph ! le nouveau valet de chambre de la mĂšre de madame. Yvonne, d’une voix stridente. — De maman ! Il est arrivĂ© quelque chose Ă  maman ! il est arrivĂ© quelque chose Ă  maman ! Lucien. — Mais ne crie donc pas comme ça, toi ! ne crie donc pas comme ça ! Pendant cet Ă©change de dialogue, bruit de chaĂźne de sĂ»retĂ© et de porte qu’on ouvre. ScĂšne IIIModifier Les mĂȘmes, Joseph A peine Joseph a-t-il paru qu’Yvonne le happe Ă  son entrĂ©e et descend avec lui jusqu’à l’avant-scĂšne. Joseph est en pantalon et gilet d’habit avec son veston d’aprĂšs-midi et un cache-nez de laine autour du cou ; il tient un chapeau melon Ă  la main. Annette, peu aprĂšs cette entrĂ©e, le temps de refermer la porte du vestibule, reparaĂźtra en scĂšne et descendra prĂšs de la cheminĂ©e. Yvonne, avant qu’il n’ait le temps de parler. — Qu’est-ce qui est arrivĂ© Ă  maman ? Qu’est-ce qui est arrivĂ© Ă  maman ? Joseph, trĂšs embarrassĂ© et la tĂȘte basse. — Mon Dieu, madame
 Dans sa gĂȘne, il dĂ©tourne la tĂȘte du cĂŽte de Lucien qu’il n’a pas eu le temps de voir Ă  son entrĂ©e. Son regard tombe ainsi sur les jambes de Lucien, remonte Ă©tonnĂ© le long du corps de Lucien, puis, ne pouvant rĂ©primer un cri Ă©touffĂ© de surprise Ă  la vue de cet homme en Louis XIV. Ah ! Lucien, jetant instinctivement un regard sur son propre costume. — Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Eh ! rĂ©pondez, voyons, au lieu de regarder mon costume ! il n’a rien d’extraordinaire. Yvonne, Ă  Joseph. — Un accident ? Joseph, la tĂȘte basse ; tout en faisant tourner machinalement son chapeau entre ses mains, vivement. — Oh ! non
 Yvonne, respirant. — Ah ! Lucien. — LĂ , tu vois, pas d’accident ! Joseph, mĂȘme jeu, mais hĂ©sitant. — Seulement
 elle ne va pas bien
 Yvonne, avec angoisse. — Maman ne va pas bien ? Quoi ? Qu’est-ce qu’elle a ? Joseph, mĂȘme jeu. — Ben., elle est malade. Yvonne, osant Ă  peine questionner. — Oh ! mon Dieu ?
 TrĂšs ? Joseph, mĂȘme jeu. — Ben
 plutĂŽt ! Yvonne, passant pour se rĂ©fugier dans les bras de Lucien. — Lucien !
 Lucien !
 maman est malade. Lucien. — Allons, voyons ! Yvonne. — Maman est trĂšs malade ! Lucien. — Voyons ! voyons ! Joseph, mĂȘme jeu. — Et, quand je dis trĂšs malade, c’est une façon de parler ; parce que, Ă  vrai dire, elle est plutĂŽt
 elle est plutĂŽt
 Yvonne, la gorge serrĂ©e. — Quoi, quoi ? Qu’est-ce qu’elle est plutĂŽt ?
 Joseph. — Elle est plutĂŽt ? Relevant la tĂȘte et trĂšs piquĂ©. morte ! Tous. — Ah ! Yvonne est tombĂ©e raide, rattrapĂ©e au vol par Lucien. Lucien, tout en s’asseyant rapidement par terre. Yvonne Ă©vanouie dans ses bras. — Ah ! voilĂ  ce que je craignais ! Joseph, une fois ce jeu de scĂšne achevĂ©. — Seulement
 on m’a recommandĂ© de prĂ©parer doucement madame pour ne pas la rĂ©volutionner. A part, avec un long soupir de soulagement. Ouf ! Lucien. — Quelle catastrophe ! Au moment oĂč on allait se coucher ! Annette, toute sens dessus dessous. — MĂątĂąme ! MĂątĂąme ! Lucien. — Ah ! Vous aviez bien besoin de venir nous annoncer ça, vous ? Joseph. — Mais monsieur, on m’a dit
 Lucien. — Ah ! "on vous a dit ! on vous a dit !
" C’est bien, aidez-moi. Joseph. — Oui, monsieur. Il pose son chapeau sur le secrĂ©taire, puis se met Ă  genoux derriĂšre Yvonne que Lucien lui passe pour redescendre un peu entre Yvonne et la banquette. Annette, prĂšs de la cheminĂ©e. — Mon TiĂ© ! Mon TiĂ© ! Lucien, enjambant Yvonne pour aller Ă  Annette qu’il pousse vers la porte de gauche. — Et vous, allez donc chercher du vinaigre, des sels, au lieu de crier "Mon TiĂ© ! mon TiĂ© ! " ce qui ne sert Ă  rien ! Annette. — Oui, moussiĂ© ! En sortant. Ach ! Gott ! Gott ! lieber Gott ! Joseph, qui pendant ce temps-lĂ , pour soutenir Yvonne Ă©vanouie, lui a passĂ© les avant-bras sous les aisselles et a les mains appliquĂ©es contre sa poitrine, tenant pour ainsi dire chacun de ses seins empoignĂ©s. — On porte madame
 sur le lit ! Pour dire "sur le lit", il martelle chaque syllabe d’une secousse des poignets dans la direction du lit, ce qui secoue autant de fois la poitrine d’Yvonne. Lucien, revenant Ă  Joseph. — Hein ? Oui
 Apercevant le manĂšge de Joseph et se prĂ©cipitant vers lui. Mais, qu’est-ce que vous faites lĂ , vous ? Joseph, qui tient toujours Yvonne Ă  pleines mains, la secouant lĂ©gĂšrement. — Mais je la tiens. Lucien, cherchant Ă  Ă©carter Joseph pour prendre sa place. — Mais en voilĂ  une façon de la tenir !
 Vous ne voyez pas qu’elle n’a pas de corset ? Joseph, sans lĂącher prise. — Oh ! si monsieur croit que je pense Ă  des choses ? Lucien, Ă  genoux Ă  gauche d’Yvonne et mĂȘme jeu. — Je me fiche que vous pensiez ou ne pensiez pas !
 je vous dis de lĂącher ça !
 Il repousse Joseph au-dessus de lui et passe, toujours Ă  genoux, Ă  la droite d’Yvonne. Et, tenez, voyez donc si ce n’est pas de l’éther, la bouteille, lĂ  prĂšs du lit ! Joseph, courant chercher au-dessus du lit. — Oui, monsieur ! oui ! Lucien, maugrĂ©ant. — Cette façon de peloter ma femme Voyant Joseph au-dessus du lit. Mais pas lĂ  ! sur la table voyons ! prĂšs du lit ! Joseph. — Oui, monsieur, oui ! Il saute par-dessus le lit Ă  la force des bras pour passer de l’autre cĂŽtĂ©. Lucien. — AĂŻe donc, les draps ! allez donc, les draps ! Joseph, qui a dĂ©bouchĂ© le flacon et senti le contenu. — C’en est, monsieur. Lucien. — Bien, donnez ! Joseph court le lui apporter. Yvonne ! mon Yvonne ! Yvonne !
 A Joseph. Un linge, maintenant ! Trouvez-moi un linge pour lui tamponner le front. Joseph, ne sachant oĂč donner de la tĂȘte et tournant sur place, Ă  droite Ă  gauche, comme une girouette. — Un linge ? OĂč y a-t-il un linge ? Lucien tout en dĂ©bouchant le flacon avec ses dents. — Je ne sais pas, mon ami ! Si je le savais, je ne vous demanderais pas ! Cherchez ! Joseph, apercevant de loin la chemise de jour d’Yvonne sur le siĂšge Ă  gauche de la scĂšne et, pour y courir, enjambant carrĂ©ment les jambes d’Yvonne. — Ah ! ça ! Prenant la chemise. Ça peut-il faire l’affaire ? Lucien, qui, pendant ce jeu de scĂšne de Joseph, a continuĂ© Ă  secouer doucement sa femme avec des "Yvonne ! mon Yvonne ! " Je ne sais pas, mon ami ! Qu’est-ce que c’est ! Joseph, apportant la chemise Ă  Lucien. — Ça a l’air d’une chemise de jour ! Lucien, le bouchon toujours entre les dents. — Qu’est-ce que vous voulez, faute de mieux !
 Allez, mettez-vous Ă  genoux ! Joseph obĂ©it. Roulez ça en tampon ! En tampon, vous ne savez pas ce que c’est ? Joseph. — Si, monsieur ! Il roule la chemise en tampon Lucien. — C’est bien, donnez ! Tendant la bouteille d’éther Ă  Joseph. Prenez ça ! ça ! Joseph, Ă  genoux de l’autre cĂŽtĂ© d’Yvonne, prend la bouteille des mains de Lucien et lui passe en Ă©change la chemise de jour. — Lucien, le bouchon toujours entre les dents. Le bouchon ! le bouchon ! Joseph cherche des yeux le bouchon par terre. lĂ  ! lĂ  ! dans mes dents ! Joseph lui retire le bouchon des lĂšvres. Bon ! de l’éther ! de l’éther ! Il prĂ©sente le tampon Ă  Joseph qui l’imbibe d’éther, aprĂšs quoi tout en tapotant, avec, le visage de sa femme. Yvonne ! mon Yvonne ! A Joseph, tout en lui retendant le tampon pour qu’il y verse un peu d’éther. Ah ! franchement, vous savez, vous !
 A sa femme Ă©vanouie. Yvonne, mon Yvonne ! A Joseph. Vous auriez bien pu attendre jusqu’à demain matin pour venir nous annoncer des nouvelles pareilles ! Joseph. — Si monsieur croit que c’est pour mon plaisir ! Lucien. — Non, mais c’est peut-ĂȘtre pour le nĂŽtre ! A Yvonne. Yvonne, ma chĂ©rie ! A Joseph. Je vous demande un peu ce qui pressait ?
 Evidemment, ma pauvre belle-mĂšre, c’est trĂšs malheureux ! mais, quoi ? D’ici demain matin
 elle ne se serait pas envolĂ©e !
 et, au moins, madame n’aurait pas eu sa nuit troublĂ©e !
 Un demi-ton plus bas. ni moi non plus ! Joseph. — Je suis dĂ©solĂ©, monsieur ! la prochaine fois je saurai. Annette, accourant avec une de ces saliĂšres communes Ă  double coquille et tige en gros verre cĂŽtelĂ©, et, en passant devant Joseph allant la prĂ©senter devant le nez de Lucien. — VoilĂ , moussiĂ© ! Lucien, relevant la tĂȘte, regarde la saliĂšre, regarde Annette, regarde la saliĂšre, puis. — Qu’est-ce que c’est que ça ? Annette. — C’est la saliĂšre. Lucien. — Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ? Annette. — C’est moussiĂ© qui m’a temantĂ© ti sel. Lucien. — Des sels, bougre de moule ! pas du sel ! Vous ne pensez pas que je vais saler madame. Annette. — Est-ce que che sais moi ! chĂ© suis bas mĂ©decin. Elle va poser sa saliĂšre sur la cheminĂ©e. Lucien voyant Yvonne qui revient Ă  elle. — C’est bien ! voilĂ  madame qui rouvre les yeux ! tenez, Ă©cartez-vous ! et emportez ça. Il rend vivement la chemise de jour Ă  Joseph qui se relĂšve aussitĂŽt et va se mettre prĂšs d’Annette au-dessus de la cheminĂ©e. Machinalement, pendant ce qui suit, sans que le public s’en aperçoive, il mettra dans la poche droite de son veston la chemise qu’on vient de lui rendre. Lucien se glisse dans le dos d’Yvonne et s’assied contre elle par terre, les jambes parallĂšlement Ă  la rampe, les pieds Ă©mergeant Ă  droite d’Yvonne, le corps Ă  gauche. Yvonne ! mon Yvonne ! Yvonne, regarde Ă  droite et Ă  gauche comme quelqu’un qui reprend ses sens, puis. — Qu’est-ce qu’il y a eu donc ? Lucien. — Mais, rien, mon chĂ©ri ! rien du tout. Yvonne. — Alors, pourquoi suis-je par terre ? A ce moment son regard tombe sur Joseph. Ah !
 ah ! oui
 oui
 oh ! maman ! ma pauvre maman ! elle Ă©clate en sanglots sur la poitrine de Lucien. Lucien, la tenant dans ses bras, et la secouant doucement comme un bĂ©bĂ© qu’on veut consoler. — LĂ  ! lĂ  ! Allons, voyons !
 Allons ! Allons !
 Allons, voyons donc ! sapristi de sapristi !
 Allons, allons ! Allons, voyons donc ! Allons ! Voyons
 allons, voyons !
 Allons, allons ! Annette. — Ach Gott ! Gott ! Lucien. — Allons ! Un peu de courage, que diable ! tout espoir n’est peut-ĂȘtre pas perdu ! Yvonne, sanglotant et presque avec rage. — Mais qu’est-ce qui peut arriver de plus puisqu’elle est morte ? Lucien. — Eh bien ! justement, lĂ  ! justement ! le plus terrible est passĂ© ! Il faut se faire une raison, que diable ! se dire que pour ceux qui s’en vont c’est la dĂ©livrance !
 Songe combien ta pauvre maman souffrait de ses rhumatismes ! Yvonne, avec des sanglots dans la voix. — Ma pauvre maman ! Lucien, d’une voix tristement cĂąline. — Eh ben ! oui ! Eh ! ben, oui ! Eh ! bien, maintenant elle ne souffre plus ! et tandis que nous sommes lĂ  Ă  la pleurer
 Avec un fonds de rancune. debout ! elle repose, elle !
 elle est bien heureuse ! Yvonne, avec un dodelinement triste de la tĂȘte. — Qu’est-ce qui aurait dit qu’elle s’en irait si vite ! Lucien, avec un soupir. — Ah ! oui !
 Quand tout Ă  l’heure je me demandais comment je paierais le tapissier, je ne me doutais pas !
 enfin ! Yvonne, sanglotant. — Ma pauvre maman ! Lucien. — Ah ! oui
 ta pauvre, brave, et digne et sainte femme de mĂšre ! A part. Ce que j’ai mal aux reins ! Tout en parlant, fatiguĂ© qu’il est de sa position, il s’est mis d’abord sur les genoux, puis cambre en arriĂšre ses reins qui lui font mal, regarde Ă  droite et Ă  gauche s’il n’y a pas un siĂšge Ă  lui avancer, puis, sur un ton cĂąlin. Dis donc, mon Yvonne ? Yvonne. — Quoi ? Lucien. — Tu ne veux pas t’asseoir, ma chĂ©rie ? Yvonne, brusquement avec Ă©clat, ce qui fait sursauter Lucien. — Eh ! non quoi ! "m’asseoir ! m’asseoir ! " Quelle importance ça a-t-il que je sois sur une chaise ou par terre ? Lucien, vivement. — Oui, oui ! Bon, bon ! Il va s’asseoir sur la banquette. Yvonne, lyrique dans sa douleur. — Ah ! c’est sous terre que je voudrais ĂȘtre ! Annette, prĂšs de la cheminĂ©e, douloureusement, entre chair et cuir. — Oh ! ça vous grĂšve le cƓur ! Yvonne, qui depuis un moment, le corps rejetĂ© un peu en arriĂšre et appuyĂ© sur les bras, les paumes des mains par terre, fait des grimaces de la bouche, comme quelqu’un qui a de l’empois sur la figure, le tout hachĂ© de sanglots. A Lucien. — Ah ! çà ?
 A Joseph. Ah ! çà ?
 mais qu’est-ce que vous m’avez mis sur la figure qui me colle ? Lucien. — Rien, ma chĂ©rie ! c’est de l’éther. Yvonne. — Quel Ă©ther ? Joseph, indiquant la table de nuit. -
 Qui Ă©tait dans la bouteille. Yvonne. — Mais c’est stupide ! c’est du sirop d’éther ! en voilĂ  une idĂ©e. Joseph et Lucien. — Du sirop ! Joseph, qui a tirĂ© le flacon de sa poche, aprĂšs avoir jetĂ© un coup d’Ɠil sur l’étiquette. — Oh ! J’avais pas lu l’étiquette ! Je m’étais contentĂ© de sentir. Il remet le flacon Ă  Annette qui le pose sur la cheminĂ©e. Lucien. — Ah ! vous ĂȘtes malin, mon garçon ! vous ĂȘtes malin ! Yvonne, lyrique. — D’ailleurs que m’importe ! quand on a le
 Grimace. cƓur en croix
 ! Grimace. — puis Ă  Annette. Vous me prĂ©parerez simplement un peu d’eau, Annette, que je me dĂ©barbouille. Annette. — Oui, mĂątĂąme. Elle gagne par le fond vers la porte de droite par laquelle elle sort. Yvonne, avec une tendresse douloureuse. — La pauvre chĂšre femme ! Te souviens-tu comme elle Ă©tait bonne ? Lucien, distrait, a un hochement de tĂȘte approbatif, puis. — Qui ? Yvonne, lui envoyant une tape de colĂšre sur le mollet. — Mais maman Lucien. — Ah ! oui. Yvonne. — Et pour toi, si pleine d’indulgence ! t’excusant toujours ! Quand on pense que tu la bousculais, que tu la traitais
 ! Il n’y a pas deux jours encore tu as Ă©tĂ© jusqu’à l’appeler "chameau". Lucien, d’un ton douloureusement suppliant. — Yvonne ! Yvonne, sur un ton larmoyant. — Comment as-tu pu te laisser aller Ă  l’appeler chameau ? Lucien, a un geste vague, puis, comme le meilleur argument du monde. — Je ne pensais pas qu’elle mourrait ! Yvonne. — VoilĂ  ! c’est ton chĂątiment aujourd’hui. Lucien, pivotant sur son sĂ©ant. — Ah ! Seigneur ! Il reste dos au public pendant ce qui suit, la tĂȘte dans la main droite, le coude sur la barre du pied du lit. Yvonne. — Quel remords de penser qu’elle est partie avec le souvenir de ton manque de respect !
 Chameau ! ma sainte mĂšre Sur un ton lent, rythmĂ© et doux, tandis que Lucien, Ă  chaque fin de phrase, a l’air d’approuver d’un hochement de tĂȘte, alors qu’en rĂ©alitĂ© ce n’est que le rĂ©sultat du bercement que produit chez lui la musique des paroles d’Yvonne. Eh ! bien ! que ta conscience s’apaise ! Je connais mieux que personne quels trĂ©sors de misĂ©ricorde renfermant le cƓur de maman ; aussi, je crois ĂȘtre l’interprĂšte de son sentiment dernier, en te disant "Va, Lucien ! on te pardonne
 ! " RĂ©pĂ©tant douloureusement. On te pard
 Ne recevant pas de rĂ©ponse de Lucien, elle relĂšve la tĂȘte de son cĂŽtĂ© et
 constatant qu’il s’est assoupi pendant qu’elle parlait, lui envoyant une vigoureuse tape sur le mollet. Tu dors ! Lucien, rĂ©veillĂ© en sursaut. — Hein ? Moi ? Euh
 ! Ah ! Je te demande pardon ! un peu de fatigue
 ! Yvonne, indignĂ©e. — FatiguĂ© ! Maman n’est plus, et il est fatiguĂ©. Se relevant d’un bond et empoignant Lucien qu’elle envoie de l’autre cĂŽtĂ© donner dans l’estomac de Joseph. Allons, debout ! Lucien et Joseph, cognĂ©s l’un contre l’autre. — Oh ! Yvonne. — Est-ce que nous ne devrions pas ĂȘtre lĂ -bas ? Lucien. — Ah ! on va
 ? Yvonne. — Naturellement, on va ! tu ne comptes pas que nous allons nous coucher. Lucien, avec un soupir de rĂ©signation tout en jetant un regard de regret vers le lit. — Non ! Yvonne, Ă©cartant brusquement Lucien de son passage pour aller Ă  la chaise gauche de la scĂšne. Tout en soulevant son jupon qui est sur la chaise et l’y reposant. — Ma chemise de jour ? OĂč est ma chemise de jour ? En disant le second "ma chemise de jour". elle a Ă©cartĂ© Joseph en le repoussant vers la cheminĂ©e et est remontĂ©e vers la chaise prĂšs du secrĂ©taire. Lucien, Ă  Joseph. — Mais je vous l’ai donnĂ©e Ă  vous ! Joseph. — A moi ! Lucien. — Mais oui ! Joseph. — Ah ! oui ! Tirant la chemise, longuement, de sa poche. VoilĂ  madame. Yvonne, qui est redescendue entre eux, Ă  Joseph. — Comment ! vous avez ma chemise de jour dans votre poche ! Joseph. — C’est monsieur qui s’en Ă©tait servi
 pour mettre du sirop sur la figure de madame. Yvonne, lui enlevant la chemise des mains d’un geste brusque. — C’est insensĂ© ! ma parole ! Se retournant vers Lucien et le voyant immobile, attendant on ne sait quoi. Eh ! bien ! dĂ©pĂȘche-toi, voyons ! Qu’est-ce que tu attends pour t’habiller ? Lucien. — Ah ? Il faut
 ? Yvonne, exaspĂ©rĂ©e. — Evidemment !
 tu ne comptes pas aller lĂ -bas en Louis XIV ? Lucien. — Non ! Yvonne, Ă  Joseph. — Se mettre en Louis XIV quand on perd sa belle-mĂšre ! Joseph, bien inconsidĂ©rĂ©ment. — C’est rigolo ! Yvonne. — Ah ! vous trouvez, vous ? Joseph. — Oh ! pardon, non ! Lucien, Ă  Annette qui sort en ce moment du cabinet de toilette. — Ah ! Annette !
 donnez-moi mon costume de cheviotte noire, ma cravate noire et des gants noirs. Annette fait mine d’aller vers la chambre de droite, mais s’arrĂȘte aussitĂŽt Ă  la voix d’Yvonne. Yvonne, faisant pirouetter son mari face Ă  elle et au comble de l’exaspĂ©ration. — Ah ! non ! non ! tu ne vas pas t’habiller comme ça ! Tu aurais l’air d’avoir commandĂ© ton deuil d’avance ; ça ne se fait pas ! Elle passe et dĂ©pose sa chemise de jour sur le pied du lit. Lucien. — Tu as raison ! Allant Ă  Annette qui est prĂšs de la porte de la chambre de gauche. Eh bien ! le costume que vous voudrez Annette ! mon
 mon plus gai ! Annette. — Oui, monsieur. Elle sort. Yvonne, tout en maugrĂ©ant, dĂ©faisant les rubans de sa chemise de nuit qu’elle s’apprĂȘte Ă  retirer pour passer sa chemise de jour. — Non, c’est vrai ça ! Elle est face au pied du lit, dos par consĂ©quent Ă  Joseph qui fixe ce jeu de scĂšne, mais d’un air indiffĂ©rent et distrait. Lucien, allant Ă  Joseph. — Quant Ă  vous
 ArrĂȘtĂ© par l’attitude de Joseph, regardant ce qu’il regarde et bondissant aussitĂŽt sur sa femme et lui ramenant sur le cou sa chemise qui dĂ©jĂ  dĂ©gage son Ă©paule. Ah ! çà, qu’est-ce que tu fais ? Tu perds la tĂȘte ? Yvonne, ahurie par ce bolide qui lui tombe sur les Ă©paules. — Quoi ? Lucien. — Tu changes de chemise ici, Ă  prĂ©sent ? Yvonne, les nerfs Ă  fleur de peau. — Oh ! je t’en prie, Ă©coute
 ! Elle rejette le col de sa chemise en arriĂšre dans le but de sortir son bras. Lucien, lui remontant Ă  nouveau sa chemise. — Mais pas du tout ! tu ne vas pas te mettre toute nue devant ce domestique ! Joseph, d’un air profondĂ©ment dĂ©tachĂ©. — Oh ! si c’est pour moi, monsieur
 ! Lucien, furieux et dans le nez de Joseph. — Evidemment, c’est pour vous ! Yvonne, Ă  Joseph, avec Lucien entre eux deux. — Non ! je perds ma mĂšre et voilĂ  Ă  quoi il regarde si j’ai une chemise ou si je n’en ai pas ! Elle dĂ©gage vers le lit. Lucien, furieux. — On peut perdre sa mĂšre et ĂȘtre convenable ! Yvonne. — Oh ! oui, oh ! tais-toi, va !! ParaĂźt Annette, venant de gauche, apportant sur son bras le vĂȘtement complet de Lucien, et tenant dans sa main droite les souliers de ce dernier, sur la pointe desquels s’érige son chapeau melon. Au pantalon, pendent, attachĂ©es aux boutons de derriĂšre, les bretelles de Lucien. — A Annette. Allez ! venez, Annette ! venez m’aider ! Elle sort par la droite en emportant son peignoir et sa chemise de jour. Lucien, pendant qu’Annette dĂ©pose son costume sur la chaise gauche de la scĂšne, ses bottines par terre et le chapeau sur une des bougies des candĂ©labres de la cheminĂ©e. — Oh ! mais quelle nuit, mon Dieu ! quelle nuit ! Joseph. — Heureusement, monsieur, que ça n’arrive pas tous les jours ! Lucien. — Ah ! si vous croyez que c’est rigolo, tout ça !
 A Annette. Ecoutez, ma fille ! je ne sais pas Ă  quoi ça tient ? On ne voit que vous ici ! Annette, d’une voix pleurnicharde, tout en s’en allant. — Mais je fais mon serfice, moussiĂ© ! Lucien. — Allez, ma fille ! Allez ! Oh ! Tandis qu’Annette sort de droite, Ă  Joseph, lui passant son bras droit sur l’épaule droite. Voyons, mon ami, vous allez m’aider. Joseph. — Oui, monsieur ! Lucien. — Vous ĂȘtes intelligent ? Joseph. — Oui, monsieur ! Lucien. — Bon ! alors, voilà
 euh !
 vous
 vous allez, euh !
 Joseph remonte. Eh ben ! oĂč allez-vous ? OĂč allez-vous ? Joseph, ahuri. — Je ne sais pas, monsieur ! Lucien. — Ah ! vous ĂȘtes malin, mon ami ! Avec tout ça, je ne sais plus ce que je voulais vous dire ! Brusquement. Ah ! oui ! Il remonte dans la direction du secrĂ©taire ; Joseph, empressĂ©, sans d’ailleurs savoir davantage pourquoi, remonte en mĂȘme temps que lui. Quoi, mon ami ? Je vais Ă©crire ; je n’ai pas besoin de vous ! Joseph. — Ah ! pardon ! Lucien. — Oui ! ça va bien ! Il va prendre la chaise du fond, la place devant le secrĂ©taire et, s’y asseyant, se met Ă  Ă©crire. Joseph, aprĂšs un temps, remontant Ă  gauche du secrĂ©taire, prĂšs de Lucien qui Ă©crit. — J’étais pas fier, allez monsieur, en venant ici !
 C’est la premiĂšre fois que j’ai l’honneur de voir monsieur et madame, mais, vrai, j’aurais mieux aimĂ© avoir Ă  leur annoncer qu’ils avaient gagnĂ© le gros lot de la loterie des millions, plutĂŽt qu’une nouvelle pareille ! Lucien, sans s’interrompre d’écrire, fait signe de la main gauche Ă  Joseph de se taire. Celui-ci n’y prend garde. Aussi ça Ă©tĂ© un rude poids de moins quand j’ai eu vidĂ© mon sac ! mais vrai ! je ne voudrais pas avoir Ă  le recommencer ! Lucien, tout en Ă©crivant. — Vous m’empĂȘchez d’écrire, mon ami. Joseph. — Pardon ! Les mains derriĂšre le dos, son chapeau dans les mains, il descend prĂšs du pied du lit. Lucien. — Annette !
 Il mouille les bords d’une des cartes-lettres qu’il vient d’écrire. Annette ! Joseph, jette un regard vers Lucien, puis, complaisamment, va jusqu’à la porte par laquelle sont sorties les deux femmes et Ă©cartant carrĂ©ment la portiĂšre. — Mademoiselle, monsieur vous appelle ! Voix d’Annette. — Ch’habille mĂątĂąme, monsieur. Voix d’Yvonne. — Tu peux bien attendre un instant ! Lucien, tout en collant la seconde carte-lettre. — Oui ! oui ! Joseph, tenant toujours la portiĂšre Ă©cartĂ©e et les yeux fixĂ©s sur l’intĂ©rieur du cabinet de toilette. — Ça ne sera pas long, monsieur ! madame a dĂ©jĂ  sa chemise de jour. Lucien, donnant un fort coup de poing sur la tablette du secrĂ©taire et se prĂ©cipitant sur Joseph qu’il fait pirouetter de façon Ă  l’envoyer au milieu de la scĂšne. — C’est trop fort, par exemple ! Mais qu’est-ce que vous avez besoin d’aller fourrer votre nez ! Joseph, ahuri par cette façon de reconnaĂźtre son obligeance. — C’était pour obliger monsieur ! Lucien. — Ah ! Taisez-vous donc ! "m’obliger ! m’obliger ! " Tenez, passez-moi plutĂŽt mes vĂȘtements ! Joseph, ahuri, tourne Ă  droite et Ă  gauche. Mes vĂȘtements ! lĂ  ! lĂ  Envoyant Joseph Ă  sa gauche. Allez ! retirez-vous de lĂ  ! Il va prendre lui-mĂȘme son complet. En se retournant, il donne dans Joseph qui s’est prĂ©cipitĂ© pour l’aider Ă  prendre ses vĂȘtements. Mais retirez-vous donc de lĂ  ! Il l’envoie Ă  sa droite, prĂšs de la cheminĂ©e, et gagne vers le pied du lit. A Joseph complĂštement ahuri. Eh bien ! venez ici ! Joseph, accourant. — Oui, monsieur ! Lucien. — Et aidez-moi ! Joseph. — Oui, monsieur. Pendant ce qui suit, Joseph, enlĂšve la mante de Lucien, puis lui dĂ©grafe son justaucorps. Lucien, en-dessous, a sa chemise de jour et sa cravate sous son col rabattu. Ce jeu de scĂšne se fait au pied du lit, prĂšs de la banquette. Lucien, tout en se faisant dĂ©shabiller. — Dites-moi ! vous avez un fiacre en bas ? Joseph. — Oui, monsieur. Lucien. — Alors, il n’y a pas de temps Ă  perdre. Joseph. — Surtout que c’est un taxi-auto. Ayant fini de dĂ©grafer Lucien, il gagne la gauche. Lucien, gagnant au-dessus du lit. — Ah ! bien ! tant pis ! qu’est-ce que vous voulez ! c’est pas tous les jours fĂȘte !
 Joseph, scandalisĂ©. — FĂȘte ? Lucien. — Hein ?
 Euh !
 non ? Quoi ? enfin
 vous me comprenez ! Il a pris son pantalon et le passe sans rĂ©flĂ©chir par-dessus sa culotte Louis XIV. Annette, sortant du cabinet de toilette et passant devant Lucien qui s’habille dos au public, s’arrĂȘte tout de suite Ă  sa gauche. — MoussiĂ© a pĂ©soin de moi ? Lucien, s’habillant. — Madame est prĂȘte ? Annette. — PientĂŽt ! Lucien. — Qu’est-ce que vous me demandiez ? Annette. — Si moussiĂ© a pĂ©soin te moi ? Lucien. — Non ! Annette fait mine de s’en aller. Si ! Annette s’arrĂȘte. Lucien, tout en s’habillant, hachant ses mots comme quelqu’un qui fait deux choses Ă  la fois. — Tenez, ma fille, il y a lĂ  deux
 deux lettres sur la
 A Joseph, qu’il voit se diriger vers le secrĂ©taire, pour se rendre utile. mais pas vous ! A Annette. Vous, bougre de moule ! Vous ne comprenez pas ? sur la tablette du secrĂ©taire ! Vous allez descendre et les mettre Ă  la poste. Annette, avec un sursaut de rĂ©volte. — Maintenant ! Lucien. — Naturellement, maintenant ! il faut qu’elles soient distribuĂ©es demain Ă  la premiĂšre heure ! Annette, maussade. — C’est caĂŻ ! Elle se dirige vers la porte de gauche. Lucien, passant son gilet et son veston sans s’apercevoir que ses bretelles pendent aux boutons de derriĂšre de son pantalon. — Eh bien ! oĂč allez-vous ? OĂč allez-vous ? Annette. — Che fais mette ine chipe ! Lucien. — Eh ! "ine chipe ! ine chipe ! " si vous croyez qu’on fera attention Ă  vous ! Ă  cinq heures du matin ! Annette. — Che peux pas aller comme ça en chipon ! c’est pas gĂŽrrect. Lucien. — Eh ! bien prenez un waterproof. Annette. — ChĂ© n’ai bas dĂ© vatfairpoufe. Lucien. — Eh ! bien ! vous prendrez mon pardessus qui est pendu dans l’antichambre. Annette. — Ah ! c’est Ă©cal ! c’est pas gĂŽrrect ! Lucien. — Bon, bon, ça va bien, allez ! Annette. — De quoi qu’est-ce que che vais avoir l’air ! t’ine femme touteuse ! Lucien. — Eh ! bien ! si on vous enlĂšve, vous viendrez me le dire. Annette. — Comme ine crue ! Elle sort par le fond. Lucien, habillĂ©, ses bretelles pendant par derriĂšre, Ă  Joseph. — LĂ  ! Donnez-moi mon
 donnez-moi mes
 Voyant Joseph qui, ne comprenant pas ce qu’il demande, tourne Ă  droite, Ă  gauche, finalement les yeux en l’air. mes souliers ! Quoi ! ils ne sont pas au plafond ! Prenant lui-mĂȘme ses souliers et allant s’asseoir sur la banquette pour les mettre. Ah ! vous n’ĂȘtes guĂšre dĂ©gourdi, mon ami ! Joseph. — Monsieur ne s’expliquait pas ! Lucien. — Eh ! ben, venez ici ! Joseph se prĂ©cipite et se laisse tomber Ă  genoux devant Lucien pour l’aider ; il prend le soulier que n’a pas encore pris Lucien ; celui-ci, lui arrachant le soulier de la main. Mais foutez-moi la paix ! Tout en mettant ses souliers. Dites-moi ! qu’est-ce que c’est votre auto ? Joseph. — Une Renault. Lucien. — Une petite rouge ? ah ! tant mieux ! Ça va plus vite et c’est moins cher. Joseph. — A cette heure-ci, c’est de la veine de l’avoir trouvĂ©e. Lucien. — Oui, ça c’est de la veine ! il n’y a pas Ă  dire, nous sommes en veine. Yvonne, sortant du cabinet de toilette, en grand manteau par-dessus son peignoir et la tĂȘte enveloppĂ©e dans une mousseline de soie. — Eh ! bien ! es-tu prĂȘt ? Lucien, achevant de mettre ses souliers. — VoilĂ  ! voilĂ , tout de suite. Yvonne, Ă  Joseph qui est prĂšs du secrĂ©taire. — Vous avez une voiture ? Joseph. — Oui, madame, en bas. Lucien, allant Ă  la cheminĂ©e prendre son chapeau. — Une Renault ! une petite rouge ; ça va plus vite et c’est moins cher. Mettant son chapeau sans s’apercevoir qu’il a toujours sa perruque et allant rejoindre sa femme au fond. LĂ  ! je suis prĂȘt ! Yvonne, le faisant pivoter et l’envoyant en scĂšne. — Eh ! bien ! et ta perruque ! tu ne va pas sortir avec ta perruque ! Lucien. — Hein ! ma perr
 Tu m’ahuris, qu’est-ce que tu veux ! Tu m’ahuris. Il enlĂšve sa perruque et la dĂ©pose sur la cheminĂ©e. Yvonne. — Mon Dieu ! au moment de partir, le courage me manque. Lucien, remontant vers la sortie. — Ben oui ! ça ne m’amuse pas non plus, mais il a de cruels devoirs dans la vie ! Il passe entre eux deux et sort au fond. Yvonne, prenant Joseph par l’avant-bras et le faisant descendre en scĂšne. Lucien, qui, dĂ©jĂ  dans le vestibule, s’est arrĂȘtĂ© Ă  la voix de sa femme, suit le mouvement. — Dites-moi, mon ami ! Joseph. — Madame ? Yvonne. — Elle n’est pas trop changĂ©e au moins ? Joseph. — Oh ! non, du tout. Yvonne. — Pauvre maman ! dites-moi qu’elle n’a pas trop souffert. Lucien, voyant que ça peut durer longtemps, s’assied sur la chaise prĂšs de la cheminĂ©e. Joseph, heureux de donner Ă  Yvonne cette consolation. — Pas un instant ;
 Elle Ă©tait trĂšs bien portante
 elle avait mangĂ© de bon appĂ©tit Ă  dĂźner deux tranches de gigot
 Yvonne, avec Ă©motion, les yeux au ciel. — Deux tranches de gigot ! Lucien, sur un ton navrĂ©. — Deux tranches de gigot ! Joseph, dans un soupir. — Deux tranches de gigot, oui ! Reprenant son rĂ©cit. AprĂšs le dĂźner, elle avait fait deux ou trois patiences ; puis elle Ă©tait allĂ©e se coucher
 avec monsieur. Yvonne, prostrĂ©e dans sa douleur, et d’une voix Ă  peine perceptible. — Ma pauvre mam
 A ce moment seulement les derniers mots de Joseph frappent son cerveau, elle relĂšve lentement la tĂȘte comme quelqu’un qui s’interroge, puis la tournant vers Joseph. Monsieur ? Lucien, en mĂȘme temps que sa femme. — Monsieur ? Yvonne. — Maman Ă©tait couchĂ©e avec un monsieur ? Lucien. — Quel monsieur ? Joseph, avec une pointe d’inquiĂ©tude dans la voix. — Mais
 M. Fajolet !
 le pĂšre de madame ! Yvonne. — Mon pĂšre ! Lucien, qui s’est levĂ© et, les dents serrĂ©es, le menton en avant, s’est avancĂ© jusque vers Joseph, le faisant pivoter vers lui d’une tape brusque sur le bras. — OĂč ça son pĂšre ? Qui ça son pĂšre ? Ma belle-mĂšre est veuve ! Joseph, pivotant sur lui-mĂȘme et dos au public, reculant jusqu’à l’avant-scĂšne. — Ah ! mon Dieu ! vous n’ĂȘtes donc pas monsieur et madame Pinnevinnette ! Yvonne. — Pinnevinnette ! Lucien, furieux, et tout en marchant sur lui, avec l’allure d’un fauve qui va s’élancer sur sa proie. — Mais non, monsieur, nous ne sommes pas les Pinnevinnette ! Joseph a reculĂ© Ă  mesure que Lucien et Yvonne avançaient sur lui, et finit peu Ă  peu par ĂȘtre acculĂ© contre la table de nuit. Yvonne, qui a suivi son mari dans un mouvement en ciseaux, ce qui la met Ă  sa droite. — Est-ce que nous avons l’air de Pinnevinnette ? Lucien. — C’est sur le palier Ă  droite, les Pinnevinnette ! Joseph, la gorge serrĂ©e. — Eh bien ! c’est pas le palier droit, ici ? Lucien. — Non, monsieur, c’est le gauche ! c’est le droit quand on sort de l’ascenseur, mais le gauche quand on prend l’escalier. Yvonne. — Si vous aviez pris l’escalier comme tout le monde !
 Joseph, brusquement. — Ah ! mon Dieu ! Yvonne et Lucien. — Quoi ? Joseph. — Mais alors
 il va falloir que je recommence Ă  annoncer ? Lucien, le prenant par le bras et l’envoyant au milieu de la scĂšne. — Non, mais vous ne pensez pas que je vais y aller pour vous ? Joseph. — Oh ! recommencer ! Moi qui Ă©tais si content d’ĂȘtre dĂ©barrassĂ©. Lucien. — A-t-on jamais vu un imbĂ©cile pareil ! Yvonne, marchant Ă©galement sur lui. — Venir vous donner des Ă©motions en vous annonçant que votre mĂšre est morte quand elle ne l’est pas ! Joseph. — Madame, je suis dĂ©solĂ©. Yvonne, haussant les Ă©paules. — Oh taisez-vous donc ! Elle redescend Ă  droite. Lucien, le faisant pirouetter et l’envoyant ainsi au fond de la scĂšne — Allez, foutez-moi le camp ! EspĂšce d’idiot ! Yvonne, Ă  l’avant-scĂšne au pied du lit. — Maladroit ! Lucien, Ă  l’avant-scĂšne prĂšs de la cheminĂ©e ! — CrĂ©tin ! Joseph, au fond. — Mais monsieur, c’est pas de ma faute !
 vous devriez ĂȘtre contents ! Lucien et Yvonne, bondissant sur place. — Contents ! Lucien. — Brute ! Yvonne. — ImbĂ©cile. Lucien. — Chameau ! Joseph, dans l’embrasure de la porte. — C’est trop fort, par exemple ! vous m’engueulez parce que votre mĂšre n’est pas morte ! je n’y peux rien, moi ! Tous deux, bondissant sur lui. — Qu’est-ce que vous dites ! Lucien, Ă  gauche de la porte Ă  Joseph. — Voulez-vous foute le camp ! n
 de D
 ! Yvonne, poussant Joseph dehors. — Voulez-vous vous en aller ! Joseph, pendant qu’on l’expulse. — Oh ! non, non, je m’en souviendrai de celle-lĂ . Yvonne. — Oh ! et moi aussi, par exemple ! Elle sort Ă  la suite de Joseph qu’elle poursuit jusque dans l’antichambre. Lucien, qui est restĂ© sur le pas de la porte, continuant Ă  invectiver Joseph que le public ne voit plus, pas plus qu’Yvonne. — Foutez le camp !
 Foutez le camp !
 Foutez le camp !
 Foutez le camp !
 Foutez le camp !
 Chaque "Foutez le camp ! " doit ĂȘtre espacĂ© de deux secondes. Dans chaque intervalle on entend un "Oh ! " indignĂ© d’Yvonne. A tout cela se mĂȘlent les protestations de Joseph, le bruit de la porte d’entrĂ©e qu’on ouvre, puis qu’on referme brusquement sur le dos de quelqu’un. Lucien, redescendant, et comme un dernier grognement qui ne s’adresse plus Ă  personne. Foutez le camp ! Yvonne, trĂšs Ă©nervĂ©e, redescendant vers le pied du lit et y jetant son fichu et son manteau. — Oh ! Lucien. — Oh ! Yvonne. — Oh ! Lucien. — Oh ! quelle brute ! quelle brute ! Yvonne. — Vous donner des coups pareils ! Elle s’assied tout Ă©mue sur la banquette. Lucien, indignĂ©. — Oh ! AprĂšs un temps, heureux de cette occasion de reprĂ©sailles. Eh bien ! la voilĂ , ta mĂšre ! voilĂ  ce qu’elle nous fait, ta mĂšre ! Yvonne, ahurie. — Ah ! çà ! qu’est-ce que tu as ? Qu’est-ce qui te prend ? Lucien. — Oui ! Qu’est-ce que je dirai au tapissier, moi, maintenant ?
 quand il apprendra que ta mĂšre n’a jamais Ă©tĂ© morte ? que tout ça c’était une blague ? Yvonne. — Comment, quand il apprendra ? Mais tu n’as qu’à ne pas lui apprendre. Lucien, presque criĂ©. — Mais je lui ai Ă©crit ! Yvonne, se dressant indignĂ©e. — DĂ©jĂ  ! Lucien, de mĂȘme. — Evidemment ! puisqu’il nous embĂȘte, cet homme ! Yvonne. — Oh ! Lucien. — Je lui ai annoncĂ© que j’allais pouvoir le rĂ©gler, ayant eu la
 la douleur de perdre ma belle-mĂšre. Yvonne. — C’est trop fort ! tu escomptais maman ! Lucien. — Je ne pouvais pas me douter que tout ça c’était une blague ! Montrant le poing Ă  la porte du fond. Oh ! le chameau ! le chameau ! Yvonne, sautant sur lui comme une tigresse. — C’est maman que tu appelles chameau ? C’est maman que tu appelles chameau ? Lucien. — Oh ! oui, alors ! oh ! oui, alors ! Chameau ! Chameau ! Yvonne, lui mettant ses ongles dans la figure. — MisĂ©rable ! MisĂ©rable ! A ce moment, une sonnerie Ă©loignĂ©e et diffĂ©rente de celle de la porte d’entrĂ©e retentit, arrĂȘtant court leur altercation. Yvonne, brusquement impĂ©rative. Chut ! tais-toi ! Lucien, saisi. — Qu’est-ce qu’il y a ? Yvonne. — Le domestique qui vient de sonner Ă  la porte d’à cĂŽtĂ©. Lucien, redescendant. — Eh bien ! je m’en fous !! Yvonne, sautant de joie. — C’est les voisins qui ont perdu leur mĂšre ! C’est les voisins qui ont perdu leur mĂšre ! Lucien. — C’est ça, tu te rĂ©jouis du malheur des autres. Yvonne, gagnant joyeuse l’avant-scĂšne droite et tout en s’asseyant d’un saut sur le lit. — Tiens ! Quand je pense que ça a failli ĂȘtre moi ! Lucien. — Oh ! oui, plus souvent ! Remontant. Ah ! nous sommes bien ! nous voilĂ  bien ! ScĂšne IVModifier Les MĂȘmes, Annette Annette, rentrant vĂȘtue d’un large et long pardessus Ă  Lucien. — FoilĂ  ! c’est fait ! Lucien, bondissant vers elle et lui saisissant les poignets. — Ah !
 les lettres ! qu’est-ce que vous avez fait des lettres ? Annette, reculant dans l’espace qui est entre le fond et le lit. — Che les ai mises Ă  la poste. Lucien. — C’est ça ! voilĂ  ! elle les a mises Ă  la poste ! Annette. — Pen ! oui, puisque moussié  Lucien. — Ah ! vous avez fait un joli coup ! Qu’est-ce vous aviez besoin de vous presser comme ça ? Annette. — Comment, mais c’est moussiĂ© qui m’a dit
 ! Lucien. — Eh ! C’est moi, c’est moi
 ! parce que tout Ă  l’heure la mĂšre de madame Ă©tait morte. Il redescend. Yvonne, radieuse, Ă  Annette qui est tout prĂšs d’elle de l’autre cĂŽtĂ© du lit. — Oui, et maintenant
 elle ne l’est plus. Annette, au-dessus du lit. — Lieber Gott !
 ils sont fous ! Yvonne, bien chaud. — C’est pas maman ! c’est la mĂšre des voisins ! Le domestique s’était trompĂ© de palier ! Annette. — Non ! c’est frai ? Lucien, furieux. — Mais oui ! Annette, sautant en l’air de joie. — Ah ! que che suis gondende ! Lucien, furieux. — C’est ça, elle est gondende ! elle est gondende ! Annette. — Mais oui ! Yvonne, indiquant du doigt Lucien qui est Ă  l’avant-scĂšne gauche. — Non, mais c’est que monsieur, lui, il regrette ! Lucien, haussant les Ă©paules. — Allons, voyons ! Yvonne. — Il aurait Ă©tĂ© heureux d’enterrer maman ! Lucien, mĂȘme jeu. — Ah ! lĂ , "l’enterrer"
 ! Brusquement. Ah ! n
 de D
 ! Yvonne. — Quoi ! Lucien. — Et ma lettre Ă  Borniol ! Yvonne. — Quoi, "ta lettre Ă  Borniol" ? Lucien, vite et d’une voix navrĂ©e. — J’ai Ă©crit Ă  la maison Borniol de venir demain matin chez ta mĂšre pour s’entendre pour le convoi ! Yvonne, bondissant Ă  genoux sur le lit. — Tu as fait ça ! Lucien. — Ah bien ! c’est du joli ! Yvonne, avançant sur les genoux jusqu’au pied du lit. — Mais tu veux donc la tuer ! tu veux donc sa peau ! Lucien. — Oh bien ! voilĂ  tout ! on en sera quitte pour envoyer une dĂ©pĂȘche demain matin ! Yvonne, lui montrant le point. — MisĂ©rable ! il veut tuer maman ! il veut tuer maman ! Tout ceci jusqu’à la fin et pour ainsi dire ensemble Lucien, allant jusqu’au pied du lit et sur un ton impĂ©ratif. — Oh ! et puis assez ! c’est le moment de dormir ! Yvonne, sans l’écouter. — ScĂ©lĂ©rat ! Assassin ! Troppmann ! Lucien, montĂ© Ă  moitiĂ© sur la banquette. — Vas-tu te taire ! vas-tu te taire ! Annette, qui est montĂ©e sur le rebord du lit, essayant de s’interposer entre eux. — Voyons, mĂątĂąme ! monsieur ! Yvonne. — Il veut tuer maman ! Il veut tuer maman ! Lucien, abandonnant la place et face au public. — Oh ! non ! non ! j’aime encore mieux coucher dans les draps de la bonne ! Yvonne, pendant que le rideau baisse. — Et il dit que j’ai les seins en portemanteau. Annette. — MĂątĂąme ! mĂątĂąme ! Lucien, gagnant la porte de gauche. — Oh ! la barbe ! la barbe ! Yvonne. — Il dit que j’ai les seins en portemanteau ! Lucien. — La barbe ! Il sort furieux. RIDEAU
TrĂšsbelle chanson sortant de nos souvenirs avec un nouveau rythme. Paroles et musique: Jacques Douai Alors on chante?
Il a neigĂ© Ă  Port-au-PrinceIl pleut encore Ă  ChamonixOn traverse Ă  guĂ© la GaronneLe ciel est plein bleu Ă  Paris Ma mie l’hiver est Ă  l’enversNe t’en retourne pas dehorsLe monde est en chamailleOn gĂšle au sud, on sue au nord Fais du feu dans la cheminĂ©eJe reviens chez-nousS’il fait du soleil Ă  ParisIl en fait partout La Seine a repris ses vingt bergesMalgrĂ© les lourdes giboulĂ©esSi j’ai du frimas sur les lĂšvresC’est que je veille Ă  ses cĂŽtĂ©s Ma mie j’ai le cƓur Ă  l’enversLe temps ravive le cerfeuilJe ne veux pas ĂȘtre tout seulQuand l’hiver tournera de l’Ɠil Je rapporte avec mes bagagesUn goĂ»t qui m’était Ă©trangerMoitiĂ© domptĂ©, moitiĂ© sauvageC’est l’amour de mon potager Fais du feu dans la cheminĂ©eJe rentre chez moiEt si l’hiver est trop butĂ©On hibernera Le"foyer" dĂ©signe, dans son sens premier, l'endroit d'une cheminĂ©e oĂč se fait le feu. Et, il dĂ©signe, dans son deuxiĂšme sens, le domicile familial, le lieu oĂč se tient la famille. Cet endroit a Ă©tĂ© appelĂ©: "foyer" parce que c'est autour du feu que ce Dino Train Dino Train ! Chez les dinosaures il y avait dit-on Le nid d’une maman PtĂ©ranodon Elle entend soudain un p'tit quelque chose Et dit Bon sang mes Ɠufs Ă©closent » Quand leur Ɠufs sont trop Ă©troits Naissent ces beaux bĂ©bĂ©s 1 2 3 Vos noms Timmy Lili ThĂ©o » Et Timmy s’écrie Eh c’est pas fini ! » L’étrange dernier avait un drĂŽle d’air Des dents, une queue, des grands yeux verts L’affaire, Ă  vrai dire, posait question Suis-je vraiment un bĂ©bĂ© PtĂ©ranodon ? » Alors la maman, d’un ton sincĂšre, Dit Oh c’est ta famille et je suis ta mĂšre Et mĂȘme si on est pas les mĂȘmes On est tous des dinosaures quand mĂȘme Viens mon Sammy on plie bagage, Je prends nos billets et nous partons en voyage On va rencontrer sur notre chemin Bien d’autres espĂšces sur le Dino Train » Dino Train Dino Train Dino Train Dino Train On va plus loin loin loin loin loin En Dino Train ! CACHER LA VIDÉO Docteur La Peluche Docteur La Peluche va te soigner Si tu es un jouet, elle va t'aider N'aie pas peur, ça va aller Les jouets sont sa spĂ©cialitĂ©... On va trĂšs bien s'occuper de toi Le docteur La Peluche est lĂ  pour ça Si ça pique surtout pas de panique Elle soigne tous les bobos dans sa clinique Le docteur sait toujours quoi faire Elle te guĂ©rit en un Ă©clair Docteur La Peluche, Docteur La Peluche La visite va commencer, la clinique est ouverte Docteur La Peluche, Docteur La Peluche La visite va commencer, la clinique est ouverte ! CACHER LA VIDÉO Elena d'Avalor Dans un royaume lointain Elena Une princesse croit en son destin Elena EntourĂ©e de sa famille Elena Elle relĂšve tous les dĂ©fis Elena Elena d'Avalor Dans la vie et ses mystĂšres Les amis sont solitaires Elle gouverne avec le coeur L'amour est toujours vainqueur Elena Elena Elena d'Avalor CACHER LA VIDÉO Équipe Action On veut que le soleil brille Nous chassons les ennuis Coeur, puissance et esprit Passons Ă  l'action Watts Place Ă  l'aventure Clay On est toujours prĂȘts Wren Rien ne peut nous arrĂȘter Treena Nous sommes l'Équipe Action CACHER LA VIDÉO Geo Jet ÉlĂšves de la Geo Jet Academie, Nos quatre explorateurs s'Ă©lancent dans une aventure planĂ©taire Xuly ! Kyan ! Lars ! Foz ! Voici les Geo Jet ! Go Xuly est la pilote la plus rapide de la terre Kyan l'acrobate fait des figures dans les airs Lars peut tout rĂ©parer en un Ă©clair, quel champion Foz aime dĂ©jouer les plans de grand maĂźtre Gronchon Pendant que le monde avance Par Musicorne guidĂ©s c'est moi Quatre hĂ©ros tentent leur chance Il y a tant Ă  explorer Alors tous aventuriers Go go, go go Geo Jet ! Go go, go go Tout autour du monde yeaaah Go go, go go Geo Jet ! Les Geo Jet ! Go go go ! CACHER LA VIDÉO Gormiti La lĂ©gende prend vie Ensemble nous sommes invincibles Toujours nous serons indivisibles Nous sommes les hĂ©ros de Gorm PrĂȘts pour un combat Ă©norme Nous sommes ici pour sauver l'Ăźle Notre monde, de tous les dangers Nous sommes les hĂ©ros de Gorm PrĂȘts pour un combat Ă©norme Le roc et le vent font Ă©quipe Le feu, la glace, ensemble hĂ©roiques Gormiti Nous sommes les hĂ©ros de Gorm CACHER LA VIDÉO H2O I've got a special power That I'm not afraid to use So come on this is my adventure This is my fantasy It's all about living in the ocean, being wild and free 'Cause I'm no ordinary girl I'm from the deep blue underworld Land or sea, I've got the power if I just believe 'Cause I'm no ordinary girl I'm from the deep blue underworld Land or sea, the world's my oyster I'm the pearl, no ordinary girl CACHER LA VIDÉO La Maison de Mickey Oh bonjour les amis, ça va, c'est moi, Mickey ! Hey, vous voulez voir ma nouvelle maison ? Ça me fait plaisir, c'est super ! En avant ! Oh oh j’allais oublier le principal, pour faire apparaĂźtre ma maison il faut d'abord dire la bonne formule magique Misca Mosca Mickey Mouse Dites-le avec moi Misca Mosca Mickey Mouse... La maison de Mickey, maison de Mickey oh, c'est moi La maison de Mickey, maison de Mickey Qui l'a fabriquĂ©e ? Mickey ! C’est magique, c’est magnifique ! Qui l'a fabriquĂ©e ? Mickey ! Avec Donald “bonjour” Daisy “ici” Dingo “salut” Pluto “ouaf ouaf” Minnie “hi hi ouiii” Mickey “bienvenue” Qui l'a fabriquĂ©e ? Mickey ! C’est magique, c’est magnifique ! La maison de Mickey, maison de Mickey CACHER LA VIDÉO La Pat' Patrouille Pat' Patrouille, Pat' Patrouille Vite ils repartent en vadrouille DĂšs qu'il y a un souci Dans la Grande VallĂ©e Ryder et les chiots, ses amis Viendront s'en occuper Marcus, Ruben, Chase, Rocky, Zuma, Stella Yeah, ils vont arriver Pat' Patrouille, Pat' Patrouille DĂšs qu'il y a une embrouille Pat' Patrouille, Pat' Patrouille Vite ils repartent en vadrouille Rien n'est trop dur, les chiots assurent Pat' Patrouille, les rois de la dĂ©brouille Aucun repos pour Pat' Patrouille Whoa oh oh Pat' Patrouille Whoa oh oh oh Pat' Patrouille CACHER LA VIDÉO Les TriplĂ©s 1 2 3 triplĂ©s 1 2 3 triplĂ©s À trois on arrĂȘte pas c'est tous les jours la joie À trois on fait plus de bĂȘtise, on dit plus de sottise Ă  3 À trois on se chamaille trĂšs fort À trois on s'aime encore plus fort À trois on est les plus craquants Les chouchous de maman Et moi et moi, m'oubliez pas ! CACHER LA VIDÉO Lolirock Pop Revolution LĂšve-toi ! vas-y ! Bouge-toi ! mais oui Suis-moi ! Viens dans la "Pop Revolution Party" Lance-toi ! ah Allez ! yeah Debout ! Dansons la "Pop Revolution Party" Tous tes amis rappliquent Tous tes amis t’invitent Tous tes amis bougent en rythme sur le dancefloor OK ! vas-y Sois cool ! mais oui Les filles ! c'est la Pop Revolution » Pour devenir magique, Pour devenir cosmique, Laisse entrer la musique ! danse la Pop Revolution Un son supersonique ! LĂąche-toi, pas de panique ! Laisse entrer la musique ! danse la Pop Revolution Envole-toi au plus haut DĂ©colle et de trĂšs fort, Ce cri qui vient du cƓur danse la Pop Revolution Pour devenir magique, Pour devenir cosmique, Laisse entrer la musique ! Danse la Pop Revolution Tu vas c’est ça Trouver tu l’as Ton style dans cette Pop Revolution Party Ce soir assure Deviens c’est sĂ»r La star dansons la "Pop Revolution Party" Tous tes amis rappliquent Tous tes amis t’invitent Tous tes amis bougent en rythme sur le dancefloor Tu brilles autant que mille diamants C’est la magie Pop Revolution » ! CACHER LA VIDÉO Mickey et ses amis Top dĂ©part On est prĂȘts Ă  se lancer... Pour l'aventure des courses folles On va foncer pour vous aider Avec nos amis bĂ©nĂ©voles Avec toute l'Ă©quipe on va tourner, virer et passer une super journĂ©e De Hot Dog Ville notre ville prĂ©fĂ©rĂ©e Jusqu'Ă  la ligne d'arrivĂ©e C'est Mikey et ses amis, allez c'est parti ! Top dĂ©part ! Allez, venez ! C'est Mikey et ses amis, allez c'est parti ! Top dĂ©part ! On va surfer sur la route ou-ou-ou-oute Tourner les roues ou-ou-ou-ou Aller plus vite ! i-i-i-ite On va jouer avec... Mikey et ses amis, top dĂ©part ! C'est chouette ! On va jouer avec... Mikey et ses amis, top dĂ©part ! C'est chouette ! On va jouer avec... Mikey et ses amis, top dĂ©part !CACHER LA VIDÉO Miraculous Je m'appelle Marinette Une fille comme les autres Mais quand le destin me choisit Pour lutter contre les forces du mal Je deviens Miraculous Ladybug Une ladybug ! Porte-bonheur Ladymagique et ladychance Une ladybug ! Lady du coeur Être hĂ©roĂŻque en cas d'urgence Miraculoooooous ! Miraculous Version longue Je m'appelle Marinette, Une fille comme les autres. Mais quand le destin me choisit pour lutter contre les forces du mal, Je deviens Miraculous Ladybug ! Papillon noir, Paris mystĂšre, C'est mon histoire... plutĂŽt Ă©trange, La magie noire, me dĂ©sespĂšre, Et le chat noir n'est pas un ange. Oh oh oh Amour chassĂ©-croisĂ©, Oh oh oh Mon coeur aime Adrien. Oh oh oh Pas ce hĂ©ros masquĂ© qui m'aime quand je deviens
 Miraculous, porte-bonheur, Lady magique et Lady chance ! Miraculous, Lady du coeur, Être hĂ©roĂŻque en cas d'urgence ! C'est moi Chat Noir, toujours prĂ©sent, J'ai des pouvoirs superpuissants. Pour la victoire, j'en fais serment, Je me bagarre, Ă©perdument. Oh oh oh Amour chassĂ©-croisĂ©, Oh oh oh J'ai peur d'aimer pour rien, Oh oh oh Celle qui ne peut m'aimer quand elle vit son destin
 Miraculous, porte-bonheur, Lady magique et Lady chance ! Miraculous, Lady du coeur, Être hĂ©roĂŻque en cas d'urgence ! Miraculous, porte-bonheur, Lady magique et Lady chance ! Miraculous, Lady du coeur, Être hĂ©roĂŻque en cas d'urgence ! Dans la vraie vie, je suis fragile J'apprends souvent, Ă  mes dĂ©pends Et je souris, mĂȘme Ă  la ville En me jouant de mes tourments Oh oh oh Amour chassĂ©-croisĂ©, Oh oh oh J'ai peur d'aimer pour rien, Oh oh oh Celle qui ne peut m'aimer quand elle vit son destin
 Miraculous, porte-bonheur, Lady magique et Lady chance ! Miraculous, Lady du coeur, Être hĂ©roĂŻque en cas d'urgence ! Miraculous, Miraculous Miraculous, Lady du coeur, Être hĂ©roĂŻque en cas d'urgence ! Miraculooooooooooooous ! Oui-Oui Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Avec ton beau taxi En avant Oui-Oui Oui-Oui C’est toi qui conduit Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Tu as mille amis Une merveilleuse journĂ©e oui Commence aujourd’hui Oui vas-y Oui-Oui Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Tu souris Ă  la vie En avant Oui-Oui Oui-Oui Vaillant et gentil Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Tu as mille amis Au beau pays des jouets oui Tu chantes et tu ries Oui vas-y Oui-Oui PrĂšs de moi, mes amis font la ronde Potiron et Mirou, MĂ©lissa Le gendarme connaĂźt bien les vilains lutins C’est la joie, Hourra ! Dans tout mon p'tit monde Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Tu chasses les ennuis En avant Oui-Oui Oui-Oui Et le soleil luit Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Le chagrin s’enfuit Quand tu as tout arrangĂ© oui On entend qu’un cri Oui vas-y Oui-Oui Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Avec ton beau taxi En avant Oui-Oui Oui-Oui C’est toi qui conduit Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui Tu as mille amis Une merveilleuse journĂ©e oui Commence aujourd’hui Oui vas-y Oui-Oui Oui-Oui CACHER LA VIDÉO Petit Ours Brun Oh, oh, tiens voilĂ  quelqu'un Petit Ours Brun Coucou c'est toi mon copain Petit Ours Brun Tu fais toujours ton coquin Mon petit ours malin Tape, tape dans tes mains Petit Ours Brun Saute, saute les pieds joints Petit Ours Brun Petit Ours Petit, Petit Ours Brun CACHER LA VIDÉO Petz Club Petz Club, Petz Club Petz Club, Petz Club Retrouvons les animaux disparus ! Petz Club, Petz Club Voici Tim, Oscar, Et moi Nina ! Et sans oublier le chien Marlou... Un chien un peu zinzin Un peu fou-ou. Petz Club, Petz Club Contactez-nous Vous pouvez compter sur nous ! Petz Club, Petz Club Retrouvons les animaux disparus ! CACHER LA VIDÉO Pierre Lapin C'est Parti ! Pierre Lapin Cours chaque jour Cours pour ta vie Et creuse un trou, un peu partout Creuse en dessous À travers champs Libre comme le vent Tu cours en chipant quelques radis en passant Le jour la nuit Plein d'Ă©nergie Tu as des ailes Quand le vent souffle À travers ciel Vas-y Car toi et moi on n'est pas nĂ© pour traĂźnailler Vas-y L'aventure la vie nous appelle Vas-y Pierre Lapin C'est parti ! Pierre Lapin Vas-y Pierre Lapin ! C'est parti ! CACHER LA VIDÉO Princesse Sofia Je vivais dans mon village bien tranquillement Mais tout a basculĂ© si brusquement Je suis devenue princesse du jour au lendemain Quel changement de destin Une nouvelle famille et un chĂąteau comme foyer Dans mon Ă©cole il n'y a que des tĂȘtes couronnĂ©es C'est un monde enchantĂ© qui n'attend que moi Et certains m'appellent dĂ©jĂ ... Princesse Sofia Ce n'est pas facile d'ĂȘtre une nouvelle princesse royale Princesse Sofia C'est l'aventure mais je ne m'en sors pas si mal Sofia Je vais tous leur montrer Sofia Que je suis digne d'ĂȘtre appelĂ©e... Princesse Sofia CACHER LA VIDÉO Pyjamasques Yoyo ! Bibou ! Gluglu ! En avant ! Au coeur de la nuit Ils viennent vous aider Qui sont ces hĂ©ros, ces vaillants justiciers ? Pyjamasques, vive les Pyjamasques Pyjamasques, vive les Pyjamasques Car la nuit... On poursuit les petits bandits J'ai pas de rime en i Pyjamasques, vive les Pyjamasques Pyjamasques, vive les Pyjamasques Pyjamasques ! TRANSFORMATION Pyjamasques, on a un nouveau dĂ©fi ! Les soucis, on les rĂšgle la nuit ! La nuit tombe sur la ville Et nos trois hĂ©ros vont affronter de terribles mĂ©chants Ils sont prĂȘts Ă  tout pour les empĂȘcher de nuire Sacha devient... Yoyo Amaya devient... Bibou Greg devient... Guglu Les Pyjamasques !CACHER LA VIDÉO Robin des Bois Il est audacieux Robin des Bois Il est courageux Robin des Bois Robin des Bois Robin des Bois Tellement gĂ©nĂ©reux Robin des Bois Toujours valeureux Robin des Bois Robin des Bois Robin des Bois Sam Le Pompier À chaque signal d'alarme Sam garde toujours son calme Crie trĂšs fort au moindre danger Sam sera lĂ  pour te sauver Sans hĂ©sitation sans peur C'est le pompier Sam Il fait notre bonheur Le pompier Sam Toujours prĂȘt Ă  t'aider Sam, c'est notre hĂ©ros Ă  nous ! CACHER LA VIDÉO Aladdin Ce rĂȘve bleu Je vais t'offrir un monde Aux mille et une splendeurs Dis-moi, princesse, n'as-tu jamais LaissĂ© parler ton coeur ? Je vais ouvrir tes yeux Aux dĂ©lices et aux merveilles De ce voyage en plein ciel Au pays du rĂȘve bleu Ce rĂȘve bleu C'est un nouveau monde en couleurs OĂč personne ne nous dit C'est interdit De croire encore au bonheur Ce rĂȘve bleu Je n'y crois pas, c'est merveilleux Pour moi, c'est fabuleux Quand dans les cieux Nous partageons ce rĂȘve bleu Ă  deux Nous faisons ce rĂȘve bleu Ă  deux Sous le ciel de cristal Je me sens si lĂ©gĂšre Je vire, dĂ©lire et chavire Dans un ocĂ©an d'Ă©toiles Ce rĂȘve bleu Ne ferme pas les yeux C'est un voyage fabuleux Et contemple ces merveilles Je suis montĂ©e trop haut AllĂ©e trop loin Je ne peux plus retourner d'oĂč je viens Un rĂȘve bleu Sur les chevaux du monde Vers les horizons du bonheur Dans la poussiĂšre d'Ă©toiles Naviguons dans le temps Infiniment Et vivons ce rĂȘve merveilleux Ce rĂȘve bleu Ce rĂȘve bleu Aux mille nuits Aux mille nuits Qui durera Pour toi et moi Toute la vieCACHER LA VIDÉO Alerte Rouge Nobody like U Yeah, ooh, yeah I’ve never met nobody like you Had friends and I’ve had buddies, it’s true But they don’t turn my tummy the way you do I’ve never met nobody like you Oh, yeah, yeah You’re never not on my mind, oh my, oh my I’m never not by your side, your side, your side I’m never gonna let you cry, oh cry, don’t cry I’ll never not be your ride or die, alright Let’s call it what it is, it’s a masterpiece Gotta whole lotta love for them city streets Glendale! Tonight is the place to be, gotta big boom-box and a new CD Come on! Everybody let’s tear it up If you want mad skills, you can share with us I want! Everybody to stop and stare And you know why, it’s me Robaire! Woo, uh It’s too good Yeah, haha Let’s go! You’re never not on my mind, oh my, oh my I’m never not by your side, your side, your side I’m never gonna let you cry, oh cry, don’t cry I’ll never not be your ride or die, alright Li-Li-Li-Li-Li-Li-Like you Li-Li-Li-Li-Li-Li-Like you Li-Li-Li-Li-Li-Li-Like you Like you, like you Li-Li-Li-Li-Li-Li-Like you Li-Li-Li-Li-Li-Li-Like you Li-Li-Li-Li-Li-Li-Like you Like you, like you I’ve never met nobody like you Had friends and I’ve had buddies, it’s true But they don’t turn my tummy the way you do I’ve never met nobody like you You’re never not on my mind, oh my, oh my I’m never not by your side, your side, your side I’m never gon’ let you cry, oh cry, don’t cry I’ll never not be your ride or die, alrightCACHER LA VIDÉO Blanche-Neige Un Jour mon prince viendra Un jour mon prince viendra Un jour on s'aimera Dans son chĂąteau heureux s'en allant GoĂ»ter le bonheur qui nous attend Quand le printemps, un jour Ranimera l'amour Les oiseaux chanteront Les cloches sonneront L'union de nos coeurs, un jour CACHER LA VIDÉO Encanto J'attends le miracle Aucune peine, je joue mon rĂŽle Et ma tristesse, je la contrĂŽle Je fais partie de la famille Madrigal J'ai ma place, je sais que j'ai ma place Quand bien mĂȘme je n'assiste pas au bal Mais j'ai mal, oui j'ai mal Soulever les montagnes Fleurir les cƓurs quand il fait sombre Je veux garder un espoir tapi dans l'ombre En attendant le miracle Vous guĂ©rir de mes mains Et contrĂŽler le beau temps ou bien l'ouragan Je n'ai pas ce talent alors je me mens Et moi je veux croire Ă  mon miracle, je n'ai pas peur Je ne suis pas si forte Mais seule j'espĂšre encore Que s'ouvre enfin cette porte Je veux briller comme vous de mille feux Je dĂ©sire que ça change Je dĂ©sire une chance Je sais que je le peux, faire de mon mieux Ouvre les yeux, ouvre les yeux, ouvre les yeux Soulever les montagnes Fleurir les quatre saisons Que quelqu'un enfin me montre la direction Et moi, je veux croire Ă  mon miracle, je n'ai pas peur Vous guĂ©rir de mes mains Pour ma famille, je le jure Je serai spĂ©ciale, j'aurai le cƓur pur Et moi je veux croire Ă  mon miracle, je n'ai pas peur Je le mĂ©rite, comme je le mĂ©rite Faites que mon vƓu se rĂ©alise trĂšs vite Patiemment, j'ai tant attendu d'ĂȘtre Ă  l'honneur Ils ont tous eu droit au miracle Pourquoi n'ai-je pas droit Ă  mon miracle ? CACHER LA VIDÉO Encanto La famille Madrigal Commodes ! Sol ! Portes ! ÂĄVamos! À la maison, oui, y a toutes les gĂ©nĂ©rations On vit en musique, on a le rythme dans le sang On est une famille, une grande constellation Telles les Ă©toiles, chacun des membres flamboyants Woh ! C'est Ă  Abuela qu'on doit dire bravo Woh ! Elle protĂšge nos dons dĂšs qu'il le faut Woh ! C'est rare de recevoir un tel cadeau Soyez patients, vous saurez tout bientĂŽt donc DĂ©couvrez la famille Madrigal Entrez dans la famille Madrigal, nous sommes tous lĂ  Acceptez l'invitation amicale d'une fille gĂ©niale dans La fantastique famille Madrigal Oh, c'est eux, ils sont lĂ  ! c'est quoi les pouvoirs magiques ? C'est quoi tous les pouvoirs, c'est quoi ? Les pouvoirs magiques! doucement, doucement, on se calme ! Non, c'est carrĂ©ment impossible de se calmer ! Allez, raconte-nous, c'est quoi ton pouvoir ? Dis-nous tous les pouvoirs qui existent ! Euh, c'est pour ça que le cafĂ©, c'est pas pour les enfants ! Ma tĂ­a Pepa, sa joie rend le ciel azur Mais la pluie arrive dĂšs qu'elle perd son beau sourire Mon tĂ­o Bruno, ne parlons pas de Bruno Il a vu dans le futur juste avant de partir Oh ! Et ma maman Julieta peut guĂ©rir Woh ! Ses recettes sont faites pour vous rĂ©tablir Woh ! Cuisiner et soigner sont ses plaisirs ImpressionnĂ©s ? Oui, j'allais vous le dire... maman ! DĂ©couvrez la famille Madrigal Entrez dans la famille Madrigal hĂ©, venez tous ! Ça peut sembler un peu miraculeux et merveilleux C'est la fantastique famille Madrigal Ils ont Ă©pousĂ© la famille Madrigal Et ont leur place dans la famille Madrigal TĂ­o Felix Ă©pousa Pepa et Papa Ă©pousa Julieta Alors Abuela devint l'Abuela Madrigal ÂĄVamos! ÂĄvamos! Nous devons aider ceux qui nous entourent Ainsi notre miracle durera toujours Pour une vie plus sĂ»re, les gens travaillent dur Il n'y a que l'abnĂ©gation pour que le miracle perdure Et chaque gĂ©nĂ©ration le transmet Ă  celle du futur Attendez, qui est la sƓur et qui est le cousin ? Ça fait beaucoup, beaucoup de monde! comment tu fais pour t'y retrouver ? D'accord, d'accord, d'accord, d'accord On est nombreux et c'est bien vrai, vous connaissez les grands Maintenant, je vais vous parler des petits-enfants petits-enfants Cousine Dolores a l'oreille fine, Camilo se transforme Antonio, on le saura bientĂŽt Mes deux grandes sƓurs sont Isabela et Luisa Puissance et beautĂ©, parfaites Ă  tous niveaux Isabela reine des fleurs, tout le monde l'admire Isabela c'est l'enfant qu'on aime chĂ©rir Luisa, Luisa, Luisa, Luisa Et Luisa est un roc Toutes les deux allient beautĂ© et force DĂ©couvrez la famille Madrigal wo-oh-oh-oh Entrez dans la famille Madrigal wo-oh-oh-oh Tout le monde ici est miraculeux et merveilleux wo-oh-oh-oh Nous sommes la fantastique famille Madrigal ÂĄAdiĂłs! Et toi, c'est quoi ton pouvoir ? Oh ! J'en ai dit beaucoup sur la vie des Madrigal wo-oh-oh-oh Vous savez tout sur la famille Madrigal wo-oh-oh-oh Je ne veux pas parler de moi, mĂȘme si je suis gĂ©niale wo-oh-oh-oh RĂ©sumons un peu la famille Madrigal parle-nous de Mirabel Il y a Abuela et puis TĂ­a Pepa fait la pluie, le beau temps parle-nous de Mirabel Maman Julieta peut vous guĂ©rir avec juste un seul arepa parle-nous de Mirabel AgustĂ­n c'est mon pĂšre, il est maladroit mais veut bien faire parle-nous de Mirabel Et vous vouliez savoir ce que chacun d'eux fait, j'ai des sƓurs et des cousins et Mirabel Mon cousin Camilo est prĂȘt Ă  tout pour nous faire rigoler Mirabel Ma cousine Dolores, mĂȘme de trĂšs loin, elle nous entend chanter Mirabel Lui, c'est le monsieur Mariano, vous pouvez Ă©pouser ma sƓur si vous voulez Entre vous et moi Mirabel, elle est un peu compliquĂ©e Oh, j'en ai trop dit alors je m'en vais illico presto Mirabel Ma famille est gĂ©niale Mirabel J'en fais partie, je suis comme Mirabel Et, Mirabel ! CACHER LA VIDÉO Encanto Ne parlons pas de Bruno Ne parlons pas de Bruno-no-no non non Ne parlons pas de Bruno Mais, le jour de mon mariage c'Ă©tait notre mariage Je me faisais belle et pas l'ombre d'un nuage dans le ciel aucun nuage dans le ciel Bruno survint avec un rire malin orage ! À moi de le dire Ă  Mirabel continue, mi vida, pardon Bruno prĂ©dit une tempĂȘte pourquoi lui dire ça ? Tout se mĂ©langea dans ma tĂȘte sous les parapluies d'Abuela La pluie en un jour de fĂȘte quelle joyeuse journĂ©e mais on le sait Ne parlons pas de Bruno-no-no non non Ne parlons pas de Bruno On vit dans la peur de Bruno chuchotant, bĂ©gayant Je l'entends souvent au loin marmonnant et murmurant Je l'associe au bruit du sable qui tombe Ă  terre, tss-tss-tss Oui, quel poids pesant que son don humiliant Il maniait son intuition si maladroitement Pour la famille, ses prophĂ©ties restait un mystĂšre, y vois-tu plus clair ? Il donne des frissons, c'est l'ami des rats S'il prononce ton nom, c'est pas d'chance pour toi Il voit ton esprit et rit quand tu cris Ne parlons pas de Bruno-no-no non non, ne parlons pas de Bruno Il m'a dit que je trouverai mon poisson mort non, non Il m'a dit que mon bidon deviendrait Ă©norme non, non Il m'a dit que mes cheveux tomberaient, je suis chauve dĂšs lors non, non S'il te le dit, c'est que tel Ă©tait ton sort Il m'a dit qu'un beau jour, je l'aurai cette destinĂ©e dont j'ai tant rĂȘvĂ© Il m'a dit que mon pouvoir serait aussi fort qu'un soleil d'Ă©tĂ© ton Mariano est en chemin Il m'a dit que l'amour de ma vie allait se marier Ă  une autre que moi Et je l'entends encore ma sƓur Surtout ne dis pas un seul mot C'est vrai, je l'entends encore, je l'entends encore Hum, Bruno À propos de Bruno Je veux en savoir plus sur ce Bruno Raconte-moi tout, dis-moi tout sur Bruno Isabela, ton homme arrive Tout le monde Ă  table Il donne des frissons, c'est l'ami des rats S'il prononce ton nom, c'est pas d'chance pour toi Il voit ton esprit et rit quand tu cris Il donne des frissons, c'est l'ami des rats S'il prononce ton nom, c'est pas d'chance pour toi S'il voit ton esprit et rit quand tu cris Il est lĂ  Ne parlons pas de Bruno Pourquoi ai-je parlĂ© de Bruno ? Ne parlons pas de Bruno Je n'aurais pas dĂ» parler de Bruno CACHER LA VIDÉO Encanto Pour la Vie Notre maison veut de nouvelles fondations Rien n'est impossible si l'on travaille ensemble On est une famille, une grande constellation Telles les Ă©toiles, chacun des membres est flamboyant L'Ă©toile ne brille pas, elle brĂ»le Et les constellations changent Vous valez beaucoup plus Votre cƓur est immense J'ai Ă©tĂ© trop dure, je m'en excuse Pour moi, vous comptez plus que tout Le miracle n'est pas la magie que l'on croit Mon miracle c'est vous, ma famille c'est vous Mon miracle c'est vous, oui c'est vous, oui c'est vous Donc alors nous allons parler de Bruno — Ce Bruno Ouais, y'a beaucoup Ă  dire sur Bruno. Alors j'y vais Pepa, pour ton mariage, dĂ©solĂ©, je ne voulais pas t'offenser Ce n'Ă©tait pas un prĂ©sage mais comme je t'ai vue transpirer C'Ă©tait du rĂ©confort car ton frĂ©rot t'adore Qu'il fasse nuit, qu'il fasse beau, qu'il fasse jour, qu'il pleuve fort, mĂȘme trĂšs fort Tu sais, Bruno n'avait pas tort Tout d'abord, je tenais vraiment Ă  m'excuser Hey, l'essentiel est que tu sois rentrĂ©... Mais... Nous gardions espoir, c'est un bonheur de te voir Le plus important est que l'on se soit retrouvĂ©s Non, il n'est jamais parti, chaque jour je l'entendais Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh Qu'est-ce qu'on entend ? Oh oh oh, oh oh oh Ce sont les gens des environs Hey, c'est une Ă©preuve, c'est une Ă©preuve Vous n'ĂȘtes pas seuls, non vous n'ĂȘtes pas seuls Pas de magie mais on est unis Oui comme vous, unis pour la vie Quel plaisir de construire en Ă©quipe, tu es forte Mais parfois j'ai de la peine, mais on t'aime Si la force me manque, j'apprendrai Ă  gĂ©rer Il faut du soleil et un peu d'engrais HĂ© ho, cette nouvelle plante grandira d'elle-mĂȘme Pour toucher le ciel si haut Les Ă©toiles disparaissent Les constellations changent Les quatre saisons s'enchaĂźnent Notre fille est devenue grande et elle te ressemble Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh Aah... HĂ©, Mariano, tu as l'air perdu Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh J'ai tellement d'amour Ă  donner Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh Mon autre cousine, la connais-tu ? Elle s'appelle Dolores Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh D'accord, la suite, Ă  moi de jouer Tu parles si fort, tu t'occupes de ta mĂšre, tu as un cƓur en or Tes poĂšmes tu les Ă©cris avant de dormir chaque nuit J'attends depuis si longtemps que tu me vois et me souris Je te vois maintenant... et je t'entends, oui Pour la vie, pour la vie On s' marie ! Doucement ! Pour la vie, pour la vie ChĂšre maison, j'aime tes nouvelles fondations Ce n'est pas parfait, personne ne l'est, qu'importe Juste un dĂ©tail avant que nous entrions Quoi ? Cette fois, c'est ton tour, c'est ta poignĂ©e de porte Tu brilles de mille feux, le destin t'a souri On le voit dans tes yeux, c'est toi le miracle, on te suit Ouvre les yeux ÂĄAbra los ojos! Qu'est-ce que tu vois ? Je vois... moi Oui c'est moi CACHER LA VIDÉO Encanto Que sais-je faire d'autre ? J'ai fait quelque chose d'inattendu C'est piquant, c'est nouveau Ce n'est pas symĂ©trique ni parfait Mais je trouve ça beau, j'en suis fiĂšre Que sais-je faire d'autre ? T'en vas pas, t'en vas pas T'as raison ! T'en vas pas, t'en vas pas Que sais-je faire d'autre ? Pardon ! Dans mes bras, dans mes bras CĂąlin ! Dans mes bras, dans mes bras J'ai des roses, mes roses sont roses Flor de mayo plus qu'il n'en faut Je connais les plus belles poses Qu'y a-t-il derriĂšre mon Ă©go ? Si j'avais su en temps voulu que le moment prĂ©sent est une fĂȘte Mais attends, qu'as-tu en tĂȘte ? Whoah Si j'avais su, j'aurais vĂ©cu sans vouloir ĂȘtre si parfaite Il se trouve qu'aujourd'hui, je sais qui je suis Un ouragan de jacarandas Je m'agrippe oui Ă  sa liane tout va bien Au sommet de mon palma de cera Je vise bien plus haut Que sais-je faire d'autre ? Avec ces rossolis, ces rares vĂ©gĂ©taux J'en ai fini d'ĂȘtre lisse, je repars Ă  zĂ©ro Je veux sentir le frisson du renouveau À moi de refuser qu'un destin trop beau sonne faux On dirait que tu rĂȘvais ta vie, maintenant enfin tu te rĂ©veilles J'Ă©tais si loin du rĂ©el Comme l'oiseau qui prend le temps qu'il faut la premiĂšre fois qu'il dĂ©ploit ses ailes Plus tard, il s'Ă©lĂšve jusqu'Ă  toucher le ciel si haut Un ouragan de jacarandas au secours Je m'agrippe fort Ă  sa liane haut Au sommet de mon palma de cera Je vise bien plus haut Plus haut, plus haut Que faire de plus Ă  part vivre le moment prĂ©sent, le seul, le vrai ? Se libĂ©rer, profiter Que faire de plus quand tu comprends que rien ni personne n'est parfait ? Et j'en suis dĂ©livrĂ©e hĂ© oui, Ă  toi la libertĂ©, wouh ! Je danse au milieu des tabebuias tabebuias Mon esprit ton esprit fait des vagues fait des vagues Merci Ă  toi d'avoir Ă©clairĂ© la voie, c'est toi mon cadeau Que sais-je faire d'autre ? Tu n'as rien Ă  faire d'autre Que sais-je faire d'autre ? Tu n'as rien Ă  faire d'autre Que sais-je faire d'autre ? CACHER LA VIDÉO Encanto Sous les apparences Je n'ai pas peur, je suis solide Et comme la roche, je suis une dure Ă  cuire Toutes les montagnes, tous les empires Je les soulĂšve avec un grand sourire Toutes les missions les plus pĂ©nibles Sont pour moi car je suis indestructible Les mĂ©taux prĂ©cieux cassent en deux comme je veux Je suis un bulldozer, une vraie machine de guerre mais Sous les apparences Je suis nerveuse comme un Ă©quilibriste Qui n'a qu'une seule chance Sous les apparences Le grand Hercule avait peur face Ă  CerbĂšre et sa violence Sous les apparences Sans force, je n'ai plus confiance Car c'est ma seule compĂ©tence Le sol craque, la maison en vrac Je sens que tout dĂ©rape, je sens que tout m'Ă©chappe La pression qui fait clic, clic, clic Quand les gouttes tombent, oh-oh Pression qui fait bip, bip, bip Comme le bruit d'une bombe, oh oh oh oh Laisse ta grande sƓur porter le poids de ton cƓur C'est mon rĂŽle, je veux en ĂȘtre Ă  la hauteur Qui serais-je si je perds mon Ă©corce ? Je ressens la pression qui trĂšs vite, vite, vite Fait tomber le plomb, oh-oh Pression qui fait tic, tic, tic Avant une explosion, oh oh oh oh Laisse ta grande sƓur porter le poids de ton cƓur C'est quand j'aide les autres que je suis meilleure Qui serais-je si je n'ai plus de force ? Ça me fait peur Sous les apparences J'ai mes angoisses qui arrivent À chaque fois que le problĂšme commence Sous les apparences Plus le bateau avance et plus l'iceberg nous paraĂźt immense Sous les apparences Avoir de telles exigences, en aurais-je encore la chance ? Un domino s'Ă©croule quand le vent souffle On essaye de le retenir mais ils s'effondrent tous Rester fort en ignorant le poids pesant de toutes ces attentes Ferais-je une place Ă  la joie ou Ă  la dĂ©tente ? Oui si nous vivions sans faire attention Ă  l'Ă©norme pression Qui grandit, qui dĂ©truit, qui nous envahit La pression qui fait clic, clic, clic Quand les gouttes tombent, oh-oh Pression qui fait bip, bip, bip Comme le bruit d'une bombe, oh oh oh oh Laisse ta grande sƓur porter le poids de l'honneur Pour la famille, je peux encaisser la douleur Je peux trĂšs bien tenir sans m'Ă©crouler Sans plier La pression qui trĂšs vite, vite, vite Fait tomber le plomb, oh-oh Pression qui fait tic, tic, tic Avant une explosion, oh oh oh oh Laisse ta grande sƓur gĂ©rer sans te demander Si cette mĂȘme pression aurait pu t'Ă©craser Mais moi j'ai envie de te demander Ce que ça fait d'exister sans pression CACHER LA VIDÉO Le Livre de la Jungle Il en faut peu pour ĂȘtre heureux Il en faut peu pour ĂȘtre heureux Vraiment trĂšs peu pour ĂȘtre heureux Il faut se satisfaire du nĂ©cessaire Un peu d'eau fraĂźche et de verdure Que nous prodigue la nature Quelques rayons de miel et de soleil Je dors d'ordinaire sous les frondaisons Et toute la jungle est ma maison Toutes les abeilles de la forĂȘt Butinent pour moi dans les bosquets Et quand je retourne un gros caillou Je sais trouver des fourmis dessous Essaye c'est bon, c'est doux ! Il en faut vraiment peu TrĂšs peu pour ĂȘtre heureux Pour ĂȘtre heureux Il en faut peu pour ĂȘtre heureux Vraiment trĂšs peu pour ĂȘtre heureux Chassez de votre esprit tous vos soucis Prenez la vie du bon cĂŽtĂ© Riez, sautez, dansez, chantez Et vous serez un ours trĂšs bien lĂ©chĂ© ! Cueillir une banane, oui, ça se fait sans astuce Mais c'est tout un drame si c'est un cactus Si vous chipez des fruits sans Ă©pines Ce n'est pas la peine de faire attention Mais si le fruit de vos rapines Est tout plein d'Ă©pines C'est beaucoup moins bon Alors petit, as-tu compris ? Il en faut vraiment peu TrĂšs peu pour ĂȘtre heureux ! Pour ĂȘtre heureux ? Pour ĂȘtre heureux ! Ah mon Dieu, ce que c'est bon de vivre ! Essaie et dĂ©tends-toi, oui, rafraĂźchis-toi, mets-toi Ă  l'aise, Viens sur mon ventre, et laisse-moi te dire une chose, petit frĂšre, Si tu travailles comme cette abeille, tu te rendras malade, Ne gĂąche pas ton temps pour l'impossible Et si tu peux le trouver, alors tant mieux pour toi ! Et tu verras que tout est rĂ©solu Lorsque l'on se passe des choses superflues Alors tu t'en fais plus Il en faut vraiment peu, trĂšs peu pour ĂȘtre heureux Il en faut peu pour ĂȘtre heureux Vraiment trĂšs peu pour ĂȘtre heureux Chassez de votre esprit tous vos soucis Youpi ! Prenez la vie du bon cĂŽtĂ© Riez, sautez, dansez, chantez Et vous serez un ours trĂšs bien lĂ©chĂ© ! Et vous serez un ours trĂšs bien lĂ©chĂ© Youpi ! CACHER LA VIDÉO La Petite SirĂšne Partir lĂ -bas Je ne vois pas les choses de la mĂȘme façon, Comment est-ce qu'un monde qui fait d'aussi beaux objets peut ĂȘtre aussi barbare? Tous ces secrets que j'ai gardĂ©s Ne crois-tu pas que les fĂ©es m'ont comblĂ©e ? Ne crois-tu pas que je suis bien trop gĂątĂ©e par la vie ? Vois ces trĂ©sors et ces merveilles Toutes ces richesses qui brillent comme des soleils En voyant ça tu te dis "Oui, c'est un paradis !" J'ai des gadgets, des trucs chocs, des trucs chouettes J'ai des couics et des couacs Ă  gogo Tu veux un tire-baba ? J'en ai des tas ! Mais tout ça m'indiffĂšre et m'ennuie... Moi je voudrais parcourir le monde Moi je voudrais voir le monde danser Le voir marcher sur ses... comment ça s'appelle ? Ah ! Pieds... On ne va nulle part en battant des nageoires Il faut des jambes pour sauter et danser FlĂąner le longs de ces... comment ça s'appelle ? Rues... Si l'homme marche, si l'homme court, S'il peut sur terre rĂȘver au grand jour Comme j'aimerais si je pouvais partir lĂ -bas Je donnerais tout ce que j'ai pour partir d'ici Pour caresser les grains dorĂ©s du sable chaud Les hommes comprennent, j'en suis certaine Et leurs filles peuvent rĂȘver sans frayeur ! Femmes sirĂšnes, femmes humaines, j'ai fait mon choix! Moi je veux savoir, moi je veux pouvoir poser des questions et qu'on me rĂ©ponde Qu'est-ce que le feu ? Pourquoi est-ce qu'il... quoi dĂ©jĂ  ? BrĂ»le ! Un jour viendra, je partirai, je partirai sans aucun regret Vivre sur terre, loin de la mer Partir lĂ -bas CACHER LA VIDÉO La Petite SirĂšne Sous l'ocĂ©an Ariel, Ă©coute-moi, chez les humains, c'est la pagaille La vie sous la mer, c'est bien mieux que la vie qu'ils ont lĂ -haut sur terre... Le roseau est toujours plus vert dans le marais d'Ă  cĂŽtĂ© Toi, t'aimerais bien vivre sur terre, bonjour la calamitĂ© ! Regarde bien le monde qui t'entoure dans l'ocĂ©an parfumĂ© On fait carnaval tous les jours, mieux tu pourras pas trouver ! Sous l'ocĂ©an, sous l'ocĂ©an Doudou, c'est bien mieux Tout l'monde est heureux Sous l'ocĂ©an LĂ -haut, ils bossent toute la journĂ©e, esclavage et prisonniers Pendant qu'on plonge comme des Ă©ponges Sous l'ocĂ©an Chez nous les poissons s'fendent la pipe Les vagues sont un vrai rĂ©gal LĂ -haut ils s'Ă©caillent et ils flippent À tourner dans leur bocal Le bocal faut dire, c'est l'extase ! Chez leurs copains cannibales Si MissiĂ© poisson n'est pas sage Il finira dans la poĂȘle Oh, non ! Sous l'ocĂ©an Sous l'ocĂ©an Y'a pas d'court-bouillon, pas d'soupe de poisson, pas d'marmiton Pour la tambouille, on leur dit non Sous l'ocĂ©an y'a pas d'hameçon On dĂ©ambule, on fait des bulles Sous l'ocĂ©an Sous l'ocĂ©an, la vie est super, mieux que sur la terre Je te le dis... Je te le dis... Tu vois l'esturgeon et la raie se sont lancĂ©s dans le reggae On a le rythme, c'est de la dynamite Sous l'ocĂ©an L'triton au flĂ»tiau, la carpe joue d'la harpe La rascasse d'la basse, c'est les rois du rap Maquereau au saxo, l'turbo au bongo Le lieu est le dieu d'la soul, ouais ! La raie au djembĂ©, l'gardon au violon Les soles rock and roll, le thon garde le ton Le bar et le sprat se marrent et s'Ă©clatent Vas-y souffle mon doudou Sous l'ocĂ©an, sous l'ocĂ©an Sous l'ocĂ©an, sous l'ocĂ©an Quand la sardine "begin the beguine" Ça balance, ça swingue Ils ont le sable, ça c'est certain Nous le jazz-band et tous les copains On a les clim-clams pour faire une gym-jam Sous l'ocĂ©an Les limaces des mers au rythme d'enfer Sous l'ocĂ©an Et les bigorneaux pour donner l'tempo C'est frĂ©nĂ©tique, c'est fantastique ! On est en transe, faut qu'ça balance Sous l'ocĂ©an... CACHER LA VIDÉO La Belle et la BĂȘte Histoire eternelle Histoire Ă©ternelle, qu'on ne croit jamais De deux inconnus, qu'un geste imprĂ©vu, rapproche en secret... Et soudain se pose, sur leurs coeurs en fĂȘte Un papillon rose, un rien pas grand chose, une fleur offerte.... Rien ne se ressemble, rien n'est plus pareil Mais... comment savoir la peur envolĂ©e que l'on s'est trompĂ©... Chanson Ă©ternelle, au refrain fanĂ© C'est vrai c'est Ă©trange, de voir comme on change, sans mĂȘme y penser... Tout comme les Ă©toiles, s'Ă©teignent en cachette L'Histoire Eternelle, touche de son aile La Belle et la BĂȘte L' Histoire Eternelle, touche de son aile La Belle et la BĂȘte... CACHER LA VIDÉO Pocahontas L'Air du vent Pour toi, je suis l'ignorante sauvage Tu me parles de ma diffĂ©rence Je crois sans malveillance Mais si dans ton langage Tu emploies le mot sauvage C'est que tes yeux sont remplis de nuages De nuages... Tu crois que la terre t'appartient toute entiĂšre Pour toi, ce n'est qu'un tapis de poussiĂšre Moi, je sais que la pierre, l'oiseau et les fleurs Ont une vie, ont un esprit et un coeur Pour toi, l'Ă©tranger ne porte le nom d'homme Que s'il te ressemble et pense Ă  ta façon Mais en marchant dans ses pas tu te questionnes Es-tu sĂ»r, au fond de toi, d'avoir raison ? Comprends-tu le chant d'espoir du loup qui meurt d'amour Les pleurs du chat sauvage au petit jour ? Entends-tu chanter les esprits de la montagne ? Peux-tu peindre en mille couleurs l'air du vent ? Peux-tu peindre en mille couleurs l'air du vent ? Courons dans les forĂȘts d'or et de lumiĂšre Partageons-nous les fruits mĂ»rs de la vie La terre nous offre ses trĂ©sors, ses mystĂšres Le bonheur ici-bas n'a pas de prix Je suis fille des torrents, soeur des riviĂšres La loutre et le hĂ©ron sont mes amis Et nous tournons, tous ensemble, au fil des jours Dans un cercle, une ronde Ă  l'infini LĂ -haut, le sycomore dort Comme l'aigle royal, il trĂŽne impĂ©rial Les crĂ©atures de la nature ont besoin d'air pur Et qu'importe la couleur de leur peau Nous chantons tous en choeur les chansons de la montagne En rĂȘvant de pouvoir peindre l'air du vent Mais la terre n'est que poussiĂšre Tant que l'homme ignore comment Il peux peindre en mille couleurs l'air du vent CACHER LA VIDÉO Le Roi Lion L'Histoire de la vie Au matin de ta vie sur la planĂšte Ébloui par le dieu soleil À l’infini, tu t’éveilles aux merveilles De la terre qui t’attendent et t’appellent Tu auras tant de choses Ă  voir Pour franchir la frontiĂšre du savoir Recueillir l’hĂ©ritage Qui vient du fond des Ăąges Dans l’harmonie d’une chaĂźne d’amour C’est l’histoire de la vie Le cycle Ă©ternel Qu’un enfant bĂ©ni Rend immortel La ronde infinie De ce cycle Ă©ternel C’est l’histoire L’histoire de la vie C’est l’histoire de la vie Le cycle Ă©ternel Qu’un enfant bĂ©ni Rend immortel La ronde infinie De ce cycle Ă©ternel C’est l’histoire L’histoire de la vie CACHER LA VIDÉO Le Roi Lion Hakuna Matata Hakuna Matata, Mais quelle phrase magnifique Hakuna Matata, Quel chant fantastique ! Ces mots signifient Que tu vivras ta vie Sans aucun souci Philosophie Ce trĂšs jeune phacochĂšre J'Ă©tais jeune et phacochĂšre Bel organe Merci ! Un jour, quelle horreur Il comprit que son odeur Au lieu de sentir la fleur Soulevait les coeurs Mais y'a dans tout cochon Un poĂšte qui sommeille Quel martyr Quand personne Peut plus vous sentir ! DisgrĂące infĂąme parfum d'infĂąme Inonde mon Ăąme oh, ça pue le drame Je dĂ©clenche une tempĂȘte pitiĂ©, arrĂȘte ! A chaque fois que je... Non Pumbaa, pas devant les enfants! Oh ! Pardon ! Hakuna Matata, Mais quelle phrase magnifique ! Hakuna Matata, Quel chant fantastique ! Ces mots signifient Que tu vivras ta vie, Ouais, chante petit ! Sans aucun souci Philosophie Hakuna Matata ! Hakuna Matata Hakuna Matata Hakuna Matata Hakuna Ces mots signifient Que tu vivras ta vie Sans aucun souci Philosophie Hakuna Matata ! Hakuna Matata Hakuna Matata CACHER LA VIDÉO Raiponce Incantation guĂ©rison Fleur aux pĂ©tales d'or RĂ©pands ta magie Inverse le temps Rends-moi ce qu'il m'a pris GuĂ©ris les blessures Éloigne la pluie Ce destin impur Rends-moi ce qu'il m'a pris Ce qu'il m'a pris CACHER LA VIDÉO Raiponce OĂč est la vraie vie ? Sept heures, je me rĂ©veille et dehors il fait clair Vite je balaie, il faut que la maison brille Je cire, je frotte, je range et je chasse la poussiĂšre Je nettoie chaque placard Jusqu'Ă  sept heures et quart Ensuite je lis un livre et mĂȘme deux ou trois J'ajoute quelques couleurs qui ne plaisent qu'Ă  moi Puis c'est guitare, tricot, gĂąteaux et quelques fois Je me demande oĂč est la vraie vie AprĂšs-midi, c'est puzzle, flĂ©chettes et cookies Papier mĂąchĂ©, danse classique, Ă©chec et mat Poterie, théùtre de marionnettes et bougies Gymnastique, arts plastiques, corde, et Pascal m'Ă©pate Puis je relis mes livres, je rĂȘve d'aventure J'ajoute de la couleur, il en manque, j'en suis sĂ»re Ensuite je brosse, je brosse, et brosse ma chevelure Dans cette prison oĂč j'ai grandi Et je me demande et demande et demande et demande OĂč se cache la vraie vie ? Et demain soir s'Ă©lĂšvent les lumiĂšres Comme c'est le jour de mon anniversaire À quoi ressemble cette soirĂ©e d'Ă©tĂ© ? Je suis plus grande, je dois pouvoir y aller CACHER LA VIDÉO La Reine des Neiges En Ă©tĂ© Pas vraiment... Mais quelque fois j'ai plaisir Ă  fermer les yeux Et Ă  imaginer la vie d'un bonhomme de neige en Ă©tĂ©... Aaaah Les abeilles Les pissenlits et le soleil L'heure pour moi de faire ce que la neige fait En Ă©tĂ© Un verre Ă  la main Je m'allonge sur le sable fin Je commence Ă  bronzer en douceur En Ă©tĂ© Je sens une brise printaniĂšre Chasser le froid de l'hiver Je plonge et je nage, je goĂ»te au plaisir De ne rien faire Et j'ai hĂąte de revoir Mes amis en ce jour de gloire Imaginez comme la vie serait belle En Ă©tĂ© ! Da da Da doo ! A bah bah ba baba boo ! Le chaud et le froid sont faits pour s'entendre Ils ont une Ăąme pure et un cƓur tendre ! Rat dadat dadat dadat dadadadadoo ! Il y a ceux qui aiment les feux de cheminĂ©e Mais, mettez-moi au soleil et je serai Un homme comblĂ© ! Quand le temps s'assombrit je m'accroche Ă  mes rĂȘves Et lĂ  sous un soleil brĂ»lant je me dĂ©tends ! Quand le ciel sera bleu Vous serez lĂ  tous les deux Pour vivre la grande aventure de la neige En Ă©tĂ© ! Je vais lui dire Il n'en est pas question En Ă©tĂ© ! CACHER LA VIDÉO La Reine des Neiges LibĂ©rĂ©e dĂ©livrĂ©e L'hiver s'installe doucement dans la nuit La neige est reine Ă  son tour Un royaume de solitude Ma place est lĂ  pour toujours Le vent qui hurle en moi ne pense plus Ă  demain Il est bien trop fort J'ai luttĂ©, en vain Cache tes pouvoirs, n'en parle pas Fais attention, le secret survivra Pas d'Ă©tats d'Ăąme, pas de tourments De sentiments LibĂ©rĂ©e, DĂ©livrĂ©e Je ne mentirai plus jamais LibĂ©rĂ©e, DĂ©livrĂ©e C'est dĂ©cidĂ©, je m'en vais J'ai laissĂ© mon enfance en Ă©tĂ© Perdue dans l'hiver Le froid est pour moi Le prix de la libertĂ©. Quand on prend de la hauteur Tout semble insignifiant La tristesse, l'angoisse et la peur M'ont quittĂ©e depuis longtemps Je veux voir ce que je peux faire De cette magie pleine de mystĂšre Le bien, le mal je dis tant pis Tant pis ! LibĂ©rĂ©e, DĂ©livrĂ©e Les Ă©toiles me tendent les bras LibĂ©rĂ©e, DĂ©livrĂ©e Non, je ne pleure pas Me voilĂ , oui, je suis lĂ  Perdue dans l'hiver Mon pouvoir vient du ciel et envahit l'espace Mon Ăąme s'exprime en dessinant et sculptant dans la glace Et mes pensĂ©es sont des fleurs de cristal gelĂ©es Je ne reviendrai pas Le passĂ© est passĂ© ! LibĂ©rĂ©e, DĂ©livrĂ©e DĂ©sormais plus rien ne m'arrĂȘte LibĂ©rĂ©e, DĂ©livrĂ©e Plus de princesse parfaite Je suis lĂ , comme je l'ai rĂȘvĂ©! Perdue dans l'hiver Le froid est pour moi le prix de la libertĂ©CACHER LA VIDÉO Vaiana Le bleu lumiĂšre Le bleu du ciel n’est pas le bleu de la mer Ce bleu que moi je prĂ©fĂšre Sans vraiment savoir pourquoi J’aimerais tant rester fidĂšle Ă  ma terre Oublier le vent Ă©phĂ©mĂšre J’ai essayĂ© tant de fois J’ai beau dire je reste, je n’partirai pas » Chacun de mes gestes, chacun de mes pas Me ramĂšne sans cesse, malgrĂ© les promesses Vers ce bleu lumiĂšre L’horizon oĂč la mer touche le ciel et m’appelle Cache un trĂ©sor que tous ignorent C’est le vent, doucement, qui se lĂšve et me rĂ©vĂšle Le bleu de l’eau Si je pars, j’irai plus loin et toujours plus haut Il faut aimer mon Ăźle et son histoire Pour ceux qui veulent encore y croire Oublier le temps qui passe Il faut aimer mon Ăźle et son histoire Et garder encore l’espoir, Un jour, je trouverai ma place Je peux les guider, les rendre plus grands Les accompagner, je prendrai le temps Mais cette voix cachĂ©e pense tout autrement Je ne comprends pas Le soleil vient danser sur la mer Ă©ternelle Mais tous ignorent ses reflets d’or Elle m’attend sous un tapis de lumiĂšre, la mer m’appelle Moi, je veux voir DerriĂšre les nuages, de nouveaux rivages L’horizon oĂč la mer touche le ciel et m’appelle Cache un trĂ©sor que tous ignorent C’est le vent, doucement, qui se lĂšve et me rĂ©vĂšle Que j’ai le droit d’aller lĂ -bas CACHER LA VIDÉO Zootopie Try everything Oh, oh, oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh, oh I messed up tonight, I lost another fight I still mess up but I'll just start again I keep falling down, I keep on hitting the ground I always get up now to see what's next Birds don't just fly, they fall down and get up Nobody learns without getting it wrong I won't give up, no I won't give in 'Til I reach the end and then I'll start again No, I won't leave, I wanna try everything I wanna try even though I could fail I won't give up, no I won't give in 'Til I reach the end and then I'll start again No, I won't leave, I wanna try everything I wanna try even though I could fail Oh, oh, oh, oh, oh Try everything Oh, oh, oh, oh, oh Try everything Oh, oh, oh, oh, oh Try everything Oh, oh, oh, oh, oh Look how far you've come, you filled your heart with love Baby, you've done enough, take a deep breath Don't beat yourself up, don't need to run so fast Sometimes we come last, but we did our best I won't give up, no I won't give in 'Til I reach the end and then I'll start again No, I won't leave, I wanna try everything I wanna try even though I could fail I won't give up, no I won't give in 'Til I reach the end and then I'll start again No, I won't leave, I wanna try everything I wanna try even though I could fail I'll keep on making those new mistakes I'll keep on making them every day Those new mistakes Oh, oh, oh, oh, oh Try everything Oh, oh, oh, oh, oh Try everything Oh, oh, oh, oh, oh Try everything Oh, oh, oh, oh, oh Try everythingCACHER LA VIDÉO
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Il a neigĂ© Ă  Port-au-PrinceIl pleut encore Ă  ChamonixOn traverse Ă  guĂ© la GaronneLe ciel est plein bleu Ă  ParisMa mie l'hiver est Ă  l'enversNe t'en retourne pas dehorsLe monde est en chamaille La suite des paroles ci-dessous On gĂšle au sud, on sue au nord[Refrain]Fais du feu dans la cheminĂ©eJe reviens chez nousS'il fait du soleil Ă  ParisIl en fait partoutLa Seine a repris ses vingt bergesMalgrĂ© les lourdes giboulĂ©esSi j'ai du frimas sur les lĂšvresC'est que je veille Ă  ses cĂŽtĂ©sMa mie, j'ai le coeur Ă  l'enversLe temps ravive le cerfeuilJe ne veux pas ĂȘtre tout seul La suite des paroles ci-dessous Quand l'hiver tournera de l'oeil[Refrain]Fais du feu dans la cheminĂ©eJe reviens chez nousS'il fait du soleil Ă  ParisIl en fait partoutJe rapporte avec mes bagagesUn goĂ»t qui m'Ă©tait Ă©trangerMoitiĂ© domptĂ©, moitiĂ© sauvageC'est l'amour de mon potager[Refrain]Fais du feu dans la cheminĂ©eJe reviens chez nousS'il fait du soleil Ă  ParisIl en fait partout La la la la la la la la Je reviens chez nous. Les internautes qui ont aimĂ© "Je Reviens Chez Nous" aiment aussi 7Mh2.
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