Ledocument : "Article 529-7 du Code de procĂ©dure pĂ©nale : commentaire" compte 603 mots.Pour le tĂ©lĂ©charger en entier, envoyez-nous l’un de vos travaux scolaires grĂące Ă  notre systĂšme gratuit d’échange de ressources numĂ©riques ou achetez-le pour la somme symbolique d’un euro.
Extract Les Tribunaux pĂ©naux internationaux, créés par le Conseil de sĂ©curitĂ© en 1993’ et 1994, sont en voie de dĂ©montrer que la rĂ©pression internationale des violations graves du droit international humanitaire n'est plus un concept relevant de la seule thĂ©orie. Vingt et un accusĂ©s et suspects ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s au siĂšge du Tribunal d'Arusha; deux jugements portant condamnation ont Ă©tĂ© prononcĂ©s par le Tribunal de La Haye. Non seulement ces Tribunaux ont-ils compĂ©tence pour poursuivre et juger des personnes prĂ©sumĂ©es responsables de violations graves du droit international humanitaire, mais encore doivent-ils le faire, au regard de leur Statut respectif, en veillant Ă  ce que les normes internationalement reconnues touchant les droits de l'accusĂ© soient pleinement respectĂ©es Ă  toutes les phases de l'instance. References 1 RĂ©solution 827 1993, 3217e sĂ©ance, 25 mai RĂ©solution 955 1994, 3453e sĂ©ance, 8 novembre Le texte de l'article 21 du Statut du Tribunal pĂ©nal international pour l'ex-Yougoslavie est reproduit en 1949 Law Reports of Trials of War Criminals vol. XII, pp. 62–63. — Dans l'exercice de sa souverainetĂ©, l'État a le droit d'instaurer un tribunal, Ă  tout moment qu'il juge opportun, et de lui octroyer la compĂ©tence de juger les responsables de violations de son droit pĂ©nal. L'unique obligation de l'État souverain face Ă  cet auteur d'une violation est de lui accorder un procĂšs Ă©quitable devant un tribunal qui lui permette de choisir le conseil de son choix, de produire des tĂ©moins Ă  dĂ©charge et de pouvoir s'exprimer pour sa propre dĂ©fense. De mĂȘme, une personne accusĂ©e d'une violation du droit international ne subira en aucun cas une injustice si elle se voit accorder les mĂȘmes droits et privilĂšges.» Traduction Convention de GenĂšve relative au traitement des prisonniers de guerre, du 27 juillet 1929, notamment les art. 45 Ă  It is a recognised rule that a person accused of having committed war crimes is not entitled to the rights in connection with his trial laid down for the benefit of prisoners of war by the Geneva Prisoners of War Convention of 1929.» Selon une rĂšgle reconnue, une personne accusĂ©e d'avoir commis des crimes de guerre n'est pas habilitĂ©e Ă  bĂ©nĂ©ficier, dans le cadre de son procĂšs, des droits des prisonniers de guerre, prĂ©vus par la Convention de GenĂšve de 1929 relative au traitement des prisonniers de guerre. » Traduction OCR, ProcĂšs du GĂ©nĂ©ral Yamashita, in Trial of War Criminal Reports, vol. III, p. 105 et suiv., et 1949 vol. IV, p. 1 et suiv.; ProcĂšs de Robert Wagner commentĂ© in 1949 vol. Ill, Ă  la p. 50; ProcĂšs de Rauter commentĂ© in 1949 vol. XIV, pp. 114– Art. 93 du RĂšglement de procĂ©dure et de preuve du Tribunal pĂ©nal international pour le Rwanda. À moins d'indications contraires, cette note se rĂ©fĂšre aux dispositions du RĂšglement de procĂ©dure et de preuve du Tribunal pĂ©nal international pour l'ex-Yougoslavie et aux dĂ©cisions prononcĂ©es par ce Dans le premier Rapport annuel du Tribunal, il est prĂ©cisĂ© Ă  l'Ă©gard de la ligne de conduite dĂ©libĂ©rĂ©e inhĂ©rente aux crimes contre l'humanitĂ© que 
 le Tribunal devra apprĂ©cier non seulement le comportement des accusĂ©s pris individuellement mais Ă©galement la conduite gĂ©nĂ©rale de groupes ou unitĂ©s militaires ou paramilitaires et Ă©tablir que les crimes d'envergure qui auraient Ă©tĂ© commis dans l'ex-Yougoslavie, loin d'ĂȘtre des Ă©vĂ©nements isolĂ©s, s'inscrivent dans le cadre d'une pratique systĂ©matique gĂ©nĂ©ralisĂ©e; d'oĂč l'importance de prĂ©voir la recevabilitĂ© de moyens de preuve tendant Ă  Ă©tablir l'existence d'une ligne de conduite dĂ©libĂ©rĂ©e» art. 93. Bien entendu, il appartiendra alors aux juges d'apprĂ©cier la valeur de ces moyens de preuve en Ă©tablissant les Ă©lĂ©ments constitutifs de l'infraction allĂ©guĂ©e. 
 Ces moyens de preuve pourraient Ă©galement se rĂ©vĂ©ler d'une grande utilitĂ© lorsqu'il s'agirait d'Ă©tablir si l'une des conditions fondamentales du gĂ©nocide, Ă  savoir l'intention de dĂ©truire, en tout ou en partie, un groupe» est prĂ©sente. À l'Ă©vidence, lorsque l'intention ne s'est pas expressĂ©ment et prĂ©cisĂ©ment manifestĂ©e, l'un des moyens d'en dĂ©terminer l'existence pourrait consister Ă  enquĂȘter sur le comportement systĂ©matique de groupes ou d'unitĂ©s pour voir si cette intention pourrait ĂȘtre dĂ©duite de leur ligne de conduite dĂ©libĂ©rĂ©e » », Rapport du Tribunal international chargĂ© de poursuivre les personnes prĂ©sumĂ©es responsables de violations graves du droit international humanitaire commises sur le territoire de l'ex-Yougoslavie depuis 1991, Annuaire du Tribunal pĂ©nal international pour l'ex-Yougoslavie, 1994, pp. 105– Consulter Ă  cet Sopinka, Ă©gard J., The Law of evidence in Canada, Markham, Butterworths, 1992, pp. 431–522Google Scholar; Bellemare, J. et Viau, L., Droit de la preuve pĂ©nale, MontrĂ©al, ThĂ©mis, 1991, pp. 109– Scholar11 R. c. Robertson, 1987 1 R. c. Green, 1988 40 3d 333 Cour d'appel de MontrĂ©al, conf. 1988 1 L'article 93 du RĂšglement de procĂ©dure et de preuve ne donne aucune prĂ©cision Ă  cet Ă©gard. Le texte anglais se rĂ©fĂšre Ă  a consistent pattern of conduct».16 Le Procureur c. Tadic, Jugement, cas no IT−94−1−T, pg. au reg. du gr. 355/17687bis — l/17687bis 16 juin 1997.17 Ce chef a ete Le Procureur c. Tadic, Jugement, op. cit. note 16, aux pp. 105/17687bis — 104/ Les elements d'un plan preetabli ou d'une pratique administrative» ont Ă©tĂ© examinĂ©s par les organes juridictionnels du Conseil de l'Europe au regard de l'article 3 de la Convention europĂ©enne des droits de l'homme qui interdit la torture voir notamment Irlande c. Royaume-Uni, 18 Janvier 1978, SĂ©rie A, no 25; France, NorvĂšge, SuĂšde, Danemark et Turquie, Pays-Bas c., dĂ©cision de la Commission du 6 dĂ©cembre 1983, DR 35, p. 143Google Scholar et par la Cour inter-amĂ©ricaine des droits de l'homme Honduras, Velasquez Rodriguez c., 29 juillet 1988, 1989 294.Google Scholar La rĂ©pĂ©tition des actes et la tolĂ©rance des autoritĂ©s se sont rĂ©vĂ©lĂ©es Finta, R. c., 1994 1 Scholar Dans cette affaire, trois juges ont joint une opinion dissidente aux termes de laquelle ils ont conclu que seul l'Ă©lĂ©ment moral inclus dans l'infraction sous-jacente doit ĂȘtre dĂ©montrĂ© sans qu'il soit nĂ©cessaire de faire un lien entre l'accusĂ© et la ligne de conduite ou le contexte gĂ©nĂ©ral dans lequel l'infraction qui est reprochĂ©e Ă  l'accuse s' Art. 47, par. 2 Les instructions judiciaires contre les prisonniers de guerre seront conduites aussi rapidement que le permettront les circonstances; la dĂ©tention prĂ©ventive sera restreinte le plus possible.»22 Convention de GenĂšve relative au traitement des prisonniers de guerre du 12 aoĂ»t 1949, notamment les art. 82–88 et 99– Art. 103, par. I Toute instruction judiciaire contre un prisonnier de guerre sera conduite aussi rapidement que le permettront les circonstances et de telle façon que le procĂšs ait lieu le plus tĂŽt possible. Aucun prisonnier de guerre ne sera maintenu en dĂ©tention prĂ©ventive, Ă  moins que la mĂȘme mesure ne soit applicable aux membres des forces armĂ©es de la Puissance dĂ©tentrice pour des infractions analogues, ou que l'intĂ©rĂȘt de la sĂ©curitĂ© nationale ne l'exige. Cette dĂ©tention prĂ©ventive ne durera en aucun cas plus de trois mois.»24 Art. 9, par. 3 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Voir Ă©galement le principe 36 du Projet d'ensemble de principes relatifs au droit Ă  un procĂšs Ă©quitable et Ă  un recours», Le droit Ă  un procĂšs Ă©quitable reconnaissance actuelle et mesures nĂ©cessaires pour renforcer cette reconnaissance, rapport final Ă©tabli par S. Chernichenko et W. Treat, Doc. E/ 3 juin 1994 dont la Commission des droits de l'homme a recommandĂ© la publication par sa rĂ©solution 1995/ Art. 5, par. 1, de la Convention europĂ©enne des droits de l' RĂšgles minima des Nations Unies pour l'Ă©laboration de mesures non privatives de libertĂ©, RĂ©s. AG 45/110, 14 dĂ©cembre 1990, au par. Voir au mĂȘme effet Ensemble de principes pour la protection de toutes les personnes soumises Ă  une forme quelconque de dĂ©tention ou d'emprisonnement, RĂ©s. AG 43/173 9 dĂ©cembre 1988, principe HuitiĂšme CongrĂšs des Nations Unies pour la prĂ©vention du crime et le traitement des dĂ©linquants, La Havane, 27 aoĂ»t - 7 septembre 1990 rapport Ă©tabli par le SecrĂ©tariat, chap. I. sect. C, rĂ©solution 17, par. 2. La Convention europĂ©enne se rĂ©fĂšre Ă  des raisons plausibles de soupçonner» que la personne arrĂȘtĂ©e a commis une infraction ou qu'il y a des motifs raisonnables de croire Ă  la nĂ©cessitĂ© de l'empĂȘcher de commettre une infraction» ou de s'enfuir aprĂšs l'accomplissement de celle-ci» art. 5, par. 1c.28 Art. 64 du RĂšglement de procĂ©dure et de Art. 65 A du RĂšglement de procĂ©dure et de Procureur c. Mucic, cas no. IT-96–21-T, DĂ©cision relative Ă  la requĂȘte de l'accusĂ© Delalic aux fins de mise en libertĂ© provisoire, pg. au reg. du gr. 1543–1524 1er octobre 1996, p. Notamment le risque de fuite ou de destruction d'Ă©lĂ©ments de Projet de statut d'une cour criminelle internationale, dans Rapport de la Commission du droit international sur les travaux de sa quarante-sixiĂšme session 1994, Doc. AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale, Suppl. no 10 A/49/10, pp. 25 Ă  Art. 29 et son commentaire. Ibid., p. Le RĂšglement dispose en outre que la Chambre peut subordonner la mise en libertĂ© provisoire aux conditions qu'elle juge appropriĂ©es, y compris la mise en place d'un cautionnement art. 65 C et peut dĂ©livrer, si besoin est, un mandat d'arrĂȘt international pour garantir la comparution de l'accusĂ© mis provisoirement en libertĂ© art. 65 D.36 Art. 65 B du RĂšglement de procĂ©dure et de Procureur c. Djukic, cas no IT-96–20-T, DĂ©cision portant maintien de l'acte d'accusation et mise en libertĂ© provisoire, pg. au reg. du gr. 220–216 24 avril 1996.38 Procureur c. Blaskic, cas no IT-95–14-T, DĂ©cision portant rejet d'une demande demise en libertĂ© provisoire, pg. au rg. du gr. 1870–1867 25 avril 1996; Procureur c. Blaskic, cas no IT-95–14-T, Ordonnance portant rejet d'une demande de mise en libertĂ© provisoire, pg. au rg. du gr. 3047–3041 20 dĂ©c. 1996; Procureur c. Mucic, cas no IT- 96–21-T, DĂ©cision relative Ă  la requĂȘte de l'accusĂ© Delalic aux fins de mise en libertĂ© provisoire, loc. cit. note 31; Mucic, cas no IT-96–21-T, DĂ©cision sur la requĂȘte de la DĂ©fense aux fins de mise en libertĂ© provisoire de l'accusĂ© Hazim Delie, pg. au reg. du gr. 1703–1690 28 oct. 1996 et 1801–1799 15 nov. 1996; Mucic, cas n» 1T-96–21-T, DĂ©cision sur la requĂȘte de l'accusĂ© Landzo aux fins de mise en libertĂ© provisoire, pg. au reg. du gr. non disponbiles 16 janvier 1997. Les citations se rĂ©fĂšrent Ă  la version Procureur c. Mucic, cas no IT-96–21-T, DĂ©cision relative Ă  la requĂȘte de l'accusĂ© Delalic aux fins de mise en libertĂ© provisoire, loc. cit. note 31, p. Art. 5, par. 3 de la Convention europĂ©enne des droits de l' Neumeister c. Autriche, 27 juin 1968, SĂ©rie A, no 8. Le ComitĂ© des droits de l'homme, pour sa part, estime que le maintien en dĂ©tention provisoire doit ĂȘtre non seulement lĂ©gal mais aussi raisonnable Ă  tous Ă©gards» no 305/1988, Van Alphen c. Pays-Bas, dĂ©cision du 23 juillet 1990, Doc. ONU, A/45/40, vol. II, p. Neumeister c. Autriche, ibid.
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7 De pratiquer des jeux interdits par le rĂšglement intĂ©rieur ; 8° D'inciter une personne dĂ©tenue Ă  commettre l'un des manquements Ă©numĂ©rĂ©s au prĂ©sent article ou lui prĂȘter Bureau du Procureur CommuniquĂ© de presse Arusha, La Haye 11 dĂ©c 2019 Le Procureur du MĂ©canisme international appelĂ© Ă  exercer les fonctions rĂ©siduelles des Tribunaux pĂ©naux le MĂ©canisme », Serge Brammertz, a prononcĂ© aujourd’hui une allocution devant le Conseil de sĂ©curitĂ© de l’Organisation des Nations Unies. Il a commencĂ© par faire un point sur les quelques procĂ©dures en cours devant le MĂ©canisme, Ă  savoir l’appel dans l’affaire Mladić, le nouveau procĂšs en premiĂšre instance dans l’affaire StaniĆĄić et Simatović, la mise en Ă©tat de l’affaire d’outrage Turinabo et consorts, et la procĂ©dure en rĂ©vision dans l’affaire Ngirabatware. Le Procureur a informĂ© le Conseil de sĂ©curitĂ© que le Bureau du Procureur du MĂ©canisme avait convaincu la Chambre d’appel de rejeter la demande en rĂ©vision prĂ©sentĂ©e par Augustin Ngirabatware, un ancien ministre rwandais qui, en 2014, a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© coupable d’incitation Ă  commettre le gĂ©nocide et pour avoir incitĂ© au gĂ©nocide et l’avoir aidĂ© et encouragĂ©. Il a expliquĂ© que son Bureau avait mis au jour et prĂ©sentĂ© de multiples preuves d’un vaste projet criminel auquel de nombreuses personnes ont participĂ© pendant trois ans, consistant Ă  faire pression sur des tĂ©moins dans le but de faire infirmer les dĂ©clarations de culpabilitĂ© prononcĂ©es contre Ngirabatware. Le Procureur a Ă©galement informĂ© le Conseil que six personnes Ă©taient dĂ©sormais mises en accusation par son Bureau pour ces infractions, dont Ngirabatware lui‑mĂȘme. Serge Brammertz a dit Ă  ce propos Cet aboutissement prouve bien aux tĂ©moins qui ont dĂ©posĂ© devant le TPIR, le TPIY ou le MĂ©canisme qu’ils continuent de bĂ©nĂ©ficier de la protection du MĂ©canisme. » Le Procureur a ensuite Ă©voquĂ© devant le Conseil de sĂ©curitĂ© la recherche des huit personnes mises en accusation par le Tribunal pĂ©nal international pour le Rwanda encore en fuite, en commençant par ces mots Je dois malheureusement vous dire aujourd’hui que nous n’obtenons pas de certains États Membres la coopĂ©ration dont nous avons besoin. » Il a informĂ© le Conseil que l’Afrique du Sud, qui a Ă©tĂ© avertie en aoĂ»t 2018 qu’un fugitif avait Ă©tĂ© localisĂ© sur son territoire, n’a toujours pas arrĂȘtĂ© ce fugitif. S’il a saluĂ© l’annonce faite par l’Afrique du Sud la semaine derniĂšre qu’elle allait finalement faire exĂ©cuter le mandat d’arrĂȘt, le Procureur a nĂ©anmoins soulignĂ© qu’ [Ă ] ce stade tardif, seule l’arrestation immĂ©diate du fugitif pourra satisfaire les victimes et le Conseil de sĂ©curitĂ© ». Parlant d’autres fugitifs, il a fait remarquer que nombre de demandes importantes et ayant un caractĂšre d’urgence faites Ă  certains États Membres restent sans rĂ©ponse, bien que son Bureau produise des renseignements prĂ©cieux Ă  mĂȘme d’ouvrir des pistes, et que son Bureau n’a pas accĂšs aux personnes et aux informations dont il a besoin. Le Procureur a conclu en ces termes Le Conseil de sĂ©curitĂ© a exhortĂ© Ă  maintes reprises les États Membres Ă  apporter toute la coopĂ©ration nĂ©cessaire dans la recherche des fugitifs. HĂ©las, ce message n’est pas entendu par certains États. » Il a demandĂ© au Conseil d’envoyer un message clair et de rappeler Ă  tous les États Membres que la recherche des fugitifs est toujours cruciale aujourd’hui. Le Procureur a terminĂ© son allocution en abordant devant le Conseil de sĂ©curitĂ© les efforts entrepris Ă  l’échelle nationale, au Rwanda et dans les pays issus de la Yougoslavie, pour rendre justice au plus grand nombre de victimes. Il a fait observer qu’il restait encore beaucoup Ă  faire, Ă©tant donnĂ© que les autoritĂ©s rwandaises recherchent toujours plus de 500 fugitifs et que, dans les pays issus de la Yougoslavie, des milliers d’affaires doivent encore ĂȘtre jugĂ©es devant les juridictions nationales. Le Procureur a de nouveau fait Ă©tat devant le Conseil de la glorification des criminels de guerre et du dĂ©ni des crimes qu’on observe au Rwanda et dans les pays issus de la Yougoslavie. Au sujet du Rwanda, il a signalĂ© la persistance d’initiatives concertĂ©es visant au dĂ©ni du gĂ©nocide rwandais, qui s’appuient sur la propagation de rĂ©cits rĂ©visionnistes et le dĂ©ni de l’intention gĂ©nocidaire des auteurs. Au sujet de l’ex‑Yougoslavie, il a rappelĂ© que le dĂ©ni des crimes et la glorification des criminels de guerre Ă©taient des phĂ©nomĂšnes gĂ©nĂ©ralisĂ©s dans toute la rĂ©gion. Le Procureur a expliquĂ© que la maniĂšre d’agir des responsables politiques Ă©tait rĂ©vĂ©latrice de la profondeur du problĂšme Ce n’est pas en promettant la rĂ©conciliation, ni en jetant des ponts vers les autres communautĂ©s, qu’ils cherchent Ă  acquĂ©rir des voix. Ils croient au contraire gagner les Ă©lections en niant les atrocitĂ©s commises et en glorifiant ceux qui en sont responsables. Certains promeuvent des versions rĂ©visionnistes de l’histoire, tandis que d’autres essaient d’obtenir des voix en rendant hommage aux criminels de guerre plutĂŽt qu’en les blĂąmant. » Pour en savoir plus, veuillez prendre contact avec le Bureau chargĂ© des relations extĂ©rieures TĂ©l. Arusha +255 027 256 5376 TĂ©l. La Haye +31 070 512 5691 Courriel mict-press DestinĂ© exclusivement Ă  l’usage des mĂ©dias. Document non officiel. Le MĂ©canisme pour les Tribunaux pĂ©naux internationaux MĂ©canisme a Ă©tĂ© créé en application de la rĂ©solution 1966 2010 du Conseil de sĂ©curitĂ© de l’ONU pour achever les travaux du Tribunal pĂ©nal international pour le Rwanda et du Tribunal pĂ©nal international pour l’ex-Yougoslavie une fois leurs mandats respectifs arrivĂ©s Ă  Ă©chĂ©ance. Le MĂ©canisme comprend deux Divisions, l’une Ă  Arusha Tanzanie et l’autre Ă  La Haye Pays-Bas. Larticle 55-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale relatif aux relevĂ©s signalĂ©tiques est modifiĂ© sur deux points par l'article 109 de la loi. Dans un souci de clarification, les termes " opĂ©ration de signalisation " sont remplacĂ©s par les mots : " de relevĂ©s signalĂ©tiques et notamment de prise d'empreintes digitales, palmaires ou de photographies " et il est prĂ©cisĂ© que la
ï»żL'action publique des crimes se prescrit par vingt annĂ©es rĂ©volues Ă  compter du jour oĂč l'infraction a Ă©tĂ© publique des crimes mentionnĂ©s aux articles 706-16,706-26 et 706-167 du prĂ©sent code, aux articles 214-1 Ă  214-4 et 221-12 du code pĂ©nal et au livre IV bis du mĂȘme code se prescrit par trente annĂ©es rĂ©volues Ă  compter du jour oĂč l'infraction a Ă©tĂ© publique des crimes mentionnĂ©s Ă  l'article 706-47 du prĂ©sent code, lorsqu'ils sont commis sur des mineurs, se prescrit par trente annĂ©es rĂ©volues Ă  compter de la majoritĂ© de ces derniers ; toutefois, s'il s'agit d'un viol, en cas de commission sur un autre mineur par la mĂȘme personne, avant l'expiration de ce dĂ©lai, d'un nouveau viol, d'une agression sexuelle ou d'une atteinte sexuelle, le dĂ©lai de prescription de ce viol est prolongĂ©, le cas Ă©chĂ©ant, jusqu'Ă  la date de prescription de la nouvelle publique des crimes mentionnĂ©s aux articles 211-1 Ă  212-3 du code pĂ©nal est imprescriptible.

articles333 et 344 à 352 du code pénal. Toutefois, en matiÚre d'agressions sexuelles, l'association ne sera recevable dans son action que si elle justifie avoir reçu l'accord de la victime ou, si celle-ci est mineure, celui du titulaire

MĂ©canisme CommuniquĂ© de presse Arusha, La Haye 16 mar 2017 Le mardi 9 mars 2017, le PrĂ©sident du MĂ©canisme pour les Tribunaux pĂ©naux internationaux le MĂ©canisme », le Juge Theodor Meron, a informĂ© le Conseil de sĂ©curitĂ© de l'Organisation des Nations Unies que la RĂ©publique de Turquie avait manquĂ© Ă  ses obligations en refusant de coopĂ©rer avec le MĂ©canisme et de se conformer sans retard Ă  une ordonnance judiciaire dĂ©livrĂ©e par celui-ci. Le 31 janvier 2017, le Juge Meron, en tant que juge de la mise en Ă©tat en rĂ©vision dans l’affaire Le Procureur c. Augustin Ngirabatware, a ordonnĂ© Ă  la Turquie de mettre un terme Ă  toutes les poursuites engagĂ©es contre le Juge Aydin Sefa Akay et de prendre toutes les mesures nĂ©cessaires pour garantir sa libĂ©ration, le 14 fĂ©vrier 2017 au plus tard, afin qu’il puisse continuer de s’acquitter de ses fonctions dans cette affaire. Cette ordonnance Ă©tait contraignante pour la Turquie, conformĂ©ment Ă  la rĂ©solution 1966 2010 du Conseil de sĂ©curitĂ© de l’ONU, qui exige que tous les États respectent les ordonnances rendues par le MĂ©canisme. Dans sa dĂ©cision rendue le 6 mars 2017, le Juge Meron a observĂ© qu’il ne disposait d’aucune information indiquant qu’il avait Ă©tĂ© mis un terme aux poursuites engagĂ©es en Turquie contre le Juge Akay, que ce dernier avait Ă©tĂ© libĂ©rĂ© depuis la dĂ©livrance de ladite ordonnance du 31 janvier 2017, ou que des mesures en ce sens pourraient par ailleurs ĂȘtre prises de façon imminente. Le Juge Meron a conclu que la non-exĂ©cution de l’ordonnance du 31 janvier 2017 par la Turquie empĂȘchait matĂ©riellement la Chambre d’appel d’examiner l’affaire Ngirabatware au fond et qu’elle menaçait l’indĂ©pendance des juges du MĂ©canisme. Le Juge Meron a en outre conclu qu’en application du RĂšglement de procĂ©dure et de preuve du MĂ©canisme, le Conseil de sĂ©curitĂ© de l’Organisation des Nations Unies devait ĂȘtre informĂ© de ce manquement. Le 21 septembre 2016 ou vers cette date, le Juge Akay, membre de la Chambre d’appel saisie de l’affaire Ngirabatware, a Ă©tĂ© mis en dĂ©tention en Turquie sur la base d’allĂ©gations liĂ©es aux Ă©vĂ©nements de juillet 2016 dirigĂ©s contre l’ordre constitutionnel du pays, et il demeure en dĂ©tention depuis lors. Le Statut du MĂ©canisme prĂ©voit que les juges du MĂ©canisme jouissent, dans l’exercice de leurs fonctions, des privilĂšges et des immunitĂ©s accordĂ©s aux agents diplomatiques, conformĂ©ment au droit international, et ce, mĂȘme s’ils exercent leurs fonctions dans leur pays de rĂ©sidence. Le SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’ONU a officiellement confirmĂ© l’immunitĂ© diplomatique du Juge Akay aux autoritĂ©s turques et a demandĂ© sa libĂ©ration immĂ©diate ainsi que l’arrĂȘt de toutes les poursuites engagĂ©es contre lui. Augustin Ngirabatware, ancien Ministre du plan, a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  une peine de 30 ans d’emprisonnement pour incitation directe et publique Ă  commettre le gĂ©nocide ainsi que pour avoir incitĂ© au gĂ©nocide et pour l’avoir aidĂ© et encouragĂ©. Le 8 juillet 2016, Augustin Ngirabatware a dĂ©posĂ© une demande en rĂ©vision des dĂ©clarations de culpabilitĂ© prononcĂ©es contre lui sur la base de faits nouveaux qui, selon lui, permettraient de le disculper. Le maintien en dĂ©tention du Juge Akay continue de bloquer la procĂ©dure sur le fond. Pour en savoir plus, veuillez prendre contact avec le Bureau chargĂ© des relations extĂ©rieures TĂ©l. Arusha +255 027 256 5376 TĂ©l. La Haye +31 070 512 5691 Courriel mict-press DestinĂ© exclusivement Ă  l’usage des mĂ©dias. Document non officiel. Le MĂ©canisme pour les Tribunaux pĂ©naux internationaux MĂ©canisme a Ă©tĂ© créé en application de la rĂ©solution 1966 2010 du Conseil de sĂ©curitĂ© de l’ONU pour achever les travaux du Tribunal pĂ©nal international pour le Rwanda et du Tribunal pĂ©nal international pour l’ex-Yougoslavie une fois leurs mandats respectifs arrivĂ©s Ă  Ă©chĂ©ance. Le MĂ©canisme comprend deux Divisions, l’une Ă  Arusha Tanzanie et l’autre Ă  La Haye Pays-Bas. I – L’article 199 du code de procĂ©dure pĂ©nale est complĂ©tĂ© par un alinĂ©a ainsi rĂ©digĂ© : « En matiĂšre de dĂ©tention provisoire, et par dĂ©rogation aux dispositions du premier alinĂ©a, si la personne mise en examen est majeure, les dĂ©bats se dĂ©roulent et l’arrĂȘt est rendu en audience publique. Toutefois, le ministĂšre public, la personne mise en examen ou la partie Le dĂ©lai de prescription est la pĂ©riode au-delĂ  de laquelle il n'est plus possible de poursuivre l'auteur d'une infraction. Il dĂ©pend du type d'infraction, de l'existence ou non d'une victime et de son Ăąge au moment des faits. Son point de dĂ©part est le jour de l'infraction, mais il existe des exceptions. Le procureur de la RĂ©publique vĂ©rifie s'il y a ou non prescription des faits. Il est possible de dĂ©poser plainte mĂȘme si le dĂ©lai semble dĂ©passer, celui-ci a pu ĂȘtre interrompu ou n'y a aucune victimeIl y a une victime majeureIl y a une victime mineureIl n'y a aucune victimeDans certaines situations, il n'y a pas de victime physique de l'infraction. Par exemple dans le cas d'une conduite d'un vĂ©hicule sans permis de conduire, d'un excĂšs vitesse, d'un trafic de stupĂ©fiants. Les poursuites sont engagĂ©es par le procureur de la RĂ©publique parce que la loi n'a pas Ă©tĂ© applicablePoint de dĂ©part du dĂ©laiInterruption et suspension du dĂ©laiInformation pratiqueAide aux victimesSource MinistĂšre chargĂ© de l'intĂ©rieur Lacondamnation Ă  l'emprisonnement est prononcĂ©e pour 5 annĂ©es au moins quand l'infraction est considĂ©rĂ©e comme crime, aux termes de l'article 1 er. du code de procĂ©dure pĂ©nale. Elle est prononcĂ©e pour 16 jours au moins quand l'infraction constitue un dĂ©lit et pour un jour au moins quand elle constitue une contravention.

VĂ©rifiĂ© le 15 mars 2022 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministre, MinistĂšre chargĂ© de la justiceLe dĂ©pĂŽt de plainte permet Ă  une victime d'informer la justice qu'une infraction titleContent a Ă©tĂ© commise. Le dĂ©pĂŽt de plainte peut se faire auprĂšs de la police, de la gendarmerie ou du procureur de la RĂ©publique titleContent. Si la victime ne connaĂźt pas l'auteur, elle doit porter plainte contre X. Si l'auteur des faits est identifiĂ©, il peut ĂȘtre jugĂ© et Ă©ventuellement condamnĂ© par le tribunal. La victime doit se constituer partie civile titleContent si elle souhaite obtenir rĂ©paration de son prĂ©judice dommages-intĂ©rĂȘts titleContent.En ImageComment dĂ©poser plainte ?Vous pouvez porter plainte contre une personne physique titleContent ou une personne morale une entreprise, une association....Si vous ne connaissez pas l'auteur des faits ou que vous n'ĂȘtes pas sĂ»r de son identitĂ©, vous pouvez quand mĂȘme porter plainte. Dans ce cas, votre plainte doit ĂȘtre dĂ©posĂ©e contre placeVous devez vous rendre dans un commissariat de police ou Ă  la gendarmerie de votre s’adresser ?Les services de police ou de gendarmerie sont obligĂ©s d'enregistrer votre plainte si vous ĂȘtes victime d'une savoir les officiers titleContent et agents de police judiciaire titleContent doivent recevoir votre plainte mĂȘme si les faits ne relĂšvent pas de leur zone gĂ©ographique de ligneLa plainte en ligne et la prĂ©-plainte en ligne sont possibles uniquement dans certains ĂȘtes victime d'une atteinte aux biens vol, dĂ©gradation, escroquerie ...Vous ne connaissez pas l'auteur des faitsVous pouvez remplir une prĂ©-plainte peut ĂȘtre effectuĂ©e en ligne Ă  l'aide du service suivant PrĂ©-plainte en ligneVous devez ensuite signer votre plainte sur place dans un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie que vous policiers ou gendarmes ont dĂ©jĂ  les Ă©lĂ©ments de votre plainte Ă  votre doivent enregistrer votre plainte si vous ĂȘtes victime d'une connaissez l'auteur des faitsVous ne pouvez pas utiliser la prĂ©-plainte en ligne. Vous devez dĂ©poser plainte sur place ou par ĂȘtes victime d'une discriminationVous ne connaissez pas l'auteur des faitsVous pouvez remplir une prĂ©-plainte peut ĂȘtre effectuĂ©e en ligne Ă  l'aide du service suivant PrĂ©-plainte en ligneVous devez ensuite signer votre plainte sur place dans un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie que vous policiers ou gendarmes ont dĂ©jĂ  les Ă©lĂ©ments de votre plainte Ă  votre doivent enregistrer votre plainte si vous ĂȘtes victime d'une connaissez l'auteur des faitsVous ne pouvez pas utiliser la prĂ©-plainte en ligne. Vous devez dĂ©poser plainte sur place ou par ĂȘtes victime d'une arnaque sur internetVous pouvez utiliser le service en ligne THESEE pour savoir si vous pouvez dĂ©poser plainte en plainte effectuĂ©e sur THESEE est transmise Ă  la police nationale pour ĂȘtes victime d'une autre infractionVous ne pouvez pas porter plainte en ligne ou remplir une prĂ©-plainte en courrierVous pouvez porter plainte auprĂšs du procureur de la faut envoyer une lettre sur papier libre au tribunal judiciaire du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l' lettre doit prĂ©ciser les Ă©lĂ©ments suivants Votre Ă©tat civil et vos coordonnĂ©es complĂštes adresse et numĂ©ro de tĂ©lĂ©phoneRĂ©cit dĂ©taillĂ© des faits, date et lieu de l'infractionNom de l'auteur supposĂ© si vous le connaissez sinon, la plainte sera dĂ©posĂ©e contre XNoms et adresses des Ă©ventuels tĂ©moins de l'infractionDescription et estimation provisoire ou dĂ©finitive du prĂ©judiceDocuments de preuve certificats mĂ©dicaux, arrĂȘts de travail, factures diverses, constats ...VolontĂ© de se constituer partie civilePorter plainte auprĂšs du procureur de la RĂ©publiqueVous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception, par lettre simple ou par lettre pouvez aussi dĂ©poser votre plainte directement Ă  l'accueil du tous les cas, un rĂ©cĂ©pissĂ© vous est remis dĂšs que les services du procureur de la RĂ©publique ont enregistrĂ© votre noter vous pouvez Ă©galement porter plainte avec constitution de partie civile auprĂšs d'un juge d'instruction. Cette procĂ©dure est possible si votre plainte initiale a Ă©tĂ© classĂ©e sans suite ou si vous avez portĂ© plainte depuis plus de 3 mois et que le procureur ne vous a pas vous ĂȘtes victime d'une infraction titleContent , vous pouvez porter plainte, mĂȘme si vous ĂȘtes vous reprĂ©sentez une personne morale sociĂ©tĂ©, association,... vous pouvez Ă©galement porter plainte pour dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts ou les objectifs poursuivis par la devez ĂȘtre victime d'une infraction titleContent, c'est-Ă -dire d'un crime titleContent, d'un dĂ©lit titleContent ou d'une contravention titleContent pour pouvoir porter plainte. On parle de litige savoir vous n'ĂȘtes pas obligĂ© de qualifier l'infraction dont vous ĂȘtes victime quand vous dĂ©posez plainte par exemple, dire que vous ĂȘtes victime d'une escroquerie. Il vous suffit de dĂ©crire les faits dont vous avez Ă©tĂ© victime sans dĂ©finir quelle est l' les litiges ne relĂšvent pas d'un dĂ©pĂŽt de plainte. Certains litiges sont uniquement civils ou administratifs parce qu'il n'y pas d' Vous n'avez pas reçu un produit commandĂ© sur un Internet. Ce litige est civil. Il peut devenir pĂ©nal si vous avez commandĂ© sur un site frauduleux. Dans ce cas, vous ĂȘtes victime d'une devez dĂ©poser plainte avant la fin du dĂ©lai de les faits sont prescrits, votre plainte ne peut plus dĂ©lais de prescription sont les suivants 1 an pour les contraventions titleContent trouble anormal de voisinage ...6 ans pour les dĂ©lits titleContent vol, coups et blessures, escroquerie ...20 ans pour les crimes titleContent meurtre, viol ...À savoir pour certaines infractions spĂ©cifiques, ces dĂ©lais peuvent ĂȘtre rĂ©duits ou allongĂ©s. Par exemple, le dĂ©lai de prescription pour une injure est de 3 mois, alors que celui prĂ©vu pour du terrorisme est de 30 dĂ©lai de prescription commence en principe Ă  partir du jour oĂč l'infraction a Ă©tĂ© un crime sur un mineur, un nouveau dĂ©lai commence Ă  partir de la majoritĂ© de la victime. Par exemple, une victime mineure d'un viol peut porter plainte jusqu'Ă  ses 48 ans, soit 30 ans aprĂšs sa majoritĂ© dĂ©lai particulier de 30 ans qui commence Ă  la majoritĂ©.Porter plainte auprĂšs d'un commissariat, d'une gendarmerie ou du procureur de la RĂ©publique est plainte dĂ©clenche une enquĂȘte de police. L'enquĂȘte peut ĂȘtre suivie par un Ă©ventuel jugement de l'auteur des faits par le de l'affaireSauf exception, si l'auteur des faits est reconnu coupable par le tribunal, il est condamnĂ© Ă  une peine pĂ©nale prison, amende....Si vous vous ĂȘtes constituĂ© partie civile, l'auteur des faits peut Ă©galement ĂȘtre condamnĂ© Ă  rĂ©parer votre prĂ©judice par le paiement de dommages-intĂ©rĂȘts titleContent par exempleÀ savoir vous pouvez faire convoquer une personne dont vous vous estimez victime devant le juge pĂ©nal par une citation directe. Vous n'ĂȘtes pas obligĂ© d'avoir dĂ©posĂ© plainte peut m'aider ?Trouvez les acteurs qui peuvent rĂ©pondre Ă  vos questions dans votre rĂ©gionRenseignement administratif par tĂ©lĂ©phone - Allo Service PublicLe service Allo Service Public est actuellement perturbĂ©. Nous vous prions de nous en informateurs qui vous rĂ©pondent appartiennent au ministĂšre de la service gratuitService accessible aux horaires suivants Être rappelĂ©e116 006 - NumĂ©ro d'aide aux victimesÉcoute, informe et conseille les victimes d'infractions ainsi que leurs Femmes Info - 3919Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, ainsi que les tĂ©moins de violences faites Ă  des les violences physiques, verbales ou psychologiques, Ă  la maison ou au travail, et de toute nature dont les harcĂšlements sexuels, les coups et blessures et les viols.Ne traite pas les situations d'urgence ce n'est pas un service de police ou de gendarmerie.Questions ? RĂ©ponses !ActualitĂ©sCette page vous a-t-elle Ă©tĂ© utile ?

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